Techos78

Je pense que tu te trompes. Ce n'est pas le terme "écologie" qui gonfle les glandes, mais les termes cortège, défilé, manifestation ...etc. Ça devient permanent, les anti-taxes, les pro-juifs, les pro-écologie, les pro-camembert-au-lait-cru... Raz-le-bol... Un peu de calme nous ferait des vacances. Pareil, à cause des pollens l'air est parfois irrespirable, la nature est vraiment dégueulasse, c'est un scandale, il faut faire une manifestation.

Ton plaisir fait plaisir à lire. Yapuka acheter des pédales longues pour atteindre le nirvana ... .

Juste une remarque. J'ai (très bien) dormi en hamac du temps où je faisais de la spéléo. Non, on ne tombe pas quels que soient les mouvements nocturnes, d'ailleurs on peut sécuriser en mettant un mousquif au milieu. Par contre, la montée et la descente quand on est dans son sac à viande, ben euh, c'est le bordel, il faut être souple .

Nooonnn !! , c'est un angle de 37°, avec un court passage (optionnel) à 47°. cela fait respectivement une pente à 75% et 107% . Pour passer de l'angle en degrés à la pente en % on calcule la tangente de l'angle et on multiplie par 100, pour faire l'inverse on divise la pente par 100 et on calcule l'arctangente. Monter/descendre une piste pareille est à peine croyable. Question : est-ce que ça me tente ? Réponse : non, non !.

D'un point de vue technique, nos moteurs brushless sont des moteurs synchrones : la carte mère énergise le stator avec un champ tournant très puissant, mais le rotor (les aimants) ne peut pas suivre... Le moteur décroche quand il atteint sa limite de couple, la roue bascule vers l'avant. Pouf. L’événement est brutal, soudain, il ne prévient pas. Notons que dans ce cas, la roue ne peut pas effectuer un tilt-back, car il faudrait de la réserve pour que la roue accélère afin de cabrer les pédales.

Beau travail. Ce qui est agréable avec la ks18a/s c'est que le passage de roue est très lisse, contrairement à la ks16 qui a des alvéoles... je me souviens encore d'une petite pomme de pin qui s'est coincée là-dedans avec un bruit de mitraillette... Le pistolet à colle est pratique, assimilable à une brasure, le problème étant la compatibilité chimique et mécanique des matériaux en présence... La solution noble est la soudure, mais cette solution est quasi inaccessible pour un particulier qui n'investira pas pour de rares interventions : Eh bien, bon remontage final, attention au fils moteur qui chauffent et déforment les enveloppes thermo des batteries ou des gaines en rilsan, on peut protéger les endroits thermo-sensibles au scotch au téflon, mais sans gainer les fils car ceux-ci doivent dissiper le plus possible. J'espère que les fils de la 18s sont plus gros, surtout que la puissance sort d'un côté et les sondes de l'autre. Bon wheeling... en essayant de ne pas re-péter les plots des vis A propos de vis, je n'ai jamais compris pourquoi la 18s a deux vis en plus sur la poignée (par rapport à la 18a) : Les trous sont désagréables lors du transport. La poignée de la 18a ne baille pas, cette modif ne me semble donc pas très pertinente.

Ab-so-lu-ment. En off-road, aucune coque sous les pédales, et surtout pas des leds inutiles. Pour les Champs Elysées c'est différent (surtout la nuit). De plus, il faut une trappe pour accéder à la valve...

Pourtant, avec internet, c'est facile d'apprendre à lire un pneu...

Mais oui, tout le monde a compris que la Monster te fait de l’œil...

Wahouu, tu as séparé les coques internes, c'est effectivement très couillu. Je ne suis pas allé jusque là. Pour tes plots, comme c'est la partie opposée à la tête qui est cassée, il suffit de mettre des vis nettement plus longues (éventuellement en faisant un trou plus profond), il y a de la marge. Les chinois mettent des phillips n°2 (PH2), il faudrait trouver les mêmes, pour éviter de mélanger phillips et pozidriv qui ne sont pas strictement compatibles. A la jauge de profondeur, mon pneu actuel 18s (3600km) a une hauteur (flêche jaune) de ~2mm, le salmon skin (comme disent les printers 3D) est effacé jusqu'à la rainure rouge. Un Kenda 16" que j'ai changé était comme ça : Toutes les sculptures sont arrondies, émoussées, cela peut s'expliquer en partie parce que j'ai fait pas mal de rotations/pivots avec cette roue, la gomme n'apprécie pas (85kg !). La hauteur jaune en dessous de 1 mm c'est la limite que je me fixe arbitrairement, je pense changer la 18s à environ 5000km, pour un autre Kenda. Edit : pendant que j'y pense, il ne faut pas trop serrer les 2x6 vis de coque, surtout qu'il y a au fond des trous des rondelles éventails qui machouillent le plastique. Serrage modéré avec un peu de frein-filet sur les vis btr... Les 2 vis du haut sont très proches des vis des brides, il faut respecter les longueurs.

