Techos78

Salut Victor, bienvenue à bord. Effectivement, comme tu peux le constater, la roue est élitiste, elle se mérite. Seuls ceux qui ont fait du monocycle à pédale peuvent dompter la bête en quelques minutes. Il faut savoir mettre un frein à ses ambitions, et gérer l'apprentissage tranquillement, avec méthode. Pour le roue-taf, il faut patienter un peu...

Bonjour, juste une remarque, pas très importante. On peut inclure dans Espritroue les liens des images (et des vidéos) qui sont sur le forum anglais, je le fais souvent et ça se passe bien. Par contre, la réciproque n'est pas vraie : j'ai posté des liens d'images dans le forum anglais, je voyais correctement ces images, mais les autres membres ne les voyaient pas. Il faut donc impérativement télécharger les images chez eux. Bizarre, non ?. Edit : @Hansolo , toi qui participes beaucoup là-bas, tu as remarqué ça ?

Il y a une condition de base, valable pour toutes les roues : il faut que le pilote soit symétrique, en position et en raideur de jambes. A moyenne et haute vitesse, un choc vertical (bosse, nid de poule...) se transforme en rotation en cap si la pression sur les 2 pédales n'est pas identique, c'est dû à l'effet gyroscopique de la roue. Cette excitation en cap peut amorcer une oscillation (wobble) qui finit par s'auto-amortir. Le pilote peut essayer de limiter l'amplitude en resserrant les mollets, mais il ne peut pas compenser ce phénomène car nos réactions corporelles conscientes ne sont pas assez rapides. Par contre, nos automatismes, nettement plus rapides, peuvent limiter ces perturbations... Un bon pilote s'en tire mieux, le problème est que nous ne sommes pas tous de bons pilotes...

La fonction lissage de runmeter est sympa, cela change des graphiques en hérisson.

Cool, les pannes aléatoires, toujours capilodestructives... 3A ? Attention au niveau sonore de l'engin, le ventilo est aussi discret qu'un NH90 au décollage...

Bien, @helyxir , je vois que tu te fais plaisir et tu as bien raison. Il y a deux structures de scooters qui peuvent faire hésiter : le moteur dans la roue arrière ou une transmission par chaîne ou courroie. Le moteur dans la roue semble plus simple, silencieux et pratique, le moteur déporté permet surtout davantage de puissance (régime + élevé) ce qui n'est pas nécessaire ici. Je ne suis pas sûr que ça change grand chose en terme de confort... mini notice Faucon e9s : http://www.avem.fr/scooter-electrique-faucon-moto-faucon-moto-e9s-175.html 5,8kWh / 140km 7890€ mini notice Faucon e9 : http://www.avem.fr/scooter-electrique-faucon-moto-faucon-moto-e9-178.html 7,2kWh / 180km 8890€ mini notice Faucon e9+ : http://www.avem.fr/scooter-electrique-faucon-moto-faucon-moto-e9-179.html 8,7kWh / 220km 9890€ Je me demande pourquoi le bras oscillant arrière est aussi gros, on a presque l'impression que c'est un scoot' thermique avec le moteur et l'échappement. C'est juste esthétique, ou pour ranger l'électronique ?...

Ouille, ça risque d'être coriace comme panne. A la louche, j'imagine que le schéma du chargeur ressemble à ça : Donc, en partant du réseau, fusible, filtre emi de mode commun, redressement double alternance, filtrage (les fameuses capas), puis un régulateur pwm (pas forcément celui-là, qui passe par un transfo pour générer la tension de sortie, le retour de régulation passe par un photocoupleur pour rester isolé. Si ton alim ne démarre pas, c'est que ton régulateur (IC1) est caractériel. Le démarrage est souvent délicat, le régulateur a besoin d'un front de tension qui d'une part va l'alimenter et d'autre part enclencher la modulation, qui assez souvent est appliquée progressivement (soft start). Ensuite, quand la tension secondaire convient, le régulateur module en conséquence via le photocoupleur. Ce démarrage est critique, tordu, à un point tel que dans mon ancienne société ce sont des spécialistes "alim" qui géraient le truc... Mais relativisons, si tu arrives a identifier la référence du régulateur, il suffit de bien lire les notices d'application correspondantes, elles sont par nécessité toujours très bien documentées. Il faut juste de la patience et un oscilloscope numérique muni d'une sonde par 100. Comme tu as déjà vu que tu es incommodé par la tension résiduelle des capas de filtrage du secteur, tu peux leur brancher une résistance en //, elles finiront bien par se vider et ça n'augmentera pas ta facture EDF. En imaginant une résistance 1/4W, à qui on demande 200mW sous 400Vdc, on a P=U.I et U=R.I d'où R = U^2 / P donc R = 400 x 400 / 0,2 = 800 kΩ que l'on transforme joyeusement en 1 MΩ pour se faciliter la vie. Ça devrait calmer tes capas têtues... Edit : suite à une déconnexion secteur, il faut attendre "un certain temps". Si j'appelle τ (tau) la constante de temps au bout de laquelle la tension résiduelle n'est plus que 33%, il faut au moins 6τ pour descendre sous le millième de la tension de départ, soit : 6 x 1E6 x 240E-6 = 24 minutes ... Ah ouais, quand même ! Finalement, l'interrupteur, c'est pas con... Edit2 : mais j'y pense, si tu branches et que tu as laissé ton inter fermé, bonjour le feu de bengale !. Pas très secure ce binz...

