Classement

Un moteur a une résistance interne très faible, de l'ordre de quelques dizaines de milliOhms. Chaque phase est bobinée avec 12 à 20 fils en // : (moteur ks18) Pour créer un gros couple, la carte mère se comporte en générateur de courant afin d'injecter une intensité de l'ordre de 50 Ampères. Les mosfets sont dimensionnés en conséquence, cependant il y a deux situations particulièrement stressantes : -- quand la vitesse est nulle, à cause de la commande triphasée, une phase reçoit le courant max "un certain temps" alors que les deux autres ne reçoivent que la moitié, autrement dit le partage n'est pas homogène : -- quand la vitesse est nulle ou faible, le moteur a une fcem nulle ou faible, le taux de modulation de largeur est donc faible (quelques %), les courants de pic sont considérables (peuvent se chiffrer en kA). C'est pour cela qu'il y a des condensateurs de lissage (+ il y en a, mieux c'est). Mais au niveau des mosfets, l'échauffement est élevé car la puissance (le carré du courant) est mal répartie dans le temps. Je pense qu'un pendule très vigoureux est peu dommageable sur une roue récente car la conception générale a été améliorée, et que 5 minutes très "viriles" provoquent simplement une alerte température. Bon, cet exercice excessif n'est quand même pas conseillé... Edit : un mosfet ne vieillit pas, il est OK ou bien il est mort, de deux manière possibles, soit par surtension il reste off avec la Gate inactive, soit par surcourant, la puce fond et se transforme en court-circuit avec éventuellement broches fondues, boîtier fissuré.

Calibrage de la Lynx, par Electrified Rider :

3 Gotways 1 Kingsong 1 base aérienne BA128 mai1 ‐ Réalisée avec Clipchamp.mp4

A frescaty, suis à peut prêt certain que si tu as 4000€ à balancer par la fenêtre, il y aura une Extreme Bull qui va passer en lightspeed avec la GT pro 😁

Première sortie offroad suite à lubrification au WD40 "multifonction" de la tringlerie : pas de retour du bruit de quincaillerie et toujours douce. J'ai pu constater dans la forêt de Sénart que la roue est beaucoup plus sereine que par le passé Ce sentier en macadam particulièrement abimé se révèle être une bonne épreuve pour une roue suspendue :

Il n'y a pas de roue faite pour rouler dans la boue. Il n'y a que des roues capables de rouler dans la boue. Il leur suffit d'être étanches et d'avoir un pneu à crampons. La mienne a connu quelque trajets dans la gadoue, ils étaient involontaires et conséquences d'un gps inconséquent. Les tinois et leur black chinese magic ont réussi à remettre ma V11 en état. Elle ne me sert désormais plus qu'à aller bosser à Paris. Facile à mettre dans le TGV et suspension parfaite en ville. Pour les balades dans la campagne rennaise j'ai l'Extreme dont je vais bientôt changer la suspension.

D'après ce que j'ai lu, c'est en phase d'accélération que les composants électroniques chauffent le plus. Pas en vitesse stable. Si les accélérations sont trop rapprochées, les composants n'ont pas le temps de refroidir et finissent par griller, surtout si l'on grimpe des pentes abruptes. J'ai découvert cela suite à une habitude que j'avais (en trottinette) de m'amuser à rouler à très très basse vitesse afin de ne pas mettre pied à terre devant les feux rouges, parfois en pleine montée : le "jeu" consistait à y aller par petite giclées d'accélération, très rapprochées... Comme par hasard, mon contrôleur a fini par griller...

Merci! après ma chambre a air avait l'air bien mise et tout, et la réparation a tenu, peut être juste que ses dimensions n'étaient pas adaptées a ce nouveau pneu, favorisant son déjantage?

Vraiment désolé pour toi... J'ai déjà connu le coup de la chambre à air dont la rustine récente lâche en pleine balade et c'est un truc que je ne ferai plus jamais. À chaque crevaison (qui sont très rares, heureusement.) je remplace la chambre à air par une des neuves que j'ai toujours en réserve. Ce n'est pas pour la dizaine d'euros que ça coûte (du côté de l'Empire du Milieu, hélas!)... Et je tiens trop à mon intégrité physique de magnifique Quasimodo. Lors du montage j'utilise non seulement du talc généreusement répandu (sur toute ma moquette... ) mais aussi, une fois que le pneu est positionné, je gonfle très légèrement la chambre que j'y insère pour qu'elle ait la forme d'un boudin noir et mou...mais en caoutchouc! C'est suffisant pour que lors de sa mise en place il n'y ait aucun pli, que la valve soit bien synchrone avec le trou de la jante et qu'à l'usage des cuillères à pneu il ne soit pas possible de pincer un repli de chambre traînant malencontreusement par-là. Après d'autres auront sans doute des conseils judicieux pour l'usage de liquide vaisselle sur le pneu... Mais pour ma part j'ai déjà assez salopé ma moquette avec le talc! Bonne réparation et bon ajustement de ce pneu qui semble un peu trop lâche pour le diamètre de la jante.

