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Je suis pas d'accord déjà sur le combat pour les propriétaires d'EDPM. Je pense qu'il faut catégoriser les EDPM, ne serait-ce qu'en deux parties : moteur gyroscopique ou non. De là on pourra commencer à parler de bridage de manière spécifique aux deux catégories. Parce qu'un moteur gyroscopique assure, grâce à sa puissance, l'auto-equilibrage ainsi que la vitesse. Tandis qu'un moteur non-gyroscopique n'assure que la vitesse du véhicule. Pour une même puissance moteur, un véhicule à moteur gyroscopique aura une vitesse max (en condition de sécurité, <80% de la puissance total) bien inférieure à celle d'un véhicule à moteur non-gyroscopique dans les mêmes conditions de sécurité. Ces dernières diffèrent là aussi, car pour le freinage notamment, les véhicules à moteur gyroscopique utilise ce même moteur pour freiner. Sa capacité à freiner rapidement et sans risque de cut-off est dépendant de la puissance de celui-ci. Pour les moteur non-gyroscopique cette fonction est assuré par un système spécifique et le moteur n'est pas sollicité. Du coup en tenant en compte cela, je ne suis pas contre une limitation quelle soit de 20 ou 25km/h que ce soit pour le FF ou pour les propriétaires. Le bridage peut alors s'effectuer pour les moteur non-gyroscopique directement par une limitation sur la puissance. Et pour ceux à moteur gyroscopique on bride logicielement avec un tilt-back à 20 ou 25km/h. Mais on ne se réfère pas à la puissance (dans une limite acceptable) comme élément crucial qu'on converti de façon bête et méchante en une vitesse théorique max qui n'est pas réaliste (varie selon le poids de l'utilisateur) et voisine du cut-off (situation que l'on souhaite jamais vivre). Il semble évident que l'on doit considérer différemment cette législation en fonction de quel véhicule on parle. On peut décemment pas continuer à vouloir mettre tous les EDPM dans la même catégorie si c'est pour ignorer les différences élémentaires de ces engins.2 points
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Si on est réduit à demandé nous même à être discriminé on est pas sorti... Aucune raison de subir une limitation par bridage au lieu d'une limitation classique comme tous les autres véhicules. S'il veulent imposer un bridage qu'ils le fasse sur le free-floating uniquement. Et 25km/h par bridage (donc 21km/h réel) pour moi ça revient au même que 20 ou 15 ou 10km/h, c'est le retour de la voiture pas le choix. Je rappelle qu'on sera interdit sur les trottoirs, rouler sur la route à ce genre de vitesse c'est non seulement absurde mais surtout dangereux.2 points
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Moi je vois le tabou: un vélo, électrique ou pas, bénéficie d'une grande liberté par rapport à nos EDPM, comme si il y avait une espèce vaudou, de croyance, en faveur du vélo. Cette incohérence m'exaspère.2 points
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Je vous propose de m'accompagner dans un after Mardi 20/08 pour suivre quelques fleuves et rivières du sud est parisiens RV 18h45 Place Farhat Achem (a l'angle avenue de france/ bld exterieurs) tram avenue de france nous suivrons successivement La seine l'yerres le reveillon la marne pour un total de 53 km Le Gpx pour ceux qui sont interessés reveillon.gpx comme d'hab, Bonne humeur et éclairage sont requis.1 point
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une super promo! Vive l'Allemagne... https://www.amazon.de/INMOTION-V10-gyroroue-Elektrische-Erwachsene-schwarz/dp/B07CFRJK82?SubscriptionId=AKIAJPEYVHFTV73DPV4A&tag=savemoney08-21&linkCode=xm2&camp=2025&creative=165953&creativeASIN=B07CFRJK821 point
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Pas nécessairement, quid de l'utilisation dans le cadre privé alors ? (Circuit privé) Mais admettons, oui dans l'idée je serai pas contre. De toute façon je risque pas d'être contre grand chose qui propose une alternative à l'interdiction pure et dure de gyroroues à 2000w de puissance moteur. Il faut lutter pour pouvoir continuer à utiliser nos engins qu'on utilise pour certain depuis des années en toute responsabilité et qui nous font des économies financières, d'énergie, de places et qui procure même un vrai sentiment de plaisir à se déplacer en ville ou en campagne pour des déplacements personnels et professionnels. Je me refuse à l'idée de reprendre le bus, tram ou voiture à la tombée du décret pour mes déplacements quotidien, je prie pour qu'on se fasse entendre (et je suis pas croyant, c'est pour te dire).1 point