Perso, je jette un œil sur la Mercane MX60 qui vient d'être mise en production (5000 par mois maxi) et qui commence à être distribuée, de ci de là... La structure "fil de fer" est amusante (les avis sont très partagés), c'est une 11" tubeless double moteur, suspension à gaz (à confirmer), batterie instantanément démontable (seulement 20Ah/60V), possibilité selle, porte bagage, top case... C'est tout neuf, il faut voir ce qu'en diront les essuyeurs de plâtre... On en parle ici : https://www.espritroue.fr/topic/7046-mercane-mx60-11-2400w/

Il faut voir qu'un scooter monoroue est assez complexe, il faut : -- incorporer un maximum de composants à l'intérieur de la jante -- incorporer la roue dans un châssis -- contrôler la carte mère à l'aide d'une commande de freinage (décalage d'attitude pour cambrer l'engin) -- contrôler la cm avec une commande d'accélération (décalage d'attitude pour mettre l'engin en piqué) En faire une e-roue semble facile, je me demande si ils ont conservé un mini-châssis interne en forme de fourche, cela en ferait la roue la plus solide du marché (comme l'IPS-i5), car il faut bien admettre que les pédales en porte-à-faux, c'est vraiment pas le pied.

Nom de Zeus, plus bestial tu meurs, je ne sais pas si j'aurais osé Merci @LeLion74 Le gars fait ça très facilement, cela semble facile ... Mmmhhh, à voir ... Il est clair que cette roue très confortable que j'adore a une configuration interne épouvantable. Par exemple les fils moteurs de la 18a sont vissés directement sur la carte mère, il faut donc tout ouvrir et débrider les câbles pour sortir la roue (j'imagine que c'est toujours comme ça pour la 18s ?). Un de ces jour je regarderai toute la vidéo, le gars à l'air doué. J'ai cru comprendre que certaines roues ont été livrées en pièces détachées, batteries à part, pads à coller etc. J'attend avec délectation le moment où le gars va s'apercevoir que pour refermer les capots sur le pack du haut il faut faire des gros trous à la Dremel , je suis aussi passé par cette "surprise" quand j'ai upgradé la 18a, cœur sensible s'abstenir...

J'ai démonté plusieurs fois la ks18a, (1ière version sans ventilateur), mais jamais la 18s... Mais même sur la 18a ce capot a du mal à coulisser. j'ai utilisé deux serre-joints avec un gabarit en bois. Il faut résister à l'envie d'utiliser un marteau ou un maillet, il y a un gros risque de casser le capteur gyro. Il faudra que j'ouvre bientôt, le pneu n'est plus très jeune (3600km KS). Moi qui espérais faire 8000km avec ce Kenda, je ne vais pas y arriver. <HS> Mais j'ai un souci : après une dizaine de km, ma roue fait un petit grincement à chaque tour de roue, ce ne sont pas des saletés dans le passage de roue, ce n'est pas une pédale desserrée, j'ai un peu peur que ce soit un roulement en train de lâcher... </HS>

C'est ma foi vrai, Erik Buell est un génie, il a tout essayé :

Oui, la tige de selle est inclinée, vers l'avant ce qui est l'inverse par rapport à certaines bicyclettes : En effet, les câbles moteurs sont très exposés... il faut s'acheter une imprimante 3D pour créer de bonnes protection ? Il y a aussi l'arbre du vérin avant qui prend bien la poussière, un soufflet ne serait pas un luxe, ou bien simplement une casquette comme certaines motos off-road. J'ai l'impression que l'amortisseur arrière marche à l'envers : il semble s'allonger quand on comprime la roue.

Visuellement pas déçu, un joli puzzle, il faut juste 1 litre de Loctite frein-filet. La tige filetée avec bouton moleté pour maintenir la colonne pliée est nulle, surtout ne pas porter la trott par cette colonne. Attention au type d'amortisseur : a priori il y a les pistons à gaz (valve dessus), des modèles avec vis latérale (?), des modèles avec rien du tout (?). Les forums russes parlent de préséries livrées avec une simple bouteille à ressort... La méfiance s'impose... Les confusions sont souvent dues aux langages mal traduits. Je dois admettre que la valve coudée vers l'avant ne me plait pas trop.

Bien vu @ac/dc . Je me suis focalisé sur la fourche en oubliant de regarder le moteur. C'est nul, je devrais bien la connaître, j'ai passé mon permis dessus... il y a bien longtemps.

Houlà , ça c'est du pneu. De profil c'est une GW-Monster, de face une quasi 9B-Z10. Un peu large quand même, il va falloir s'entraîner au grand écart facial, façon JCVD.

