Techos78

Je ne connais que les premières RecioWheel qui par construction pouvaient accueillir des roues de diamètres différents. Il y a quelques roues dont on peut changer la hauteur des pédales ce qui n'est pas un changement de hauteur de châssis. Il y a les suspendues dont on règle le sag, mais là non plus ce n'est pas ça. Là, il y a une crémaillère pour régler la hauteur, avec des amortisseurs de longueurs différentes. Non, je ne vois pas d'équivalent, je sèche.

Tu n'as pas tout lu : au dessus de la flèche il est écrit "front use only" donc sens pour pneu avant. Dans les commentaires précédents, il semble y avoir une préférence pour le sens "pneu arrière", d'ailleurs presque tous les constructeurs respectent ce sens ar. (perso, je pense toujours aux pneus de tracteurs). Juste pour les 2 ou 3 membres qui ne sont pas au courant, sur une moto, les sculptures av-ar sont inversées. En mono-roue, on n'est pas tenu de respecter la flèche, surtout qu'on ne dérape presque jamais et que le couple n'est pas énorme, contrairement à un coup de frein mécanique.

Cette suspension très élaborée est le principal point fort de cette roue. Le réglage de hauteur globale est une exclusivité, j'imagine qu'elle est blindée de brevets et qu'on n'est pas près de la voir ailleurs. Les chinois semblent respecter les brevets... quand ce sont eux qui les ont émis... Un éclairage zoné, une béquille pivotante... c'est bien tout ça... Une architecture très symétrique (en l'absence de pads) laisse présager un moment d'inertie vertical centré minimisant les oscillations (wobble).... J'imagine que les flancs pourront être "habillés" par des plaques scratch, pour protéger un peu les tubes coulissants, en alu anodisés = pièces d'usure ?. Pour éviter de se repeindre les burnes en usage routier, un garde-boue enveloppant ne serait pas inutile. Une roue a utiliser à 25 km/h, oui oui .

Détail insignifiant : Probablement + à tord qu'à raison, je tique toujours un peu sur les pneus street montés "à l'envers"... C'est uniquement esthétique, en roulant impossible de faire la différence. Même à fond, une grosse roue n'atteint jamais la vitesse d'aquaplaning. C'est un débat récurrent, surtout pour un pneu scooter dont la flèche le destine pour le montage avant...

Tiens donc, comme c'est bizarre ! . Là, tu sautes les étapes...

Test d'autonomie : 15 km.

Oui et non, l'endroit le + critique est l'arrière du mollet, il est peu courant de rouler en bottes de cheval... mais dans une certaine mesure, les pads de freinage protègent partiellement.

Ouais. Et ce sont les femelles qui piquent, je propose une manif (5 à Paris il y a 2 jours...) Tiens, il y a deux jours justement, je rentrais de balade (~60km), peinard, petite allure (~20) dans une grande descente (chemin de Moulon, Gif), je passe devant la première maison à gauche et un gros chien se précipite en gueulant, me percute et me fait tomber. Pendant 2 seconde, j'ai bien cru perdre un mollet... ouf, pas de bobo. Pour meubler le temps, je suis allé engueuler la propriétaire qui a dit simplement : "Ah oui, j'ai oublié de fermer le portail"... Tout cela pour dire que lors d'une attaque insidieuse, on n'a pas le temps de déballer une bombe au poivre, un taser, un LRAC...

Une wheeleuse adepte des roues non suspendues : https://www.youtube.com/shorts/fzFHWfA72zE

Ah zut, je suis trop vieux...

J'imagine que tu parles de NOSFET. Cette nouvelle société a été créée par Jack Shu, un canadien vivant maintenant en Chine. Il s'est associé un transfuge de KingSong qui a conçu la s18 et la s22. Le prototype de l'APEX 01 est testé depuis 1 an, il utilise des éléments Leaper Kim (batterie, moteur, carte mère) mais assemblés avec une suspension démesurée (150mm), déclinée de la s22, car le concepteur détient le brevet et non pas KingSong. Il est possible (?) que ce soit une roue 151 Volt / 2700 Wh, du très haut de gamme destiné à la piste et au trail.

Salut, salut. Un forum à utiliser sans modération, ce qui est presque vrai, car notre gestionnaire-modérateur, surbooké par ailleurs, n'intervient que les années bissextiles. Je plaisante, bien sûr .

Juste une remarque : dans l'ips i5, roue extrêmement plate, la valve est carrément fixée avec une bride pour ne pas toucher la coque :

L'afficheur reçoit les données (liaison série) venant du contrôleur par un fil qui passe généralement dans la potence. Comme cet élément est pliable, il se peut que ce fil soit blessé, données coupées, alors que les fils d'alimentation sont OK. Ou bien un mauvais contact au niveau du contrôleur. C'est une draisienne neuve qui n'a jamais marché, ou bien c'est une panne récente ?. Car si cela a marché un jour, cela veut dire que le contrôleur est correctement programmé.

Pas d'accord. Les vae ne sont PAS limités à 25, c'est simplement l'assistance qui s'arrête, mais un cycliste qui n'a pas les muscles poreux peut rouler à 40 en toute légalité, ou même 80 dans une bonne descente.

