Ciryllrouew

Bonjour, Je ne suis pas encore équipé d'une caméra thermique (ça pique en terme de prix), ce serait pratique d'identifier les moutons noirs qui chauffent plus que le reste de la troupe. Néanmoins je possède une installation de soudure de précision, avec la possibilité de souder des métaux différents de très faibles épaisseurs, et notamment nickel sur cuivre et inox sur cuivre. Cela se fait par décharges électriques très courtes (quelques millisecondes mais plusieurs kA), sous argon pur. Remplacer des cellules exige de remplacer la totalité, et à partir de cellules les plus homogènes possibles, issues du même lot de fabrication. Si le format 18650 est devenu ubiquitaire, on voit certaines applications Li-ion portables employer des cellules au format 20700. Je serai curieux de connaître comment vous faites pour interroger les BMS. C'est une fonction d'origine sur les Z10 que de communiquer les valeurs en temps réel via bluetooth ou USB ? Bien à vous.

Bonsoir Alban, Je vais faire mon possible pour la faire venir à moi, quitte à faire un détour via Angoulême, ou à patienter pour sa livraison. Je vais préparer un règlement, je vous contacte en message privé.

Oui, il existe une solution d'extraction pour de petits roulements ainsi disposés "en bout d'arbre". C'est comme dans Kaamelott, il faut une kwouyèrrre, Arthour. Pas changer assiett' pour fromaaage. Il existe des "cuillères" qui rentrent dans le passage des billes. On tourne la cuillère dans l'inter-cages, on attrape ainsi la bande de guidage externe au roulement, et la cage interne. On insère 2 à 3 "cuillères", on dispose un barreau de liaison formant potence. C'est la référence U.23D chez Facom. https://catalogue.facom.com/index.php/fr-fr/categorie/extraction/extracteurs-de-roulement-a-prise-speciale/extracteurs-a-embouts-prise-par-la-cage/produit/u-23d-jeux-de-2-embouts Une vis centrale à pas fin permet d'extraire le roulement qui est déclaré mort. C'est une pénétration violente, les flancs étanches du roulement se font défoncer, les billes sont repoussées pour que les cuillères prennent l'espace. Voili la page du catalogue Facom qui va bien. C'est du matériel très très pointu, c'est ni chez Nortoto ni chez FeuRouge qu'on trouve pareille quincaillerie de spécialistes. https://catalogue.facom.com/index.php/fr-fr/categorie/extraction/extracteurs-de-roulement-a-prise-speciale/extracteurs-a-embouts-prise-par-la-cage/produit/composition-pour-la-micro-mecanique Là au tarif, je suis à 300 roros chez Contorion. C'est pas normal les prix arrondis chez Facom. Donc passe voir le réseau AutoDistribution, si possible par quelqu'un qui a 30% de remise (un bon garagiste qui en veut) https://www.idealo.fr/type/3148515220494.html Bon courage Autre solution de Conan le Barbare (j'espère pas être barbant ^^') : soudure TIG sur la cage interne, pour souder une douille déjà percée de part en part, à pas cher. De là un anneau forgé, une presse hydraulique à étrier et yalou. Visière faciale, gants à manchettes, combinaison en coton épaisse, plastron en cuir, cagoule de soudeur et col Mao obligatoire. Les éclats de roulements sont MORTELS et peuvent pénétrer la peau et les yeux sur plusieurs millimètres, infliger des blessures très compliquées à opérer. C'est du cuisant vécu. Jamais de choc avec un roulement. Juste la douceur (ferme) de l'hydraulique. Et se planquer derrière un écran.

Il va falloir que je prenne du temps pour voir comment Ninebot a fait évoluer sa gamme de monoroue. La E+ n'a pas de feu stop, ni de feu de freinage intégré. Et il me semble qu'en effet ce sont les Gotway et les Kingsong qui ont cette "gâchette" sous la poignée pour détecter la manutention sous tension. Il ne m'a pas été donné de remplacer le firmware de mes deux One E+. Je suis curieux de savoir combien de versions ont été produites, et surtout si on peut encore les trouver...