A priori il n'y a que 3 choix possibles pour un train avant : bras à roue poussée, bras à roue tirée, système télescopique. La roue tirée est adoptée depuis toujours par les scooters Vespa : Il y a un meilleur comportement lors d'une "montée de trottoir", la roue ayant tendance à reculer face à l'obstacle. Mais lors d'une descente de trottoir c'est l'inverse, la roue a un certain retard au déploiement. La roue tirée est en général plus sensible à la plongée au freinage, mais cela dépend du débattement angulaire du bras. Je pense que tous les deux-roues en ligne ont un train arrière à roue tirée. Tirée ou poussée, ce système articulé amène une légère non linéarité de l'amortissement (sommet d'une cosinusoïde), qui est souvent accentué par un amortisseur plus ou moins en biais. Le télescopique, généralement plus lourd, n'influe pas sur le déport de chasse, et l'amortissement reste linéaire. Mais il est aussi sensible à la plongée au freinage selon l'angle de chasse. Sur les motos haut de gamme (BMW et récemment Honda) on peut noter l'abandon de la fourche télescopique pour des systèmes articulés innovants qui éliminent la plongée au freinage. Pour mémoire, le déport de chasse est la distance au sol entre l'axe de pivotement et le point de contact. Un déport négatif rend le deux-roues instable. Edit, nostalgie : je ne résiste pas à publier une image de la mythique BMW R69S qui avait une roue avant poussée :

Architecture incompréhensible. Une roue poussée par un long bras raccourcie le deck, le seul (?) avantage est de minimiser la variation de chasse. Avis de béotien : quand on a une colonne double, on met une suspension télescopique...

J'aime bien le système d'articulation des pédales ks avec la butée en dessous qui sert aussi de poignée. Mais l'inconvénient est que cela forme une cavité, un réservoir à merdasse. La boue s'accumule sous le ressort et cela bloque l'articulation. Il faut déposer la pédale pour nettoyer et graisser l'axe (partie centrale) et le ressort. Nettoyer sous le ressort n'est pas facile, souvent les 2 vis sont bloquées à mort. Avec un peu de patience, en faisant circuler un lacet par dessous, cela suffit... Un coup de Karcher est sûrement efficace aussi... Je me demande si, préventivement, on ne peut pas coincer un bout de mousse imprégnée de graisse sous le ressort pour éviter qu'il y ait du sable... La buté reste efficace, la roue est utilisable. Il y aura un peu plus d'effet "castagnettes" en mode trolling sur les pavés, et la pédale tiendra moins bien ou pas du tout en haut.

OK. Je confirme que sur mes "vieilles" roues ks16b, ks18a, ks18s la présence du chargeur (alimenté ou non) n'a aucune incidence sur le fonctionnement de la roue. Donc, ks applique le principe Shadok "Pourquoi faire simple....." en ajoutant une fonctionnalité inutile, car empêcher la mise en route de la roue pendant la charge ne sert vraiment à rien. Bref. Le problème est (hypothèse) qu'il ont fait appel à un électronicien sans expérience. J'imagine la démarche : on tire un fil venant du port de charge, on pont-divise pour avoir la bonne tension et on applique ça sur un port du µcontrôleur, éventuellement sans passer par un buffer. Insuffisant, et dangereux pour la tenue aux perturbations transitoires (via réseau 220V), décharges électrostatiques..etc. l'inversion de tension n'est qu'une calamité parmi d'autres. Je n'ai vu que des packs de batterie simples, avec 2 petits fils d'entrée et 2 gros fils de sortie. Il y a de + en + des fils auxiliaires entre les 2 packs ou vers la cm. Je ne sais pas si c'est le cas pour la ks18L. Mais la détection de présence du chargeur passe forcément quelque part, sous la forme d'un fil qui va du port vert la cm, ou bien des packs vers la cm. Ce ne serait d'ailleurs pas une mauvaise idée de couper ce fil .. Edit tardif : la structure de la ks18L est différente : le port de charge est branché sur la cm, et chaque pack est aussi branché sur la cm via 3 fils (c'est suffisant car le + est commun). C'est une structure plutôt sympathique, malheureusement la circuiterie ajoutée sur ce port semble mal protégée... tout cela est à confirmer...

Je suis désolé pour ces cramages de cartes mères, consécutifs à une inversion de tension sur le port de charge. Très honnêtement, je dois dire ... que je ne comprends pas. En toute rigueur, les packs de batterie sont munis de diodes anti-retour (deux excellentes diodes schottky en //). Cela évite que le courant puisse "remonter" vers le port, cela protège des courts-circuits entre les pinoches. Par nature, ces diodes protègent également contre les inversions de polarité de la tension d'entrée. C'est une exigence très courante dans les équipements de bord des avions par exemple, l'utilisation de diode est LA solution la plus classique. Je dirai donc : les cellules et les bms résistent, et c'est normal. Par contre, que la cm dégage me semble hautement anormal. Cette carte devrait être connectée (gros fils) à la sortie des packs, et comme je viens de dire, les cellules ne sont pas impactées par la présence d'une tension exotique sur le port. En résumé, la cm devrait aussi bénéficier de la protection des diodes anti-retour. Si ce n'est pas le cas, c'est (probablement) qu'il y a une/des liaison(s) directe(s) avec le port ... ... Why ? ... Est-ce une détection de présence du chargeur, pour une gestion particulière des leds ou autres... Si c'est ça, c'est très mal foutu, un signal de test d'origine externe doit impérativement être protégé (clamping+esd). A priori j'ai tendance à évoquer un défaut de conception. Pour l'instant, c'est juste une tendance.