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En plus de la même façon que @Syoäni se demande pourquoi la loi n'impose pas une règle simple, je demande pourquoi elle ne propose pas un contrôle simple. Pourquoi ne fait-on pas comme pour les vélos pour la régularisation de leur vitesse ? Il existe des radars à vélo (électrique ou non) très efficace, qui permettent de verbaliser ou interpeller pour un excès de vitesse. Ces équipements marcheraient très bien pour les gyroroues et autres EDPM. On pourrait verbaliser les contrevenants, et laisser les usagers responsables en paix. Pour les gyroroues et autres appareils gyroscopiques, la fonction de tilt-back est facilement paramètrable et facile à vérifier, on pourrait même exiger qu'elle soit réglée à 20 ou 25km/h et le faire vérifier lors de contrôle aléatoire. Je ne dis pas que c'est une solution à long terme, beaucoup espèrent de la catégorie 25-45km/h et moi aussi. Mais en attendant, si l'on peut rouler à 25km/h ou 20km/h avec nos engins, rien ne nous empêchera plus tard de relever le tilt-back à des vitesses raisonnable et légale, dans les limites de nos engins. Pour être honnête, avec ma Gotway tesla même si une catégorie 25-45 voit le jour, je ne roulerai pas plus vite que 30 (voire 35 sur circuit privé), car avec ma taille et mon poids ce serait inconscient. Déjà à 25km/h auxquels je me cantonne (dans les conditions optimales), je trouve ça vraiment limite. Je ne me sens pas d'aller plus vite. Cependant il est possible que je ne sois plus autorisé à monter sur cette roue qui me permettrai de respecter la loi sur ces caractéristiques appliquées, mais qui par construction sera illégale. C'est cette hypocrisie qui m'irrite. J'ai l'impression qu'on en oublie le bon sens.1 point
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Ben de la façon dont tu pars, tu vas avoir du mal à trouver quelqu'un qui veuille bien te répondre.1 point
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Hum ... Parce que 20 km/h pour rouler à 2 sur une trott et sur le trottoir c'est déjà suffisant ? Humour ...1 point
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C'est ennuyeux cette histoire de bridage à 20km/h Après, je me demande si c'est pas uniquement pour limiter les véhicules de location : si un loueur a 500 trottinettes qui ne respectent pas la réglementation, ca se voit très vite (il suffit d'en louer une), et on peut condamner (voir confisquer, encore plus efficace) toutes les trottinettes du loueur. J'imagine que le but de la loi n'était pas de condamner les propriétaires individuels, mais cela aurait été plus simple si ils avaient indiqué explicitement que cela ne concernait que les locations. Après, c'est dommage qu'ils ne mettent pas en place une catégorie destinées aux trottinettes et monoroues rapides (jusqu'à 50) qui soit exemptée de plaque, et autorisées sur la route comme les vélos. En gros, là, ils ne font que limiter, sans donner de droits.1 point
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https://www.kingsong-europe.com/fr/accessoires/58-tube-telescopique.html si la roue est recente c’est sous garantie1 point
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Je préfère clairement le principe d'une asso axé sur la défense des propriétaires uniquement : https://afdpe.org Vouloir défendre en même temps le free-floating et les propriétaires me semblent contre productif. D'un part parce que je ne suis pas convaincu des bien faits du free floating, mais surtout parce que dans la situation actuelle le gouvernement se sert des dérives du free floating pour légiférer et faire au final disparaitre les propriétaires au profit du free floating Faire la différence entre les 2 est donc crucial.1 point
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Cette trot elle est faite pour aller de ton yacht de 30m ancré à Cannes jusqu'à ta suite au dernier étage du Majestic, et retour. Point1 point
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C'est surtout qu'il ne semble pas y avoir d'interrupteur pour activer/désactiver le double moteur. Donc c'est toujours "à fond". Tu m'étonnes que les pneus couinent à chaque fois. Une telle puissance sur un machin à 25kg. Et autre point, il n'y a même pas de compteur de vitesse ... ni même de compteur de quoi que ce soit. ? "Je te vends ma Rion" "Elle a combien de bornes ?" "Même pas 200, t'inquiète pas, fais moi confiance" ?1 point
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Dans le reportage, il est précisé "immatriculé et assuré"... ça serait sympa de savoir comment la carte grise a été obtenue, et ce qu'il y a dessus !1 point
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Non, tu as raison, sauf qu'un vélo , c'est tabou. C'est la petite reine, fut-elle électrique et il n'est pas question de la contrôler: tout le monde l'aime! ? C'est pas comme ces saloperies de trott et assimilées (à tort) qui pourrissent la vie de tout le monde: haro sur le baudet! Une petite remarque en passant: un VAE qui va à 50 dans une descente n'est pas illégal... même sans casque, sans gants et en chemisette! On nous construit un réglementation d'une rigueur intellectuelle remarquable.1 point