Bonsoir, Je vais avoir sous peu un chargeur additionnel, d'origine. Je vais faire en sorte d'avoir rapidement une 3ème One E+, puis une 4ème. Je vise à en acheter 8 pour un projet foldingo. Je vais me démerder pour avoir des chargeurs d'origine testés fonctionnels par mes soins. Une panne assez insidieuse consiste pour un usage à replier comme en usine le câble de sortie de l'alimentation. Sauf qu'avec les années, il est possible que l'âme en fils multibrins fatigue, du fait du rangement des câbles formant des 8 enchevêtrés, ou qu'un fusible CMS brûle, coulé dans un boîtier en plastique surmoulé donc indémontable puisse donner ce résultat. Les batteries régulièrement mise en charge semble tenir dans le temps, avec toutefois des autonomies réduites de 50%. En cas de décharge profonde de la batterie Ninebot, il est à parier que le BMS n'ose plus injecter du courant dans le pack de cellules Li-ion. Le connecteur de sûreté côté transformateur contient 4 broches en plaqué or, il se peut que les pins se touchent en cas de recherche "à l'aveugle", où on insère la prise, on cherche le détrompeur. OR LES TERMINAISONS SONT DÉJÀ AUX POINTS DE CONTACT DU CONNECTEUR FEMELLE. Tourner le connecteur mâle dans le connecteur femelle en cherchant le détrompeur revient à faire une sorte d'hélicobite ^^ Je pense que c'est cet affleurement qui donne un défaut électrique. Un capteur à effet Hall permet de "voir" au travers d'une gaine de câble où le câble électrique a une coupure. C'est du matos professionnel, coûteux. Bien à vous.

Merci beaucoup pour ton indication, cela tombe bien, je vais justement désosser en photos les 2 monoroues que j'ai; je vais faire ce qu'il faut pour en acheter une nouvelle, et ainsi de suite. Je prévois de faire une destruction soignée de la poignée, voir comment la tige métallique a été faite et comment le plastique mousseux a été surmoulé. La section en H de la poignée est assez bien faite : on observe un pontage avec une zone de faiblesse intentionnelle : pour une rupture préprogrammée, pour éviter des blessures trop graves. Je ferai des photos, je m'arrangerai pour vous faire un dossier complet sur la technologie de fabrication. Je connais particulièrement bien les techniques de production industrielle : métallurgie, microélectronique, électrotechnique, plasturgies, vieillissement et corrosions, essais non destructifs, caractérisation fine... Ce qui m'intéresse, c'est de voir comment une machine comme celles-là vieillissent. Voir le degré de fiabilité de l'ensemble, des malfaçons et des erreurs de conception. On a honnêtement pas idée des trésors d'ingéniosité dans ces petites bêtes. Cela se chiffre en centaines d'années-ingénieurs. Certes les nouveaux modèles sont des dérivatifs et des retours d'expérience intégrés. Une chose qui me terrifie avec la Ninebot One E+ c'est sa capacité à filer à pleine vitesse SANS PERSONNE DESSUS. J'ai monté un "boot" de windsurf autour de la poignée pour la rattraper en cas de gros ratage, et éviter qu'elle aille filer contre une voiture, ou pire, vers un enfant. C'est ma plus grande crainte, avec le fait que quand on la soulève du sol, avec de l'inclinaison légère le pneu accélère à fond avant de s'arrêter, par détection d'anomalie. Reposer la monoroue avec la roue tournant à grande vitesse est extrêmement dangereux. Elle a une inertie surprenante et peut blesser gravement.

