Techos78

Exact. Quand on n'a pas d'argent, il suffit de faire des dettes, Macron nous montre l'exemple...

Comme ça :

J'ai l'impression, oui... Ils m'ont fait peur quand j'ai constaté le jeu av-ar au bout de seulement 3000 km. Mais cela fait bien 10000 km que je n'ai pas ajouté de cales. C'est pour cela que j'ai utilisé le mot "rodage" : usure rapide au début, puis cela se calme. C'est vrai, c'est cher. Des pièces moulées spécifiques, dans un matériau bizarre (mon hypothèse : polyéthylène téréphthalate chargé carbone...). Je n'ai vu personne essayer de remplacer cela par 4 barreaux taillés dans du nylon, du ptfe, du composite carbone (bonjour l'usure de la fraise). La situation n'est pas catastrophique. Oui, le jeu en tangage est désagréable, mais il est sans conséquence sur l'asservissement car la cm n'est pas suspendue. Pour toutes les autres roues, un jeu peut créer des vibrations car il crée de la mobilité dans la boucle d'asservissement.

Je confirme ce que vient de dire @King Size , c'est la même chose. Exemple avec mes "gros" roulements : Oui, les patins se rodent, par la suite l'usure est plus modérée. Perso, je mets des petites cales métalliques sous les patins :

Of course. Même en voiture, vous mettez un bouffon au volant d'une Porsche (propulsion), il va grimper aux arbres... Les compétences théoriques peuvent s'acquérir, mais pour les possibilités physiques... inch allah.

Juste un rappel. A priori, le calibrage des mesures de tension de batterie peut être faux de 2 Volts après changement de carte contrôleur (carte du dessus). L'usine peut ajuster cela à distance. Mais certains sav négligent cela. Conséquence : si la mesure cm dépasse 85V, la roue ne démarre pas suite à une charge complète, et elle se met en tilt-back. Ce que je viens de dire était vrai il y a ~1 an, j'ose espérer que le problème est résolu.

Et, à la 3ième taupinière, à gauche ou à droite ? . Je suis sincèrement admiratif de cet esprit d'exploration aventuresque ... dont je suis totalement dépourvu... je parcours inlassablement la demi-douzaines de tracés que je connais intimement. C'est très clair : nous ne sommes pas tous câblés pareil .

En langage pro, cela s'appelle "la non-régression". Cela suppose qu'avant de diffuser une release, on a repassé l'ensemble des tests, ce qui, pour un logiciel de criticité intermédiaire qui met en jeu la sécurité d'un pilote, nécessite théoriquement plusieurs centaines d'heures... Ouais, personne n'y croit, bien sûr...

Oui, une roue sans pilote continue sur sa lancée, il y a de nombreuses vidéos à ce sujet, un peu anciennes car cet amusement est (un peu) passé de mode. Dans ce mode, sur sol plat, une roue décélère très doucement à cause de la résistance à l'avancement qui crée une rétro-action arrière provoqué par le "point d'appui" nécessaire au moteur (action-réaction). Mais si la roue est déséquilibrée en tangage vers l'avant (par exemple la Monster 2400Wh), la roue peut accélérer jusqu'à l'infini et au delà.

1) Si on veut préserver la longévité de la batterie (>1000 charges complètes), on limite la charge à 0,5C. Exemple, une batterie de 10 Ah se recharge à 5 Ampères max. Concrètement, nos cellules Li-Ion ne peuvent pas être chargées en moins de 2 heures, sachant que la fin de charge est très lente. On pourrait (?) mettre des cellules LiPo ou autres, difficiles (dangereuses) à exploiter à cause de contraintes thermiques sévères. Elles sont très souvent utilisées pour les drones, les véhicules radiocommandés... 2) Simple, quand c'est usé, on jette la boule. C'est un simple jouet, 250W pour ado <60 kg. A offrir à Noël et mettre dans un placard le 5 janvier, en compagnie de l'overboard. J'imagine que Gaston Lagaffe la mettrait plutôt en haut de son armoire...

Bendidon, plus radical tu meurs. Un solide cadre poutre double berceau, quelques accessoires accrochés là-dessus, et roule ma poule. Ça ne laisse pas indifférent, c'est cool comme dit l'essayeur, les divers designers moto n'ont plus qu'à aller se pendre dans les toilettes, s'il se sentent au bout du rouleau. Les pédales ne semblent pas articulées, ce qui peut poser problème en cas de chute ou d'angle prononcé. (j'ai affûté quelques repose-pieds dans ma jeunesse ). Une fourche style "vtt descente" (photo du milieu) doit fournir une bonne rigidité mais un rayon de braquage monstrueux, c'est un gros problème avec cette poutre traversante. A priori, ils choisissent plutôt la structure "vélo classique"...

Dans un cas comme ça, le mieux est de poser directement la question à Utube : https://www.youtube.com/watch?v=ZdhB9s-tRHs Un forum n'a pas franchement vocation à s'occuper de ça trop ouvertement...

Impressionnant, même sans photos Kromza a mis 3 secondes et 6 dixièmes pour se décider . Normal, la roue est sympa et la proposition attractive... bon futur wheeling...

Salut @JOols , euh, j'y connais rien en trotts'. Cependant, il y a un critère qui m'a interpellé : l'accu extractible, qui peut faciliter la vie dans certains cas. A ma (très faible) connaissance, il n'y en a qu'une seule : Mercane MX60.