Oui, en effet, la séparation entre carte de contrôle et carte de puissance est plutôt sympathique, mais perd son intérêt si c'est géré ensemble. Dommage. Quand la montée en température est progressive, elle a de bonne chance d'être correctement signalée, à ceci près que la carte mère se sert de la sonde interne du µcontrôleur et/ou de celle du capteur gyro-accéléro. Plus rarement il y a aussi une sonde dans le moteur, et encore plus rarement dans le pack batterie. La température du radiateur est détectée avec un certain retard. Dans le mouvement pendulaire, on enchaîne des phases accélération et décélération, et c'est surtout cette dernière qui me semble méchante, car la tension générée par la roue s'additionne à la tension batterie , le courant est énorme et c'est une seule des deux batteries de la Z10 qui l'absorbe. En phase d'accélération, la batterie fournit le courant et la roue génère une tension inverse (fcem) qui minimise l'intensité, mais très peu car on est en quasi statique. C'est un exercice stressant pour la roue, les constructeurs le déconseillent (quand ils ont le courage de rédiger une notice )

Merci à tous, j'ai suivi ces retours d'expériences avec attention, ils sont très instructifs. Le claquage par paire des mosfets montés en pont est classique, @Filalapat l'a bien expliqué. La fusion des deux puces (court-circuit) ne dure jamais très longtemps, il y a au moins un des transistors qui fissure son boîtier ou qui fond ses broches, donc il s'ouvre ce qui préserve la batterie (à moins qu'un fusible ait déjà fondu quelque part). Et effectivement la roue qui tourne peut générer du courant dans le mosfet restant, d'où effet de crantage, c'est clair, logique. Juste un tout petit commentaire sur " la fragile électronique de commande en amont ", car en fait le switching rapide de mosfets de puissance nécessite des étages intermédiaires relativement musclés à cause de la forte capa de gate (~8nF) qu'il faut gérer le plus rapidement possible. Bref. Je pense qu'il faut un gros carton rouge à Ninebot qui ne vend pas sa carte puissance séparément. Décidément, le mercantilisme n'a pas de limite.

@KELEC , je rigole parce que ta question est tellement vague que les deux réponses ci-dessus sont totalement opposées. Ben oui, si tu ne dis pas quel sera l'usage (urbain, tout-chemin...), le parcours ou lieu d'habitation (transport en commun, escaliers...), le budget, le caractère de ta copine (sensible à l'esthétique ou pas trop), l'autonomie souhaitée (prévoir le double), le choix du vendeur (certaines roues ne sont dispo qu'en Chine) ..etc. En fait, une femme peut maîtriser n'importe quelle roue. Même une gamine de 10 ans peut piloter une Monster 22 pouces : Et il ne faut pas oublier le "coup de cœur", le truc indéfinissable qu'on ne peut pas expliquer (donc ta copine doit participer impérativement au choix de sa "future prothèse")... En gros, il faut d'abord choisir la taille de la roue, les dimensions en pouces sont : 10 , 12 , 14 , 16 , 18 , 22. (en gras les plus courantes). Les 14" sont légères et vives (plutôt usage urbain), les 18" lourdes avec une meilleure capacité de franchissement (plutôt usage tout-chemin), les 16" sont intermédiaires... Il ne faut pas oublier la période d'apprentissage pendant laquelle le/la débutant(e) risque de se faire mal au mollets en serrant trop la roue (oui, le confort est important). Et on peut aussi prendre une roue modeste (d'occasion par exemple) pour voir si le wheeling plait (oui en immense majorité) afin de fixer un choix ultérieur plus pertinent. En résumé, l'univers des possibilités est énorme (euh, pas tant que ça en fait )

Assurément un excellent pilote ce gars-là. Étonnant, il a juste touché le sol en faisant des zigzags, je le soupçonne d'avoir préféré sauter plutôt que de risquer de ruiner sa caméra... J'ai effectué un bon nombre de touchettes en 16", beaucoup moins en 18", ça se récupère bien sur sol lisse et sec, surtout que la pédale se replie un peu. Par contre, quand il y a des cailloux ou racines.... Les cerclages blancs donnent à cette roue une grosse personnalité, on la reconnaîtra de loin. J'espère que les acheteurs ne seront pas effrayés par la poignée inhabituelle, Je trouve le trolley très bien intégré et d'une hauteur suffisante. Ce trolley me fait penser à la poignée des Ninebot One E, mais ce ne serait pas raisonnable d'essayer de soulever la roue avec

Le bridage n'est pas forcément "bien vu" par l'administration : notons la fin de l'exception française de limitation à 100cv ( 76,6kW) des motos depuis avril 2016. Et autorisation de débridage rétroactif. Une moto moderne atteint 300km/h, et en course 350km/h (Honda RC213V2018).