Bonjour tout le monde, Merci d'avoir créé ce sujet. Il se trouve que j'ai DEUX monoroues Ninebot One E+, elles sont aujourd'hui en mauvais état. 3500 km pour l'une, inutilisable. 9000 km pour la deuxième. Encore fonctionnelle. Elles ont toutes les deux la poignée cassée. Elles ont toutes les deux leur batterie d'origine. La première suite à une vilaine chute. La seconde suite à une fatigue mécanique : en soulevant la Ninebot pour franchir un escalier, la poignée s'est rompue et m'est restée dans la main... 😐 La première monoroue a un carter en plastique ayant une forte déformation sur le maintien du moteur. Celui-ci a du jeu par rapport à la coque. Elle oscille plusieurs fois par seconde, on ne peut plus rouler avec. La seconde est toujours fonctionnelle, malgré la perte de sa poignée. La pièce ne se trouve plus. Il faut la refabriquer par usinage. Son interrupteur de marche/arrêt ne fonctionne plus très bien. On a du mal à l'éteindre. Et on a du mal à l'allumer. Les 2 chargeurs fonctionnent toujours. La connectique de charge commence à fatiguer. Point commun à je pense toute la série : Le niveau d'encrassement du passage de roue est phénoménal; je n'ai pas encore pris le temps de démonter la roue abîmée mécaniquement. Le refroidissement de la carte mère est très aléatoire avec les merdes qui sont brassées par la roue. La boue s'immisce partout. Je n'ai pas encore réussi à prendre le temps de démonter les coques latérale, je dois démonter les pédaliers pour se faire. C'est particulier. Je sais que certaines One E+ voient leur axe central en acier se rompre par fatigue mécanique. Surtout en usage Freestyle ou méchante bordure paaaaaas biiien. ⚠️ Avis aux amateurs : 💶💰 Je cherche à acheter 2 à 3 monoroues identiques : Ninebot One E+, avec des batteries fonctionnelles et en bon état mécanique (circa 200 € à 250 € selon l'état et le kilométrage. Je cherche aussi à acheter des monoroues Ninebot One E+ inutilisables pour des problèmes de plasturgie, mais avec le moteur + la carte mère + la batterie fonctionnelle + le chargeur. Avec un tarif à convenir. Je suis dans le Nord et aux alentours de Paris, avec une voiture. Je peux aussi courir le pays si besoin. Je cherche à réaliser un projet what the fuck avec des monoroues One E+ d'occasion. Il m'en faudrait en tout 5 voire 8.

Bonjour tout le monde, J'ai un projet fou-fou, un projet dingo; je peux pas en dire beaucoup plus pour le moment; je manque de biscuits. ...Mais j'aimerais savoir si dans ce forum, on a des modèles de roues commercialisées utilisant un pneu de 3,75 pouces de large. Ou 3,5" à la rigueur [88.9 mm] Le diamètre m'importe pneu ^^ J'aimerais avoir une jante en alu ayant cette largeur. A la limite, soyons fous, je me verrai bien acheter une jante ayant cette largeur là.

Le seul moyen de vérifier l'état d'une batterie, c'est la thermographie industrielle. Le problème est le suivant : Les batteries de type 18650 sont souvent suremballées dans des couches de plastique azotés genre polyimide, puis par un suremballage de plastique, il y a des traces de colle, des entretoises... car oui, il est toujours bon qu'un assemblage de batteries puissent laisser s'écouler la chaleur en dehors de l'assemblage. Un appareil de thermographie n'est fiable que si les états de surface et les matières émettant des infrarouges sont homogènes. Ce n'est pas le cas avec les contraintes réalisationnelles. Et en plus, il n'est pas rare d'avoir des "pains" de batteries. Qui fait que les éléments les plus "à coeur" de l'assemblage ne peuvent pas vraiment être mesurées en température de surface : car les additions de résistances internes font qu'il est ...normal qu'un pack de batteries s'échauffent. Et difficile de trouver LA cellule coupable qui va foutre la merde à ses copines. Une des pistes est de mesurer la résistance moyenne d'une série de cellules. C'est juste une indication. Il n'est pas rare d'avoir des assemblages de 10 ou 20 éléments en série pour les véhicules de transport personnel. En cas de possible défaillance, c'est quasi impossible de vérifier quel sera l'élément qui lâchera en premier. En dehors d'un "compteur du nombre de charges", et ça, c'est pas une implémentation répandue, LOIN S'EN FAUT. Peut-être sûrement que les chaussettes à clous exigent d'avoir des compteurs de charge et remplacent à titre préventif des assemblages sur lesquels ils ont fait leur temps. C'est pour cette raison qu'en ce moment, pour une Tesla achetée, vous pouvez avoir ...deux demi-Tesla offertes. 😆 Actuellement (2013 quand même) des efforts ont été et sont encore faits pour fiabiliser les variations de production industrielle AVANT de faire des cellules individuelles. Voir ici : https://www.purdue.edu/newsroom/releases/2013/Q2/new-technique-to-improve-quality-control-of-lithium-ion-batteries.html Bien à vous ! 4eZnBvETi731mK5p.mp4