Oula, ça me fait penser à une poire d'angoisse bucale/anale/vaginale en vogue à partir du 16ième siècle... Bourreau ou médicastre, l'inventivité n'a pas de limite... Euh, on n'est pas un peu hs, là ?

Encore moi... Quand j'ai commencé l'électronique il y a 1 siècle, on utilisait régulièrement des manchons caoutchouc pour isoler les fils. Pour les mettre en place, il y avait des écarteurs à 3 dents. Les manchons thermorétractables ont rendu tout cela obsolète, et j'ai bien failli balancer ma pince à la poubelle. Grâce à la A2, les écarteurs sont redevenus à la mode. Aaahh, que c'est émouvant... j'ai de l'eau dans les yeux...

J'imagine que les BTR dont tu parles sont celles de la fixation de roue, dans les supports pédales, donc pas de souci pour la longueur, et le freinfilet s'impose. Je m'inquiète surtout pour les petites vis des garnitures latérales, colliers de fixation fils... En principe, en méca, l'épaisseur mini pour un trou fileté c'est 1 diamètre, et c'est mieux de respecter 1,5 diamètre dans l'alu. Donc attention a ne pas foirer ces trous... Ce qui me plait, c'est la simplicité de montage des garnitures : elles ont des lamages visibles (comme une perceuse ), et c'est parfait. J'observe que le châssis est bien renforcé par rapport à la mten4, qui n'a que des languettes cambrées : Mten4 Dans ce cas, on peut comprendre que des mten4 peuvent se déformer, les jambes sont fragiles.

Excellente vidéo, qui montre même les bêtises (joint pété, connecteur oublié). Amusant : pédales laissées en place !. Ceci dit, en déposer au moins une assainirait le champ opératoire. Montage du Pirelli Angel (j'aime) à sec, sans difficulté. Démontage de l'obus de valve pour faciliter la mise en place du tubeless. Nervures dans le sens "esthétique". Gros plan intéressant : Châssis alu en plaques soudées (ép ~3mm ?), nervures rapportées, un travail de bénédictin (main d'oeuvre pas chère en Chine). J'ai l'impression que les trous filetés débouchants sont des M4, ce qui est un peu juste ici, donc mollo sur le couple de serrage. Sympathique, tout ça.

Pas forcément. Une roue n'est pas une trott', elle donne ce que réclame le pilote par son déséquilibre, jamais plus. Ceux qui veulent être "collés au siège" risquent d'être déçus, pour une attitude identique on aura un comportement très proche, mais on pourra peut-être démarrer comme ça :

Je protège efficacement mon nombril avec un sac de ventre à 8€ :

Juste okazou, si vous jajatez vos connecteurs, prenez du joint silicone, pas acrylique sinon cela fera bzzz, woushhh...pimpon, pimpon...

Exact : Placement cms, soudure phase vapeur, contrôle optique, test sous pointes etc, tout y est. Ces équipements sont TRES chers, je ne sais pas si c'est une filliale ou la maison mère KS. On comprend que certains fabricants de roues sont obligés de sous-traiter la fabrication des cartes et éventuellement le design. Par contre, KS ne produit pas de puces, mais fatalement il faut acheter/stocker/gérer les composants pour alimenter ces machines. (Ça aussi peut être sous-traiter).

Nostalgie : la roue anglaise Uniwheel a été abandonnée : Elle était équipée de batterie facilement extractibles, permettant une recharge en locaux de travail ou d'habitation. Ce concept de batterie extractible n'est pas exploité (idem pour les trotts sauf Mercane mx60). C'est dommage pour les ceusses kon les muscles poreux...

Très intéressant, je félicite Begode d'avoir mis à disposition ce réglage. En v11, mon ressenti dans les longues courbes est une légère tendance de la roue à accélérer, que je compense en "reculant" mon centre de gravité. J'interprète ça comme étant la conséquence de l'accroissement du déséquilibre dû à la force centrifuge. Non, je n'achèterai pas une Master pour le plaisir de tester cette option, mais elle peut probablement aider à garder une vitesse constante dans les longues courbes, ou bien modérer automatiquement cette vitesse quand on prend de l'angle.

Le moteur brushless est énergisé à l'aide d'une commande triphasé de ce style : Chaque mosfet est soit bloqué, soit saturé. Chaque phase est gérée par une paire recevant des commandes logiques créant une modulation de largeur (PWM). Prenons un exemple. Si pour rouler à vitesse moyenne le moteur a besoin de 20 Volts (principalement pour contrer la fcem) : -- si bat = 84V, le taux de modulation sera 20/84*100=24% -- si bat = 100V, 20/100*100=20% Donc, sans surprise, le taux de modulation est inversement proportionnel à la tension. Et dans les deux cas, le moteur recevra le même courant moyen. Le courant instantané sera plus grand pour la batterie 100V, c'est une fonction linéaire. Le moteur reçoit la même énergie. >> Concernant les pertes, plus de courant crête pendant moins longtemps, on pourrait croire que ça se compense... eh bien non. Le courant crête croît de manière linéaire, mais les pertes par effet Joule sont quadratiques ( R.I2 ). Bon, c'est une cause parmi d'autres, on peut évoquer qu'un mosfet haute tension a un Ron plus grand, qu'il a aussi un temps de commutation allongé...etc.