Merci. Non je suis en direct drive.pour les astuces je pense que je les connais toutes a force 🤗 J’ai une petite entreprise d’accessoiriste, je suis passionné par l’impression 3d depuis 4 ans, j’ai une prusa mk4, bambulab x1c , mk3s, j’imprime rarement en pla, surtout des plastiques chiants (polycarbonate, polypropylène, tpu/tpe, pctg). Là je me suis un peu trop lâcher sur le design car c’était super excitant de partir d’un scan 3d et de garder l’esthétique originel que j’en ai oublié la fâcheuse tendance du tpu a rebiquer sur les angles et les moindre overhangs. Je vais booster la ventilation et affiner les réglages on verra bien. j’avais comme projet de faire une béquille retractable mais finalement en off road la béquille sert souvent a rien dans les sols meubles ou pentus donc j’ai viré celle d’origine et vais laisser comme ça je pense.

Amis wheeleurs de région parisienne, avez-vous déjà suivi la Londres/Paris sur les quais de Seine entre Herblay et Sartrouville ? Cela devrait être champêtre, n'est-ce pas? So boooooring! Des bagnoles pressées, des feux idiots, des rustines de chaussée partout... Alors j'ai cherché et je viens de trouver un itinéraire bis par les côteaux. Cela commence depuis la rue Jean XXIII par la ruelle qui passe derrière l'Église Saint-Martin d'Herblay : De là on prend à gauche le chemin de terre qui surplombe la Seine : Une fois arrivé sur une rue viabilisée il faut remonter la rue du Port aux Vins sur la droite puis tourner à gauche sur la rue de Cormeilles. Si l'on va tout droit on arrive bien sur un autre sentier mais celui-ci dégénère en une série de marches très irrégulières... Par contre sur la rue de Cormeilles, je vous laisse la surprise de l'étonnante Tour des Tartrogons. Vous êtes sur le bon chemin. Ensuite tout droit sur la rue de la Ville de Paris, puis tout droit... Encore tout droit... Lorsque la rue de Paris tourne enfin pour épouser un vallon encaissé, vous bravez son sens interdit (Art. 110 du Code de la Route) pour atteindre la passerelle qui franchit cette déclivité. À partir de là vous êtes à La Frette/Seine. À la sortie juste une chicane droite/gauche par la rue de la Gare (qui vous ramène au niveau de la Seine) et la rue du 11 Novembre... La rue Aristide Briant... L'avenue Charles de Gaulle jusqu'à un nouveau vallon. On descend la rue Pasteur (qui ramène sur les quais) mais dès que l'occasion se présente virage à gauche par la rue André Ribaud (très belle montée!!!) puis en haut à droite sur la rue Alfred Lepetit et en bas à gauche... Vous êtes sur la Sente des Verjus que vous ne quittez plus (même si elle arbore un autre nom). Ici l'on est bien loin de la civilisation nauséabonde d'Achères : Mais toute bonne chose a une fin et le Chemin de la Mardelle vous ramènera sur les quais de Seine juste à l'entrée de Sartrouville... Bah! L'essentiel est d'avoir pris beaucoup de plaisir dans ce périple... Bonnes balades à vous tous.

J'attends une réponse d'un autre membre du forum et je te réponds sur ce point. Et de toutes façons je ne vends pas mes roues en fin de vie, je les donne (à qui saura les sortir de cette trop mauvaise passe). La roue est pour moi un objet particulier : Je dois à la fois avoir une totale confiance, ressentir ses limites et m'adapter à sa conduite particulière. Autrement dit il y a un peu de moi dans chacune de mes roues et d'elles en moi. Sans aller jusqu'à leur donner un petit nom, je ne peux m'empêcher de les considérer comme des compagnons de balades...et on ne vend pas un compagnon : On lui trouve un autre foyer. La V11 a coûté 2000€, le changement CM et moteur un peu plus de la moitié de ça. Si c'est pour acheter 4 batteries pour le prix d'une V11 neuve... D'autant plus que j'ai une limite en nombre de roues : Deux, c'est l'idéal.

Pour les curieux des chiffres voilà l'ascension du Mont Ventoux en v14, batterie 50gb : 69.2kms gps, 75kms roue, 15% de batterie restante, 32kmh de moyenne, 1520m de dénivelé positif et je suis arrivé a 15% de batterie, pour le coup je suis surpris, certes j'ai roulé moins vite a la montée que la descente mais je m'attendais a finir en rade au final j'ai rallongé. D'ailleurs il y a d'excellents chemins toute autour du Ventoux un régal en v14. https://euc.world/tour/633311735768225