Bonjour Rollwheel, Excellente question que la tienne. ...qui appelle plusieurs remarques d'importance. Le vieillissement des batteries tient en très très grossière approximation à une tension qui témoigne d'une charge effective. Pour un élément 18650, admettons 4,3 Volts de tension pour une cellule chargée "à fond". L'élément comporte sur son flanc un numéro de lot, et assez souvent une capacité exprimée en milliampères.heure (mAh). Le vieillissement des cellules a ceci de vicieux que très rapidement, en ayant soutiré quelques Watts.heure, la tension de ladite cellule s'effondre sous sa côte d'alerte. 4,3 Volts x 2,00 Ampères.heure = 8,6 watts.heure. Cela c'est pour une batterie neuve. Dans la pratique, on remarque que la cellule ayant 4,3 Volts de tension une fois chargée délivre un courant minable de 0,7 A.h. Elle n'a plus sa capacité à délivrer du courant dans la durée, et si on tire le courant maximum qu'elle peut sortir, un remarque un échauffement significatif : sa tension interne a augmenté méchamment. Le peu qu'elle stocke, elle fait de la chaleur au passage. L'élément est usé, souvent avec le phénomène de croissance dendritique. Là où ça coince : Il est d'une extraordinaire importance d'avoir une sérialisation et une parallélisation d'un lot de cellules 18650 (ou 20700 si tu en veux des plus costauds). Or un assemblage de cellules doit être ISSU DU MÊME FABRICANT, avec un MÊME NUMÉRO DE LOT. Pour limiter les risques de dispersion statistique, d'avoir des tensions internes fluctuantes, des résistances internes trop variées. De ne pas mélanger du neuf avec du pas trop vieux, qui finira par vieillir. On peut faire des mesures de résistance interne. Oui mais comme les batteries ont des barrettes d'interconnexion, il faut retirer ces barrettes. Problème : elles sont très très souvent soudées. Il y a deux technologies de soudure "industrielle" et une technique d'amateur (susceptible de mettre le maxi-bololo rolala). 1a : la soudure par résistance par point. Souvent, c'est un ruban en tôle d'acier recouvert de nickel, métal cancérigène et très allergisant, utilisé pour éviter la rouille. C'est pas fou, c'est pas fifou; que d'utiliser de l'acier pour relier des batteries. Car les pertes ohmiques sont importantes. Efficace et pas cher, c'est souvent le fer qu'ils préfèrent. 1b : la soudure de barrettes en cuivre massif, faite via un laser pulsé puissant (souvent 4 kW, monté sur fibre optique) qui fait fondre le cuivre "par transparence" jusqu'à commencer à faire fondre la terminaison plane de la cellule. Pertes ohmiques très très faibles, seuls de grands industriels comme Bosch, Tesla, Samsung ont recours à cette technique très, très chère. Un bon laser adapté à la soudure du cuivre c'est pas loin de 2 millions d'euros LA MACHINE. Certes, ça assemble très vite et c'est très propre. Une succession de points fondus forme des soudures en forme de O, plus rarement en C. Très peu de résistivité. Recyclage très compliqué, par contre... 2a : la bonne vieille technique de la brasure à l'étain-plomb ou à l'étain-cuivre ou à l'étain-argent-cuivre des familles. Et là... en cas de surchauffe, les barrettes se libèrent, et on peut faire un joli fouillis de barrettes avec des gouttes d'étain qui se promènent joyeusement sur des terminaisons rougeoyantes de court-circuits en roue libre. Brrrrrr. Ou plutôt ...fffFFsccHHhHHhhh. Autrement dit : Mesurer une tension interne d'un élément monté sur une batterie présuppose de retirer l'élément pour en faire la mesure. ...sauf que pour ça faut défaire les barrettes, soudées. Retirer des points de soudure électrique est faisable, c'est le déboutonnage. Sauf que les tôles qui FERMENT la cellule sont TRÈS FINES. Déboutonner une bonne soudure, c'est faire en sorte que le noyau fondu reste entier. C'est LE critère de réussite statistique d'une soudure efficace et effective. Et ces tôles de fermeture de la cellule permettent justement d'éviter à l'air et surtout à l'air HUMIDE de rentrer dans la cellule. Inspecter la résistance interne d'une cellule suspecte, en gros cela revient à la tuer. Ou alors il faut procéder par rectification au centième de mm, pour meuler finement la barrette... et faire une rectification sèche ! Parce qu'en industrie, on doit mouiller les meules... mwé. C'est pas fou non plus. Donc démonter des packs de batterie, c'est jouer avec le feu, neurotoxique de surcroît. Le lithium est neurotoxique, quoiqu'employé en hôpital psychiatrique pour traiter les malades atteints de troubles bipolaires de l'humeur. Surdoser le lithium, c'est risquer la/leur mort. C'est un métal dangereux de bien des façons. Voilà quelques critères propres aux soudures par points, issus de Soudeurs.com :

