sbouju

Tout cela parait même encore bien compliqué, par rapport aux vraies batteries vraiment swappables, comme c'est le cas sur la plupart des VAEs, par exemple, ou bien la KS14B, concernant les wheels. Et pour une roue, le propos serait en plus (par rapport aux VAEs) de pouvoir transporter une seconde batterie dans sons sac à dos, évidemment, donc il faut qu'elle ait une forme la moins tordue possible... Pour les VAEs, le propos est surtout de pouvoir laisser le vélo dans un garage distant et de pouvoir ne ramener que la batterie à la maison pour la recharger.

Je partage aussi cette analyse! Disons que la batterie est plus facilement échangeable sur ce modèle que sur beaucoup d'autres, mais cela ne donne pas envie de l'adopter pour ça et pour utiliser cette particularité au quotidien.

Merci pour cette avancée, on commence à y voir plus clair !

On commence à palper du concret et de l'irréfutable !

Pour le titre, il est parfait! Par contre, je n'en dirais pas autant des pseudo-statistiques des derniers messages évoquant le grand nombre de MCM4? à vendre dans les petites annonces !

Il y a 3 modèles de MCM4, si j'ai bien suivi, et dont certains d'entre-eux pourraient même être des pré-verisions.... De quel modèle est-il question, alors, dans cette discussion...?

Merci Philippe de nous livrer ce ressenti ! >> Le gros #fail à ce stade est l'absence de coussins de protection latéraux. C'est carrément une régression ... Pour toi sans doute, mais est-elle confortable en l'état et en utilisation "ordinaire", comme le sont d'autres roues non rembourrées également (ma MSuper2, par exemple...), et ne le sont pas d'autres roues rembourrées, par contre (form factor de la SW300, pour en citer plusieurs d'un coup...) ? Du coup, je considère provisoirement cette histoire de trolley faiblard comme étant le vrai gros #fail !

Merci d'arrêter de prendre un forum d'utilisateurs pour une association de consommateurs ou un amplificateur d'audience personnelle. On compatit évidemment tous avec les petits et gros ennuis de chacun, mais tu commences à être franchement lourd, nhut...

C'est un peu la KS18 des applis de rando, quoi...

Le (seul?) gros avantage de Wikiloc, et si on en a besoin, c'est son très bon tracking en temps réel (dans sa version payante seulement).

J'ai tout de même un gros doute sur ce calcul, qui me parait un peu simpliste, car avec le passage de l'alternatif au continu dans nos chargeurs et l'élévation de température que ça représente, les Wh achetés à EDF doivent sûrement faire un peu moins de Wh, une fois récupérés dans les batteries de nos roues...

Testé avec succès L'image de la seule version 1640Wh de la MSuper3 sera-t-elle modifiable...?

Blisks!

A vue de nez, en se basant sur les chiffres du VAE, et en supposant que cela soit exact et directement transposable en fonction de nos capacités en Wh, ça ferait alors de l'ordre de 10 centimes d'euros pour les plus grosses roues ! Et pour plus de précision au coup par coup, on mesurerait ses Wh rechargés avec ChargeDoctor, on multiplierait par le prix du kWh, et du diviserait par 1000...?

Oui si l'on n'a pas trop de km restant à faire pour rentrer à bon port, mais non si cela entraîne parallèlement une panne totale beaucoup plus rapidement! Idéalement, il faudrait peut-être un switch (logiciel?) pour pouvoir gérer le mode de cette fin de batterie, afin qu'elle puisse être performante ou bien économique... PS: perso, j'apprécie grandement sur ma MSuper2 le fait de pouvoir faire encore pas mal de km (typiquement: toute la Coulée Verte à 1H ou 2H du matin pour rentrer chez moi après une rando parisienne nocturne, par exemple, soit environ 10 à 12 km...), ceci après que les premiers signes de batterie plus faible me soient apparus (moins de couple disponible et bips lents).

Pas sur le dessus comme sur nos MSuper2, non. Il me semble avoir lu quelque-part que cette fonction était assurée par la rangée de diodes du feu arrière, mais cela doit obliger à s'arrêter et à descendre de la roue pour voir où ça en est...

Tu ne vas pas te précipiter, Papy, alors...?

Il faudrait aussi savoir quelle est la température à ne pas dépasser, et que se passe-t-il si... (Alertes spécifiques? Coupure, ou bien cramage de qqch. sur la carte, en gros, et si ni l'un ni l'autre, cramage du moteur...?). Et ceci sur chacun de ses modèles, tant qu'à faire!

Perso, je n'accroche pas aux applis "sportives", en wheel, et probablement surtout parce que la dimension sportive de cette activité est comprise entre nulle et marginale... Cela me fait préférer de loin les applis à vocation principalement "navigation", avec de belles fonctions et cartographies adaptées, et aussi 100% fonctionnelle en off-line, au premier rang desquelles Locus Map Pro, maintenant, après avoir été utilisateur de Sitytrail pendant quelques années.

Et quelles sont toutes les autres qui ne les valent pas...?

- utiliser cette valeur "pas fiable" de vitesse de l'appli de la marque, et lui appliquer le coefficient de correction nécessaire. - installer et utiliser un compteur de vélo bien l'étalonné.. Dans les deux cas, correction ou étalonnage à faire à l'aide d'un GPS !

C'est "normal", ces mesures ectopiques de la vitesse sur fondement GPS, et lié le plus souvent à une mauvaise réception satellitaire momentanée. On le voit bien en reportant la trace enregistrée correspondante sur un carte, où on voit alors très souvent des relevés GPS de points plus ou moins écartés de la trace qu'on a effectivement suivi. Cela rend donc toute mesure de vitesse max. suspecte, lorsqu'elle est faite au GPS.

Cela n'empêche pas de viser aussi d'autres niches avec la même base, (notamment...) si elle est bonne, avec des développements supplémentaires et avec l'adaptation tarifaire éventuellement nécessaire. Toutes les améliorations qui peuvent être faites dans un second temps en matière d'étanchéité, de support mécanique et électrique des pilotes lourds, d'aptitude à l'off-road, par exemple, peuvent en intéresser quelques-uns, sans pour autant devoir alourdir la note pour l'ensemble du public qui sait qu'il n'en a pas vraiment besoin.

Sur ce graphique d'un log d'un peu plus de 2 heures, on voit que ma température est montée jusqu'à environ 50°C (cela correspondait bien à l'arrivée en haut d'unes côte montant vers le plateau de Saclay), pour retomber ensuite à des valeurs plutôt autour de 40°C sur ce plateau. wheelemetrics_log_20160809_174923.txt

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