Chouette balade, avec une météo un peu fraîche et venteuse. En fait, j'ai eu raison d'arrêter à Massy ( 80,4 km ), j'aurais été trop court pour rejoindre la capitale, ou bien alors à une allure de gastéropode. Encore une fois, je m'y suis pris au dernier moment, ma roue n'était pas chargée à fond, mais il me manquait juste 1 V (le plus long à obtenir...)..

Gaffe au deep-sleep

Poukram, elle est belle celle-là ! Et je suis coincé dans une réunion de famille chicouf . Bouhouhou !

Si je me base sur ce qu'a dit @fremalea une roue Z* arrêtée vide sa batterie en moins de 2 mois. C'est un inconvénient (relativement acceptable) qui mérite une large confirmation afin que les (futurs) clients prennent les bonnes habitudes nécessaires (c'est à dire une recharge tous les mois). Edit : j'ai lu une bêtise dans les messages précédents : les batteries ne sont pas des 16S mais des 14S ( 4,2 x 14 = 58,8 V max).

Une nouvelle fois, les pneus vélo et moto parlent du diamètre de la jante. Les pneus pour e-roues, sont clairement identifiés, mais allez-y, achetez ça et préparez une boîte de Kleenex.

A mon avis, l'usage des clignotants n'est pas toujours bien compris. Ils ne servent pas à tourner, mais à prévenir qu'on a l'intention de tourner, et ils ne donnent aucun droit. Les systèmes basés sur une détection gyroscopique (dans certains casques, roues électriques..etc.) sont surtout là pour amuser la galerie, et ils ne peuvent se substituer aux clignotants à commandes manuelles. Mais on peut aussi tendre le bras, non ?.

Désolé pour ton axe cassé, c'est malheureusement un souci sur de nombreuses roues, un des derniers que j'ai en tête est @Erwanrcx sur sa gw ms3+. Si tu as un axe, tu as raison de persévérer, mais il est quasi certain qu'il faut "du gros matos", je pense surtout à une presse pour changer l'axe. Dans ce cas, tu peux solliciter un atelier de mécanique auto, un réparateur de tondeuses à gazon...etc. Perso, pour ouvrir, je m'attaquerais au flasque côté opposé au fil. Tu dis que c'est collé, mais il n'y a aucune raison que ce soit de la colle, c'est du joint de carter, qui malgré tout adhère tout autour. De plus, il y a le roulement qui est serré dans son alésage. Il faudrait un arrache-moyeu à vis, de grande dimension, si possible avec 3 branches et des becs particulièrement fins, pour s'immiscer dans le joint. Comme il se doit, le bout d'axe possède un trou de centrage pour appuyer la vis. J'ai ce genre d'extracteur à branches de 250mm mais les extrémités ne sont pas très fines... Je pense à une autre technique, utilisée pour certains moyeux auto, pour lesquels on remplace les vis des roues par des vis longues, que l'on serre en séquence ce qui ouvre la cage. Donc, si les taraudages de la jante sont débouchants, (ce qui facilite l'usinage), cela veut dire que les vis des flasques sont face-à-face dans les mêmes trous. Et donc, si tu arrives à tourner un flasque de 6 ou 7mm, il suffit de mettre des vis longues par l'autre côté pour ouvrir l’huître. Ça fait beaucoup de "si"... juste une idée. Attention, sans les flasques le rotor va se coller aux aimants, il faut y aller mollo pour ne pas les casser, et aussi les bobinages du rotor sont fragiles, ainsi que les sondes de hall qu'il ne faut pas décoller. Avec le rotor en main, il doit être possible de trouver un artisan pour le changement d'axe. Edit : bien entendu, monte des roulements neufs.

Bonne analyse. C'est vrai que les roues sont souvent accusées de "couper", qui est un mot commode mais mal adapté. Techniquement le moteur décroche, c'est à dire que le rotor n'arrive plus à suivre le champ tournant imposé par le stator. Effectivement, c'est un manque de patate. Bah, qu'importe le mot, l'important est de comprendre ce qui se passe. Là par contre ta relation de cause à effet est plus discutable. Que la roue fasse 15 kg ou 35, c'est pareil, l'asservissement envoie l'énergie nécessaire pour maintenir l'équilibre. Si tu as fait de l'automatisme, la masse est "à l'intérieur" de la boucle... Le contrôle moins vivace s'explique par le passage d'une roue 16" à une roue 18", le pilote ayant plus de difficulté à créer du déséquilibre, que la roue compense en contrôlant l'accélération. Pour info, tu peux (légèrement) améliorer le comportement dynamique en adoptant des pédales longues (10" ou lieu de 8") , chères mais efficaces, particulièrement dans les pentes montantes.