Bonjour tout le monde, Je confirme pour la dangerosité des batteries, surtout quand elles sont amenées à vieillir. Le phénomène est dû notamment à la formation de "dendrites" dans la feuille de lithium. https://www.electronicproducts.com/what-are-dendrites-and-why-do-they-cause-fires-in-lithium-batteries/# Cela a pour conséquence que la résistance interne d'un élément lithium-ion (très souvent une cellule au format 18650, ce qui veut dire diamètre 18 mm, 65 mm de longueur et 0 pour une terminaison plane), cette résistance individuelle augmente. A la charge comme à la décharge, le courant généré ou drainé par la batterie amène une d'entre elle à chauffer beaucoup plus que ses copines. On a une dégradation thermique, généralement le BMS va couper la série d'éléments en cas de défaillance, ce qui donne déjà un plantage de la carte mère, avec une belle gamelle ^^' Mais le "ThermalRunaway" ne s'arrête pas pour autant, quand le feu arrive, c'est ...trottoir 😛 La meilleure parade pour nous wheeler, c'est pas tant l'extincteur ou la couverture "classique". La batterie contient du graphite qui va joyeusement brûler, la batterie va faire de l'hydrogène... bref. On ne contrôle plus rien. Le meilleur moyen de limiter le désastre, c'est d'utiliser de la litière pour chats. Et pas 5 kilos avariés avec des crocrocrottes et du pipipi et des bonnes vapeur d'ammoniaque ^^' ! De la bonne litière neuve, bien sèche. Non, vu la forme des monoroues et autres trotinettes, il vous faut AU MOINS 6 boîtes de 5 kilos. Et prêt à verser depuis une grande bassine (sans le chat), vous aurez pas le temps d'ouvrir les boîtes une à une !! De cette façon, vous pourrez PEUT-ÊTRE couvrir le feu à temps et isoler les batteries de l'air. Ou Meilleure option : acheter une couverture ignifuge certifiée pour couvrir l'incendie naissant et couper l'appareil de l'air autant que possible. Vous avez moins de 5 secondes pour réagir ! Au delà des 1ères fumées c'est trop tard ! Ou Il existe des boîtes étanches faites pour les modules LiPo (lithium-polymère, extrêmement dangereux à charger). Mais ces boîtes en acier n'ont jamais la dimension d'une monoroue. La température est considérable, au point de faire fondre l'acier. Soit 1600°C. De toutes façons, même isolée de l'air : la batterie brûlera. Elle a en elle des matières oxydantes ET des matières réductrices ! Mais la litière pour chats contient de la zéolite; cela va absorber les particules d'oxydes métalliques et limiter la casse (et les fumées). Pour vous donner un aspect visuel de la dégradation sournoise d'une batterie lithium, voici un cas d'école : Un PC portable laissé tranquillou en charge, la nuit, dans un bureau d'entreprise... Filmé par une caméra pour les cambriolages. La caméra filme, impuissante. Je doute fort que l'on puisse récupérer les données ^^' Voilà le genre de survenue. Et avec le temps et les batteries qui vieillissent, c'est quelque chose qui va devenir de plus en plus fréquent. Récemment au Kazakhstan (en Octobre 2019), une fille de 14 ans s'est endormie avec son téléphone portable en charge, SOUS L'OREILLER, en écoutant de la musique. Le BMS a lâché, alors qu'il n'y a qu'une seule cellule !!! et elle a été tuée dans son sommeil, avec une plaie gravissime à la tête. Elle s'appelait Alua Asetkyzy Abzalbek et vivait à Bastobe, non loin de Taldykourgan. Ses parents l'ont retrouvée, morte, au matin... https://businessfm.kz/society/v-almatinskoj-oblasti-shkolnica-umerla-ot-vzryva-smartfona Donc même une batterie de 10 watts-heure peut tuer et générer une énergie dans un explosion très, très supérieure à 10 W.h Alors imaginez 1,5 kWh ou pire, une Tesla ou autre grosse voiture... Source de référence, il serait bien d'épingler cette source : https://www.anumme.fr/2020/07/23/rsiques-incendies-solutions/

