Techos78

<hs> Très bien cette table de travail B&D, je vais me l'acheter pour profiter des avantages carte BricoMarché...(-10%) </hs> Je suis ravi de voir un gars soigneux qui prend soin de sa vieille ks18, assurément une roue sympathique. ( Je veux être enterré avec ).

ok .. malheureusement beaucoup de gens vont croire que la trottinette doit etre recyclé au bout de 3 mois,comme je l ai compris Ce n'est pas parce qu'on a une espérance de vie de 79,5 ans que l'on reçoit une convocation pour se faire incinérer... ouf ! (un film de SF bien connu : l'age de cristal...)

Il est possible (?) que cette statistique inclue aussi le vol, fatalement colossal, sans parler de l'immersion au fond de la Seine...

Oui, ces trous de vis sont un point de faiblesse. La tête de vis appuie sur très peu de plastique, et il y a en plus des rondelles frein éventail qui n'arrangent rien, car elles machouillent le lamage. Il faut donc les serrer très modérément, avec un peu de Loctite freinfilet faible. Et en cas de chute, les lamages s'arrachent... Les vis sont de très classiques M6, qu'on trouve (presque) partout, j'ai adapté la longueur par sciage/meulage. Cependant, pour refermer correctement les capots latéraux, il faut creuser à l'intérieur de ces capots (à la Dremel) à l'emplacement des têtes de vis. Les vis de ton lien conviennent, j'ai l'impression que la tête fendue en croix est un peu moins épaisse que celle de la photo, mais il faudra quand même creuser un peu. Mais le résultat est impeccable. Euh, la coque frotte contre le carter moteur, non ? C'est d'ailleurs ce qui arrive quand la fixation des supports pédales est desserrée, cela peut aussi contribuer à arracher les fixations. Voilà la trace de la coque sur le carter moteur : Diable, déjà !. Je pense pouvoir pousser les Kenda à 5 ou 6 000 km...

Les deux coques sont quasi identiques, les écarts que je vois sont : -- il y a deux vis supplémentaires presque au centre de la poignée de la 18s, la 18a ne les a pas, mais je n'ai jamais constaté un écartement entre les 2 demi-coques. -- la carte mère de la 18s est ventilée, le capot de la 18a est plat sans évents. Mais les 18a de seconde génération sont aussi ventilées. -- les capots latéraux des 18a de 680 et 840 Wh ne sont pas percés (sous les pads supérieurs) car il n'y a que les 2 batteries en bas. La 3ième batterie en haut nécessite de percer les deux carters, d'ailleurs quand j'ai ajouté une batterie générique très grosse (avec raidisseurs internes), cela passait vraiment juste : La batterie KS n'a que la chaussette thermorétractable, elle passe plus facilement. La photo de droite montre aussi la poignée avec un seul trou de vis (le même de l'autre côté). Ma "vieille" 18a, achetée d'occasion, avait aussi des fixations de coque arrachées au niveau des pédales, j'ai remplacé les vis alen cylindriques d6 par des vis à tête très large (boulon poêler inox), attention à la longueur des deux vis du haut qui peuvent interférer avec les vis des brides de fixation sur l'axe moteur. La 18s n'a plus le on/off bluetooth audio, celui-ci est toujours en route. mais le petit tableau de bord avec les leds de batterie a la même dimension. Donc, en rando, n'importe qui peut t'envoyer des zimzimboumboum sur ta roue, ce qui n'est pas forcément rigolo. Mais peut-être que les nouvelles applis permettent de mettre un mot de passe BT... En résumé, les deux coques 18a et 18s sont compatibles, mais pour quelqu'un qui découvre le truc, c'est ~1 journée de boulot. (surtout bien faire le joint à l'intérieur du passage de roue).

C'est bidon, personne n'a envie de faire l'effort de recharger une batterie, que ce soit en roulant ou sur un home-trainer chez soi. On a des centrales nucléaires pour ça .