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Salut, on va dire que je déforme tes propos, mais je voulais insister sur la nuance entre conduire une trotinette et une roue. Jamais aucune entreprise ne proposera de gyroroues en location, pour la raison bien simple, qu'on le veuille ou non, c'est qu'on fait 2 fois plus attention à tout. De la à dire qu'on est 2 fois meilleurs, bon bref, sourire Celà dit la législation est allé dans le bon sens, pour une fois, et plutot "rapidement" administrativement parlant : Tous les véhicules de -25km/h sont assuré en RC par la maison, comme les vélos + 20€ facultatif pour vol etc... Donc c'est bien, on ne va pas se plaindre, les ministres on fait leur boulot. Maintenant, il faut completer avec un cadre législatif pour les NVEI qui sont entre 25 et 45 km/h genre scooter ou autre, il faut qu'ils réfléchissent les ministres, ils servent à çà non ? parceque ma roue on ne pourra pas me la faire rouler à 25km/h maxi elle est trop sauvage avec moi ;)1 point
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En faite je comprendrais jamais la logique de ceux qui nous gouvernent... Ils ont mis les 3/4 des rues de Paris à 30. C'est cool... Tout le monde sais que personne ne respecte le 30 et mm le 50 chez les voitures, les scooters et les cars de touristes. On nous propose un moyen de locomotion idéal pour respecter les limites de vitesse qu'ils ont eux même voulu, et bien non faut qu'ils compliquent encore tout et vont le baisser à 20/25. Deja à 30 je sens les voitures qui veulent me doubler derrière moi très nerveuses alors à 20 j'imagine mm pas.... Qd je vois comment ils ont laissé les scooters et motos faire ce qu'ils veulent à leur arrivée massive ds les villes je me dit qu'on est 3 fois plus sévère avec les trotinettes qui vont beaucoup moin vite... En faite j'ai l'impression que tout cela n'est qune question de pognon...1 point
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Entièrement d'accord. Le problème (un des problèmes !) de tout vouloir légiférer à outrance, c'est que ça ne laisse plus de place au simple bon sens. L'avantage de la roue, c'est que c'est assimilable soit à un piéton (même encombrement et éventuellement même vitesse de déplacement) soit à un cycle genre vélo. Un usager responsable, comme la quasi-totalité des gens qui fréquentent ce forum, saura adapter sa conduite soit sur le mode piéton, soit sur le mode vélo. En roue, ce qui est chiant, c'est quoi qu'on en dise de s'arrêter et de redémarrer à répétition. En arrivant à un feu rouge, si je suis sur la chaussée, je n'ai pas de complexe à repasser en mode piéton (sous réserve que le trottoir soit libre, évidemment) et à contourner le carrefour par les passages piétons. A vitesse réduite, pour que les automobilistes aient bien le temps de m'assimiler à un piéton, et pour de pas terroriser les vrais piétons. Ça ne dérange personne, pour autant que je puisse m'en rendre compte. Malheureusement, aucune loi ne fera jamais référence ni au "bon sens" ni à "l'esprit civique" de l'administré potentiellement contrevenant que nous sommes.1 point
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J'ai pas Twitter mais j'avais écrit à ma député par principe (sans espoir) Objet : Projet de loi d'orientation des mobilités. Madame la députée, Étant un électeur de la 1ere circonscription de Gironde je me permet de vous contacter concernant le projet de loi d'orientation des mobilités. En effet, celui ci soulève de fortes inquiétudes parmi les utilisateurs de trottinettes et de gyroroues, notamment parmi les propriétaires qui semblent en parti pénalisé par les errements du "free-floating". Actuellement même si les offres de locations (free-floating) sur Paris font l’essentiel de la présence médiatique avec quelques 15.000 trottinettes et quelques autres grandes villes, il convient de rappeler que 1 million d’engins à moteurs électriques (trottinettes, gyroroues, gyropodes, eSkates, hoverboards) sont actuellement en circulation du fait d’utilisateurs propriétaires sur tout le territoire français (plus de 400.000 trottinettes vendues depuis 2017). L’utilisation de trottinettes électriques, gyroroues, gyropodes ou encore skates électriques me semble être l'une des solutions essentielles au désencombrement des villes, à la lutte contre la pollution de l’air et à la réduction du bruit. Nous avons en effet pu constater certains problèmes principalement liés au free-floating, ce qui a conduit aux projets de loi et de décret qui ne répondent pas précisément aux problèmes des attachés au free-floating tout en générant des contraintes fortes pour les utilisateurs propriétaires. Concernant l'écologie il a par exemple était relayé dans les médias un bilan peu glorieux pour les trottinettes, mais ce bilan se base justement sur le free-floating avec une durée de vie moyenne d'un mois (certaines finissant régulièrement dans la Seine) et des déplacements polluant la nuit pour aller recharger/rassembler les trottinettes disséminées dans les grandes villes. En revanche dans le cas des propriétaires les EDPM (engins de