Justement, tu ne crois pas si bien dire. Je me suis renseigné sur les techniques de stéréophotolithogravure, et notamment pour ce qui a trait aux composants dits "MEMS". Micro Electrical-Mechanical Systems. Ce sont des composants "SoC" (System on Chip) qui sont à état solide. Il n'y a pas de pièces en mouvement comme dans un gyroscope satellitaire. On arrive à détecter l'accélération, la rotation, certains détectent la directivité du champ magnétique terrestre, la pression relative via une capsule scellée sous une pression connue avec un gaz pur. La variation barométrique fait gonfler ou rétrécir la capsule qui intègre une jauge de contrainte embarquée. Très récemment, une équipe du Commissariat à l'Energie Atomique a fait une avancée décisive dans ce domaine, avec un nouveau capteur fonctionnant à une fréquence électromécanique de 25 kHz et qui est capable de mesurer des changements de direction aussi lents que 0,1° PAR HEURE, avec une excellente précision car la dérive de repositionnement est annoncée comme très faible (0,08° de dérive). Ce sont les militaires qui vont se servir les premiers de cette technologie ultraminiature. Mais après les marchés de l'automobile, ce sont les monoroues qui en sortiront les grandes gagnantes. La plupart des monoroues de grande dimension n'ont pas de rappel inertiel, l'utilisation de moteurs thermique est exclu d'avance à cause de l'inertie des pièces mécaniques en mouvement que ces moteurs impliquent. Je pense que les moteurs brushless à flux axiaux et les anneaux forgés sont un passage obligé pour avoir quelque chose de valable qui ne finisse pas comme la course de modules sur Tatooïne. "ça va très vite et c'est très dangereux..." disait Qui-Gon Jin. Source de l'article : https://www.techno-science.net/actualite/gyrometres-petits-ultra-performants-N21464.html

Hello les monowheelers et trottineux aha ^^ Je suis content de rejoindre votre communauté de joyeux drilles; j'ai un peu XP (et quelques chutes d'anthologie) avec l'excellente Ninebot One E+, et là j'en ai vraiment trop besoin d'avoir quelques unes de valables; je passe ici à cette fin notamment mais pas que. C'est un sacré univers que vous avez là; je m'intéresse de plus en plus à l'électronique sous-jacente, aux batteries, BatteryManagementSystems, à l'électronique de puissance et aux circuits MEMS qui sont employés. Ce n'est pas mon métier, mais je m'équipe pour comprendre, adapter, réparer, créer. Et surtout, apprendre auprès de vous. On a tellement à apprendre dans une vie. Au plaisir de vous lire.