J'ai du mal à comprendre. A l'opposé des beaux mosfets (mal soudés) je vois 4 connecteurs bipolaires blancs qui sont en toute rigueur (?) réunis à la sortie de chaque batterie. La charge des batteries ne passe donc pas par la carte mère, elle fait partie du faisceau et n'a donc aucune raison d'être livré avec cette cm. Je me trompe peut-être, la structure du câblage nécessite des épissures, (on en voit au dessus de la cm), tout cela est fretté par dessus la carte ce qui rend l'ensemble assez confus. Il faut être clair, la carte mère est une chose, le faisceau (et raccords divers) une autre, de même que les vis de fixation, les frettes, etc. A ma connaissance, il n'y a que la ks18L qui est reliée au port de charge et est réunie à chaque batterie par 3 fils. Presque toujours, la charge est une fonction qui n'a pas de rapport avec la carte mère, tirer à boulet rouge sur un revendeur me semble peu pertinent. "Friends, these three red plugs are batteries and charging. The motherboard is not equipped with this plug." ... que dire de plus ? ? ?

Bon, je vais donner la clé pour comprendre ma réponse. Depuis Fantasia de Walt Disney, Paul Dukas est connu essentiellement pour l'Apprenti Sorcier, et c'est ce que nous sommes perchés sur une roue avec une maîtrise partielle des mécanismes en jeu et des nombreux aléas. Pour Wagner je pense à la Chevauchée des Walkyries qui représente bien le troupeau de trotts qui déboulent sur les trottoirs.

Bah, mon avis ne présenterait pas beaucoup d'intérêt, et nécessiterait une réponse longue (et hors sujet). Pourquoi on peut préférer Paul Dukas à Richard Wagner ? Mystère...

Impec, ça roule. Pour info, c'est quoi ce "charge doctor" qui n'est visiblement pas passé dans les mains de Hobby16 ? Il fait aussi les coupures programmables ?

Ah ouais, je comprends mieux la raison de ce post sur les couleurs, il y a là un sac de nouilles qu'il faut démêler... A mon avis, la validation du câblage comporte deux étapes : d'abord la liaison chargeur -> charge-doctor avec la sortie CD non branchée. Si la polarité est bonne, le CD s'allume en indiquant 0 Ampère. Dans le cas inverse, le CD brûle. Quand c'est fait, on branche la liaison CD -> batterie en faisant confiance à la couleur des fils du CD et des fils des batteries. Il faut effectivement négliger les couleurs du raccord Amazon pré-câblé T-plug rouge, et cela peut effectivement conduire à relier du rouge et du noir... En clair, soit toutes les couleurs sont bonnes, soit il y a une double inversion et le départ (CD) et l'arrivée (entrée pack) sont identiques. Bon sang, s'il te plait, achète un multimètre, un truc à 15€ ça suffit . Mesurer une tension est facile, mesurer un courant un peu plus délicat.

Ben non, rouge tout le long, noir tout le long, les fils doivent propager la couleur. Ce sont les récepteurs (les batteries donc) qui inversent la couleur entre entrée et sortie. C'est surtout en informatique qu'on se permet de croiser les fils dans certaines liaisons numériques bidirectionnelles (RS232, RS422, Ethernet...) pour faire correspondre les entrées/sorties. Pour les câble Ethernet, beaucoup de routeurs ou switches effectuent électroniquement le croisement, il est quand même plus prudent de pas trop compter là-dessus. Edit : halte au feu, j'hésite. Si il y a le moindre doute sur la couleur des fils des bretelles de raccordement pré-câblées de Amazon, il faut vérifier chaque numéro de broche connectée, et, quand on est sûr, eh bien on boit un café et on refait une vérification. Pour sécuriser le test, on peut inclure un fusible dans le circuit, au double du courant de sortie du chargeur. C'est nettement plus simple quand on a un voltmètre sous la main...

