Techos78

Pareil, je ne suis pas à l'aise sur un siège, même un siège surélevé. Tiens, j'avais même commencé à bricoler un support de siège, faisant aussi office de poignée : Bon, désolé, cela ne concerne pas directement Gotway, mais pour moi le seul trolley raisonnable doit avoir une poignée centrée que l'on manipule "entre le pouce et l'index" .

Certains supports pour guidon peuvent rehausser la poignée, par exemple celui-ci pour un diamètre jusqu'à 35 et qui a un déport de 100mm : https://www.cyclo-randonnee.fr/support-pour-lampe-290/support-minoura-pour-guidon-1729.html C'est juste une idée, je ne sais pas si ce modèle convient, et un modèle avec deux colliers serait plus solide... Il doit être possible de créer cette rallonge en print-3D. (amovible et/ou articulée).

Posté par @R2D2 : https://www.espritroue.fr/uploads/monthly_2019_10/Future_Transportation_-_First_time_ever_-_Rickshaw_propelled_by_an_electric_Unicycle_in_HK_2421736741276562.mp4.becc449f9da959223f156de91f2fe627.mp4

Les barrettes de leds ont effectivement une fiabilité assez modeste. https://www.kingsong-europe.com/en/accessories/47-led-side.html Ce serait intéressant de les réparer, à condition de savoir souder les cms... et surtout avoir la référence de ces leds multicolores à liaison série.

@R2D2 a probablement raison, le disque ne semble pas bien centré dans son étrier...

Les géométries de ces vélos sont un peu différentes.. La liaison entre partie centrale et arrière diffère : Il y a la MoovWay ou la Takara avec une pièce interface très propre : (a priori selle non suspendue réglable) Mais la MoovWay peut aussi avoir une plaque soudée : (selle non réglable) La E-Slide avec un "collage + une bride (selle légèrement réglable ?) Une TaagWay avec pneu 12" à l'avant et 10" à l'arrière : Bon, en regardant un peu mieux, la partie centrale n'est pas la même, la barre transversale est nettement plus galbée sur le E-Slide, et il n'y a pas de poignée sur celui-ci... et j'ai l'impression que l'angle de chasse n'est pas le même, ce qui peut influencer la tenue de route. Je commence à comprendre pourquoi la longueur de ces vélos est variable selon les modèles...

Euh, ta phrase est équivoque. Des Monster 100V, ce n'est pas ce qui manque, en regardant rapidement le mois dernier j'avais vu ça : "-- en 100V : 1530 Wh , 1845 Wh , 2450 Wh , 2660 Wh , 3108 Wh." Là, le sujet porte sur la version 3108 Wh, et il semble matériellement impossible de ne pas utiliser des cellules 21700 placées en position verticales. Si tu as des infos contraires, cela mérite une attention particulière... Perso, je n'ai pas le moindre doute sur la position verticale des cellules en regardant cette photo :

Si j'étais vulgaire, je dirais rhaaa meeerde ! Merci @Exo , c'est corrigé.

Eh bien non. Bien sûr c'est une alarme sensitive (moi elle me donne le mal de mer), mais pas uniquement. C'est une alarme active qui modifie l'équilibre (l'angle de site). Concrètement la roue accélère de manière fugitive, ce déplacement (par rapport au pilote) est ressenti comme un "relèvement des pédales" ou bien "une roue qui se barre", et le nouvel équilibre obtenu crée les conditions d'une stabilisation de vitesse ou d'une décélération selon la "violence" du tilt-back imposée par le constructeur. Certains scooters monoroue disposent d'une poignée de frein qui provoquent cette variation d'équilibre qui est la seule méthode pour "freiner" un engin pendulaire. Et une "poignée des gaz" fait une variation d'équilibre inverse. Tout ceci pour aider le pilote assis qui est peu mobile dans le plan longitudinal. Oui, absolument, pour générer un tilt-back le moteur a besoin de ressources, tu l'as bien expliqué. Si on est à 99,9% de puissance utilisée, c'est cuit. Donc nous sommes d'accord, je réagis uniquement à cause du bout de phrase en gras.