Non, rien de neuf en montre autonome connectée à la roue. Je ne parle pas des montres gps ou des compteurs de vélo sans fil, ils peuvent faire (partiellement) le job. La soluce réaliste actuelle est de passer par une tablette (sous WheelLog, le spécialiste c'est @Hansolo ) avec montre connectée. Ce soft évolue "tous les jours", il se permet même de corriger certaines erreurs des roues, et il prend en compte de + et + de montres. Il ne reste plus qu'à trouver une montre à affichage permanent compatible "plein soleil" et "nuit profonde" avec une autonomie de 2 ou 3 jours, pour un budget d'environ 100€... C'est pas dans la poche au poignet. L'intérêt de la tablette c'est qu'on peut faire tourner un tracking gps à l'aide de Locus Map par exemple (les cartes vectorielles off line sont géniales). On sort la tablette de la poche quand on est paumé (ça m'arrive souvent ) . Mais, en disant ça je suis hors sujet, il faut aller dans le topic des montres connectées ou bien celui de WheelLog.

La réparation du pneu est autorisée et elle ne met pas en cause la garantie. Ceci est confirmé par cette vidéo de Gyroroue Shop : Cette vidéo est bien faite, perso je ne suis pas fan de la lubrification et je préfère talquer abondamment la chambre. C'est un détail. Déclipser les coques externes est facile avec des démonte-pneus de vélo en plastique. Utiliser impérativement un tournevis PH2 état neuf (surtout pas un PZ*), faire attention aux barres de leds qui sont fragiles, et d'une fiabilité plutôt modeste. Attention en faisant glisser la roue pour la sortir de la coque, il ne faut pas blesser le câble, on peut écarter légèrement les coques internes qui sont un peu souples. Vérifier le serrage des brides des supports de pédales est une très bonne habitude. Là, c'est une 16B, munie d'un superbe connecteur, il est possible (?) que la 16s soit équipée de plusieurs connecteurs (le courant est supérieur). Je rappelle aussi qu'il y a des produits anti-crevaison préventifs et/ou curatifs, mais il semble plutôt malsain de laisser des bouts de verre se balader dans la gomme. Une rustine semble préférable, à condition de savoir la coller correctement, mais je suis effrayé de constater que ce n'est pas souvent le cas. On peut aussi changer la chambre, à condition d'en avoir une d'avance (anticipation...), mais elles sont chères (à cause de la valve coudée et de la dimension atypique) Essayez d'y penser, une crevaison sur un cycle est un événement relativement banal, il convient donc d'avoir en tête les procédures nécessaires.

Bonjour @oliveur , soit le bienvenu sur le forum. L'idéal, quand on cherche des infos, c'est de commencer par regarder si le sujet a déjà été traité. Dans le cas présent, oui, ici : https://www.espritroue.fr/topic/7539-rockwheel-gt16-s-1600wh-mar-2019/ Et si les derniers messages sont anciens, c'est qu'il n'y a pas de nouvelle, ou bien que les intervenants roupillent. Hop, on relance avec une question, et le sujet remonte... On peut bien sûr créer un sujet nouveau. Mais il faut être sympa avec les autres lecteurs et mettre un titre qui ait un rapport direct avec le sujet. Bon, je vais être désagréable mais ton titre "Info" ne veut rien dire... mais c'est pas grave, comme c'est toi le créateur, tu as la fonction "Editer" en bas de ton texte, et tu peux retoucher le titre et/ou le texte comme tu veux. Visiblement il va falloir que tu patientes, cette GT16 survitaminée n'est pas encore dispo.

Carte mère et/ou batterie, c'était intéressant de savoir, tant pis... J'avais évoqué la cm car à mon avis la violence due à un court-circuit interne d'une cellule serait très nettement supérieure et aurait de grandes chances de se propager aux autres cellules. Une fumée relativement modeste comme ça me fait plus penser à du câblage périphérique..etc.. Bon, le problème d'étanchéité est connu, son remède également. En roue-électrique, nous sommes beta-testeurs, il faut s'y faire et on peut le comprendre. Dans le cas présent, en l'absence de données nouvelles, il ne semble pas utile de lancer des rumeurs d'utilisation de composants bas de gamme, simplement à cause de présence de fumée. Rappelez vous les vidéos d'incendies d'hoverboards, c'est complètement autre chose, ce n'est pas une petite fumée, mais de grosses flammes.