J'ai l'impression que le sujet dérive un peu... On est conditionné dès l'enfance par des conventions, il est impossible d'y échapper. Serrer une vis, ouvrir un robinet, l'eau chaude à gauche, la pédale de frein au milieu ... Des habitudes pratiques, conventionnelles. Il y a quelquefois des raisons techniques qui, lorsque elles ne sont pas respectées, ont un impact (mal défini) sur l'esthétique. Je pense par exemple aux volets ou aux portails lorsque l'écharpe (la barre en travers) est montée à l'envers. En bois, elle doit travailler en compression, en métal elle doit travailler en tension. L'erreur est rare, mais elle me fait hérisser le poil... Mais pour compenser certaines conventions m'indiffèrent... fourchette à gauche ou à droite, je m'en tamponne royalement, d'ailleurs, c'est quoi ? En technique, les notions de normalité et de repos sont souvent liées. Un relais se dessine au repos, un interrupteur aussi avec le curseur si possible vers le bas. Les contacts peuvent être repérés NO, NC (normaly open, normaly closed). En fait, il est normal de ne rien faire, ça c'est une habitude qui me plait beaucoup...

Oui, même si le mot tradition est un peu fort, je dirais plutôt bonne habitude... à un point tel que quand je branche les cordons de mon multimètre, je respecte les couleurs (même pour des mesures alternatives ). L'origine du rouge au + est ancienne, j'imagine qu'elle vient de la notion de "point chaud" qui génère le courant, alors que le retour de courant est le "point froid", la masse, la structure d'un ordinateur, d'un véhicule... (attention, pas tous). Il s'agit du sens conventionnel de l'électricité, le sens électronique est inverse. Il faut être conscient que produire et gérer des câbles de différentes couleurs est un réel effort industriel, mais le bénéfice d'un "lever de doute" vaut le prix, les erreurs de polarité ayant souvent des conséquences désastreuses. Notons que certains secteurs ne font pas cet effort : par exemple tous les fils ont la même couleur dans un câblage avion. Et comme l'a dit @.AleX. , il est préférable de mettre les pinoches femelles du côté de la source, par sécurité. Mais il y a des cas litigieux, comme par exemple le port de charge Gotway qui est aussi une source basse impédance, ce qui a provoqué un certain nombre de feux de Bengale quand on titille la roue avec un objet métallique... Il y a aussi les connexions hermaphrodites, là on fait ce qu'on veut. Une autre habitude : pour un interrupteur, mettre la position on en haut, off en bas. (bon, pour un va-et-vient c'est foutu...). Là, l'origine est plus claire, cela vient des gros interrupteurs (EDF...) qui doivent se couper si le manipulateur tombe victime d'un malaise. Edit : je ne résiste pas : si tous les fils étaient monochromes, il y a beaucoup de films d'action qui perdraient tout leur charme...

Le support "officiel" est ce qu'il y a de mieux, sinon deux cales identiques sous les pédales... juste une suggestion.

Juste pour info : chez KS le numéro est donné par l'application, les premiers caractères donnent le modèle et il y a un caractère pour la quantité de batterie. @papaCoursac amuse toi bien avec ton nouveau joujou, Je regarde toujours tes commentaires avec intérêt... Vive les jeunes

Il faut que la roue soit parfaitement verticale latéralement (en roulis) quand on fait la calibration des pédales. Si on calibre en biais, il peut effectivement y avoir un tiltback/tiltfront fugitif. On peut tester en tenant la roue à la main, quand on fait un pivot manuel rapide (en cap), l'angle des pédales ne doit pas bouger, il doit conserver l'angle (en tangage) que l'on a imposé lors de la calibration.

@Dridjo , tu m'impressionnes, tu as une patience de bénédictin... Bon, en substance, tu nous dis que le PV de 5ième classe à 1500€ n'est pas applicable aux e-roues car le débridage est impossible à démontrer. Si l'assureur ne veut pas payer, ça c'est un autre problème. L'assureur n'a pas de moyens de test, l'expert n'est pas assermenté et donc pas habilité à réclamer l'application d'un PV. Tu as raison d'évoquer les cyclos thermiques, il est bien évident qu'un gendarme ne peut pas vérifier le diamètre d'un gicleur de carbu au coin d'une rue... Mais un gicleur c'est concret, tangible, alors qu'une programmation de tiltback est très virtuelle, (trop ?) évolutive. Même l'application qui lit les seuls d'alarme bluetooth doit être certifiée, eh bien on n'en est pas encore là.