Le guidon dans la main, ouais, ça doit être une expérience un peu "spéciale"... on doit en profiter plus longtemps qu'un bête faceplant en e-roue. L'intervention n'est pas triviale, je ne suis pas sûr qu'un quidam avec deux mains gauche puisse s'en sortir honorablement. A priori, des outils spéciaux facilite l'intervention : extracteur et douille pour écrou crénelé. Cette vidéo donne une idée des procédures : https://youtu.be/-cZDzZUDotg J'imagine que si les pros mettent de la colle, ce n'est pas uniquement pour faire chier... mais je n'ai pas d'avis là-dessus. Je pense que pour limiter la fatigue de cette pièce critique, la position des pieds doit être importante pour éviter le plus possible les contraintes sur la potence. Bonne glisse sur vos engins rapides, faites gaffe quand même...

Hormis les dégradations de performances, les températures froides ne dégradent pas vraiment les circuits électriques ou la chimie des batteries. La zone critique est autour de 0 degrés, c'est le passage du point de rosée. En température ascendante, le givre se transforme en eau avant de s'évaporer, dans le sens inverse l'humidité se condense sur les éléments les plus froids (en général les parties métalliques). Qui dit eau dit oxydation, même à l'intérieur des compartiments étanches... Certains plastiques n'aiment pas trop les températures basses et tendent à devenir cassant, mais c'est surtout l'exposition aux UV qui est dommageable. Il y a aussi certains caoutchoucs qui s'oxydent, ce qui entraîne durcissement et fissures.

Bon, @sevy13 a fait un beau boulot technique, et vous vous contentez de lui pourrir son sujet avec des considérations administratives largement débattus par ailleurs.

NOOOON, une roue ne coupe pas, il faut arrêter de dire ce genre de chose, ce n'est pas ça. Le moteur décroche parce qu'il est surchargé, c'est tout. Nos brushless sont des moteurs synchrones, c'est à dire que le rotor (la jante) est sensée suivre le champ tournant. Si on dépasse le couple disponible au régime considéré, on glisse d'un pôle...ou plus, et on perd l'asservissement. Boum. Au lieu de dire "la roue coupe", s'il vous plait, dites "le moteur décroche", ce sera plus pertinent. Merci

je rêve, tu as mis ton clou sur la table du salon ! (tu peux remettre le garde boue arrière...) (pour ceux qui connaissent mal l'argot, clou = vieille bicyclette , pour moi c'est une dénomination amicale) Je pense que le cadre long permet une tige de selle bien longue, indispensable pour la version à pédales. En version draisienne, on peut davantage accepter d'être recroquevillé. Et on peut plus facilement accrocher un accessoire : un porte bagage, une plaque et, euh non, pas un porte bébé . Il faudrait aussi un plateau de plus grand diamètre parce que là, ça mouline trop vite. C'est plutôt au pilote d'aider le vélo... de temps en temps, comme sur un Solex, mais eux il avaient besoin d'être démarrés.

Respect, @sevy13 , beau boulot. Tu as dû voir qu'il y a eu un sujet sur la version à pédale, de chez DYU Ton intérêt et tes améliorations sur ce petit machin confirme l'intérêt pratique de ce genre d'engin. Il semble en effet y avoir de nombreux clones, dont certains à très bas coût, mais que cette base évolue en devenant suspendue, allongée ...etc. Tiens, une question vicelarde : tu as une sonde de température sur ton contrôleur ? C'est un 250 W nominal, et comme tu as parlé de 250 et/ou 350 W...

En barrettes mâles sécables, broches droites au pas de 1,27 il y a du choix mais c'est plus cher qu'au pas de 2,54 . exemple : conrad

Diable, je pensais être clair... Bon, voilà une photo de ma ks16 : Le support de pédale était desserré, ce qui provoquait des (petites) instabilités et des bruits suspects. Le support s'affaisse et ce que j'appelle le talon vient toucher de temps en temps le carter moteur, ce qui a fait la petite trace blanche et qui a cisaillé l'étiquette circulaire en papier sur le carter moteur. Il faut que ce support pédale reste parallèle au moteur, en tâtant avec le bout des doigts tout en sollicitant la roue en compression, on sait tout de suite si il y a un problème. Il faut bien se rendre compte qu'on applique un porte-à-faux énorme sur cet embryon de châssis, on se rend mieux compte en retirant la coque : Inutile de dire que comme ça, c'est terriblement instable, et que ce n'est pas par hasard si j'ai mis le pneu dans un trou.