déplacements personnels motorisés) ont bien sur une durée de vie bien plus importante puisque nous en prenant soin. De même nos véhicules sont rechargés à domicile sans pollution supplémentaire. Personnellement j'utilise une gyroroue depuis un an, j'ai fais plus de 2500 km avec en allant au travail et dans mes déplacements quotidien ce qui m'a permis de ne presque plus utiliser la voiture. Ma roue est toujours parfaitement fonctionnelle et constitue un gain permanent en m'évitant de transporter une tonne de métal polluante et bruyante dans mes déplacements personnels... Concernant la sécurité, la aussi une différence importante existe entre les véhicules en libre service et les propriétaires. Le free-floating crée une grande proportion d'utilisateurs novices (alors que l'on ne devient pas propriétaire pour utiliser 3 fois une trottinette) ce qui signifie donc moins d’expérience des situations à risques, moins de maitrise du véhicule et une proportion d'accident beaucoup plus importante par trajet. Le système économique du libre service encourage aussi les utilisateurs à aller plus vite et parfois même à monter à plusieurs pour économiser sur le prix. Enfin la gène causée par le stationnement des trottinettes dans les grandes villes est lui aussi causé par les entreprises proposant du free-floating, les propriétaires ne laissent bien sur par leur véhicule n'importe ou, prêt à être volé ou endommagé. L'utilisation peut aussi varier : si les propriétaires peuvent régulièrement habiter en dehors des grandes villes et faire 10 à 50 km par exemple pour se rendre à leur travail, le free-floating lui est essentiellement un transport d'appoint sur les derniers km et il n'est présent que dans les grandes villes. La loi d'orientation des mobilités en l'état aurait un impact assez limité sur le free-floating même s'il apporte un cadre bienvenue. En revanche pour les propriétaires, cette loi condamnerait toute utilisation pour une bonne partie d'entre nous et un retour à la voiture. L'impossibilité de rouler sur les petites départementales comme le font très bien les vélos rendraient toute utilisation depuis une petite ville impossible. De plus une limitation à 20 km/h par bridage si elle est appliquée signerait l’arrêt pur et simple de ces nouveaux mode de transport pour la majorité des propriétaires. D'une part cette vitesse est excessivement lente et rendrait l'utilisation dangereuse sur route en plus d'être inefficace pour des trajets d'une dizaine de kilomètres, mais surtout les très rares modèles avec ce genre de limitation sont des modèles bas de gamme et dangereux. Enfin le fonctionnement par bridage n'est pas adapté aux gyroroues (dont la vitesse max dépend notamment du poids de l'utilisateur) et représente un risque en terme de sécurité. Pour toutes ses raisons il me semble essentiel de faire une distinction entre le free-floating qui pose un problème écologique et est à l'origine de l'essentiel des problèmes constatées dans les grandes villes, et l'utilisation des EDPM par des propriétaires. A t on imaginé l'impact que pourrait avoir des scooters ou même des voitures en free-floating ? Cela amènerait bien sur des dérives sans précédent, il est donc important de bien faire la différence. Si des normes très strictes peuvent être imposées aux entreprises de free-floating, et s'il est préférable de limiter leur nombre comme cela a été fait sur Bordeaux, il serait regrettable de rendre l'utilisation impossible pour les propriétaires à l'heure ou l'écologie devrait être au centre de nos préoccupations. Concernant les propriétaires il me semble qu'une limitation de vitesse à 25 km/h aurait nettement plus de sens que l'imposition d'un bridage, qui plus est à 20km/h. En Europe seule l'Allemagne reste à 20km/h, les belges eux viennent de passer à 25. Une possibilité de permis pour passer la limitation de 25 à 35km/h semble aussi représenter une possibilité intéressante à étudier. Dernier point, les hoverboard ne peuvent sérieusement être assimilés aux trottinettes électriques, gyroroues, gyropodes et autres véritables EDPM, car contrairement à ces derniers qui sont de vrais moyens de transport d'avenir, les hoverboard sont des jouets qui n'ont rien à faire sur la route... leur présence sur la route représenterait un réel danger. La présence des hoverboard dans ce projet de loi fait ressortir un manque de recherche/étude assez clair sur le sujet et devrait constituer à elle seule un motif de report. C’est pourquoi je vous sollicite pour que vous puissiez porter notre voix et faire réexaminer certains éléments. J’espère que ce bref argumentaire vous convaincra du bien-fondé de ma démarche, et que vous interviendrez, dès que l’opportunité se présentera, notamment auprès de Mme Élisabeth Borne ministre de la transition écologique et solidaire. Dans l’espoir que vous pourrez nous aider, veuillez accepter, Madame Dominique David, l’expression de mes sentiments distingués.1 point