@JoWheeler a bien résumé. Perso, je préfère éviter les changements, à cause du taux de panne en forme de cuvette : d'abord les pannes de jeunesse, puis le régime standard, puis les pannes de vieillesse. J'ai pas mal bossé dans le spatial, en utilisant des composants déverminés, c'est à dire ayant fonctionné au moins 50 heures, avec stockage de quelques échantillons de chaque batch. En résumé, se précipiter sur un truc neuf n'est pas toujours pertinent.

Ouille, ça va être dur de faire court. En fait, si, on peut statistiquement prévoir la durée de vie d'une carte électronique, en milieu professionnel, c'est même une obligation. C'est un peu laborieux, en général on fait appel à des spécialistes qui calculent le taux de panne des cartes ( composants + assemblage ). Chaque composant et chaque méthode d'assemblage (soudures...) est défini par son MTBF (mean time between failures = intervalle moyen entre les défaillances), il "suffit" de tout comptabiliser. Pour cela, on utilise le plus souvent des logiciels qui se basent sur des grosses bases de données qui recensent tout ce qui existe (réactualisées tous les ans), chaque item possède ses propres variations (derating) en fonction de l'environnement (température, vibrations, taux de charge V,I,P etc..), ce sont des critères qui doivent être déterminés par les concepteurs, le but est souvent d'avoir de bonnes marges fonctionnelles individuelles pour améliorer la durée de vie globale. Quand on dit : "ce satellite est prévu pour fonctionner 5 ans", on considère le MTBF global ainsi que les éléments consommables (carburant...). Mais on va plus loin, en s'occupant de la SDF (sûreté de fonctionnement). Cela consiste à détailler toutes les fonctions, la structure et la criticité, avec les redondances éventuelles... Gros travail, là un spécialiste s'impose, il devra travailler le + tôt possible pour conseiller au mieux le/les concepteur(s) électroniques. Bon, en général on ne part pas de zéro, on s'inspire des expériences antérieures... Trèèès à la louche, au vu des composants utilisés, j'aurais tendance à penser que le MTBF est supérieur à 50000 heures. (~5 ans au max 24h/24). Mais sans connaître les taux de charge ni la fiabilité du mems, ça peut varier dans un rapport 3... ou plus... Perso, je pense que changer la carte parce qu'elle est "usée" n'a pas d'intérêt.

@LeKeiser , tu es plutôt craintif, mais plein de bonne volonté, tu nous racontes tout cela (68ième page ) et chacun y trouve éventuellement ses propres ressentis. Bon, si tu préfères faire de la roue dans de bonnes conditions, c'est complètement légitime, c'est comme la libido, ça va ça vient... and so on...

Essaye l'ips i5 ou l'ips s5, une "grande roue de poche"... si tu la trouves. (8 kg)

Les ks16b, c, s ont quand même un défaut : elle ne sont pas confortables, les faux pads sont garnis de 2mm de caoutchouc qui caressent les mollets façon parpaing. OK, je suis un peu chochotte, mais le one-foot est à réserver aux masochistes extrêmes... L'avantage : on monte dessus très vite. . Hormis ça, ce sont des petites lenticulaires sympas.

Précautions classiques : chambre abondamment talquée, on gonfle (en vérifiant le centrage), puis on dégonfle complètement (la chambre "prend sa place"), puis on gonfle au nominal. Cela évite les contraintes localisées, le talc limite les adhérences et l'oxydation du caoutchouc.

Depuis toujours, les déménageurs utilisent des sangles ... de déménageur. Quelques militaires aussi (sabre, lourd pistolet...)

Certaines escalier comporte une goulotte latérale pour pousser un cycle. Eh bien, pousser une roue est galère, idem pour descendre. Les vae, avec leur mode piéton et leurs freins sont beaucoup plus commodes, sauf quand les pédales ou le guidon interfèrent avec le mur ou la balustrade (vécu).

Conso effrayante, 26Wh/km, sauf en allant très vite (sur circuit, bien sûr). On est loin des randonneuses 67V qui se contentaient de 16 Wh/km... Je regrette d'avoir cassé ma ks18s qui, avec 1680Wh, garantissait 100km mini.

Un générateur de courant est parfaitement à l'aise sur un court-circuit, c'est même le cas le plus simple car la tension à mettre en oeuvre pour avoir le courant requis est très faible. Remarque : la tension que l'on a réglé sur l'alim de labo n'est pas la tension au bornes de sortie, mais c'est le V maximum qui sera généré si la charge est trop résistive ou si cette charge est aussi un générateur inverse (une batterie...). C'est pareil pour un chargeur : à vide, il ne peut pas faire circuler son courant, et donc il applique la tension max prévue (84V ou autre). Un chargeur accepte un court-circuit (moyennant une étincelle de décharge de capa), ce n'est pas dommageable, mais souvent cette situation est jugée anormale et le chargeur clignote. Dans nos commandes moteur de roues, le triphasé est géré en tant que générateur de courant. Ce moteur est bobiné avec 10 ou 20 fils en main (i.e. en //), sa résistance est de quelques dizaines de milliOhms, c'est donc pratiquement un court-circuit. Les mosfets sont commandés par des modulations de largeur afin de créer le courant voulu, par conséquent le moteur ne reçoit qu'une petite tension pour démarrer. Quand il prend du régime, il faut compenser la fcem, donc la tension est toujours autour de cette valeur afin d'avoir le courant positif ou négatif nécessaire à l'asservissement. Et quand le moteur va trop vite, le courant ne peut plus être généré parce qu'on a atteint la tension batterie (pwm 100%)... et on se casse la gueule.