Ben non, artemisa ne peut pas contrôler une e-roue, le test d'un engin pendulaire est possible mais nécessite des moyens nettement plus imposants et sophistiqués... Comme il y a ~100 fois + de trott's que de roues, et que ces roues posent a priori moins de problèmes (médiatiques), j'imagine ne jamais voir ce genre d'outil dédié... A ma connaissance, seuls les russes ont essayé des roues dans une chambre de test, pour mesurer le couple et la vitesse, le système est énorme et il nécessite une fixation et une mise en charge adaptées au type de roue. Mais de là à en faire un outil certifié...

Une question simple : Comment fait un gendarme pour vérifier si une e-roue est débridée ?. Sachant qu'il est facile d'inhiber l'antenne du bluetooth (scotch alu...), il reste le contrôle physique : -- le gendarme essaye la roue (je ne suis pas sûr qu'il en ait le droit... ou le courage) -- ou bien il dispose d'un moyen de test (à rouleaux...) et là je suis sûr qu'on ne verra pas ce genre de chose (certifié et vérifié) avant plusieurs décennies.

Pour ce qui me concerne, les deux roues neuves que j'ai acheté (gyroroue-shop et Kingsong-Europe) avaient le tiltback à 25 km/h, le code de débridage ne m'a pas été fourni c'est donc moi seul qui ai pris l'initiative de modifier cela. Je peux donc témoigner que pour moi 100% des roues sont bridées à 25 km/h. Dans les deux cas, les cartons avaient été ouverts, puis refermés, avec les pneus à une pression correcte, ce qui laisse supposer qu'un travail de contrôle ou de préparation avait été effectué. (vérifier le numéro de série nécessite de mettre la roue en route...). Evidemment, si on n'achète pas en boutique, on peut même recevoir une roue "bridée" à 0 km/h, ce qui est fréquent avec Ninebot dont les roues ne marchent pas à la livraison...

L'impulsion initiale ne compte pas. Ce n'est pas parce qu'une voiture a un démarreur de 1 cheval qui permet de parcourir 50 mètres qu'elle entre dans la catégorie des hybrides...

Les e-skates obtiennent un score étonnant mais la catégorie est large. Petites planches jouet, planches +/- longues 4 (grandes) roues, planche mono-roue ... Cela mélange donc des engins traditionnels et pendulaires, alors que les problématiques sont différentes. En balade (~10 000 km), je n'ai croisé que 2 skates mono-roue.. Et j'ai croisé des fauteuils roulants d'handicapés et même une poussette biplace électrique. Et je ne parle pas de tondeuses auto-tractées

L'engin. En accélération, la fcem se soustrait à la tension batterie, c'est pour cela qu'on fait des roues 100 Volts pour aller vite. En décélération, la fcem s'additionne à la tension batterie, le freinage est donc plus efficace. Ce n'est pas la fcem qui change de signe (elle est simplement proportionnelle à la vitesse de rotation), c'est la tension batterie qui est appliquée cycliquement au moteur, la variation de phase permet le contrôle du couple positif ou négatif. Cette fcem est toujours présente (sauf à vitesse 0), c'est en quelque sorte une "batterie virtuelle" qui se place en série avec la batterie de la roue. Le pilote. Le plus souvent, on accepte plus volontiers de se pencher en avant qu'en arrière, surtout que les inclinaisons extrêmes sont dangereuses. Il est bien difficile d'imaginer un pilote parfaitement symétrique... Edit : on parle de force électro-motrice ou force contre électro-motrice, mais il faut avoir conscience que ce n'est pas une force mais une tension. Les physiciens aiment bien plaisanter...