D'une manière générale, je pense qu'il faut anticiper une descente de trottoir en baissant les fesses, puis allonger les jambes pendant la descente, le but global étant que le centre de gravité du pilote reste à altitude constante. Les descentes jambes raides sont à éviter si on ne veut pas tout casser. Un gros impact perturbe aussi les capteurs : l'accéléro qui fait son possible pour déterminer la position verticale (fonction inclinomètre, la gravité disparaît pendant une chute), et le gyro est sollicité si le pilote ne "retombe" pas les pieds à plat (mouvement peu naturel) .. Le resserrage des brides de supports pédales est presque une opération de routine. Pour voir si cela se justifie, mettre la roue à plat par terre, appuyer de tout son poids sur la pédale repliée (avec les genoux par exemple) en glissant ses doigts pour mesurer la distance entre le talon du support pédale et le carter moteur. Il doit faire 5 ou 6 mm et ne pas varier de plus de 1mm. Dans les pires cas, on entend un bruit de cloche en descendant un trottoir, et le carter moteur se raye.

Salut @DiscoJesus , bienvenue. Je pense qu'il faudrait faire quelques photos de cette trottinette pour aider les spécialistes de ce forum. C'est facile de les inclure dans les messages puisque ce forum peut les héberger, de préférence faire des .jpg qui ne dépassent pas 200 koctets. Il faudrait que tu essayes de voir si c'est bien le bridage qui limite la vitesse, ou si c'est la puissance qui est insuffisante.... Mais effectivement, les bridages sont souvent conditionnés par la connexion de 1 ou 2 fils gris...

<HS> Une connexion sertie est fiable quand elle est pratiquée avec de bons outils et les bonnes procédures. Par exemple, les ~530 km de câbles d'un Airbus A380 qui relient les connecteurs entre-eux sont pratiquement tous sertis. La qualité du contact est due à une propriété physique étonnante : quand deux métaux sont fortement pressés l'un contre l'autre, l'air et l'humidité ne passe pas, donc pas d'oxydation. (il faut que les métaux soient compatibles pour éviter le couple électrique). La meilleur démonstration que j'ai vue est celle-ci. Mais il faut d'abord savoir ce qu'était le wrapping, qui consistait à enrouler un fil rigide argenté sur une broche carrée. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Wrapper_(électronique) Techno obsolète. Les spires sont jointives, la première avec la gaine puis environ 6 spires fil nu. Sur les centaines de cartes wrappées que j'ai manipulé, je n'ai jamais vu une "queue de cochon" défectueuse. Un jour, j'ai démonté les fils d'une carte extrêmement oxydée (plusieurs années sous la flotte) : l'intérieur des fils était parfait, état neuf, vraiment, c'était à peine croyable. </HS> .

Contrairement à ce que son nom indique, cette dragonne ne coupe pas le circuit mais au contraire établit une liaison pour arrêter un moteur thermique.

Cela démontre que le chargeur avait une faiblesse, il aurait dû résister car il est sensé appliquer une limitation du courant de sortie Je préconise de remplacer ce chargeur, sans trop de regret...

Connecteur JST-SM 2 broches.

+1 Ces roulements coûtent un bras, mais ils représentent une excellence industrielle unanimement reconnue. Cette version est à double flasque étanche à faible frottement, c'est un peu luxueux mais il ne faut pas mégoter. capacité de charge dynamique : 1 tonne, ça rassure... exemple de fournisseur : Radiospares

Amusant, j'ai eu la même idée, surtout qu'il y a beaucoup de choix dans les batteries bouteilles. Un soir où j'avais bu, j'ai même imaginé une modification de la partie basse du cadre pour faire un ovale complet... .