Techos78

Oui, bien sûr, la poignée se verrouille en position basse très efficacement, et on peut trimbaler la roue à bout de bras sans souci particulier. D'ailleurs, la poignée s'encastre partiellement dans le capot supérieur, ce qui donne une très bonne rigidité. Après 1,5 an d'usage, je n'ai pas noté d'usure particulière du mécanisme. Perso, je "claque" un peu la poignée en la repliant pour être sûr du verrouillage des 2 loquets, et j'appuie franchement sur le bouton pour déverrouiller, en tirant bien verticalement. A l'origine, cette poignée a fait partie de mes critères de choix décisifs (ks16 vs acm16), je n'ai pas de regret. Pour résoudre l'inconfort éventuel pour un gaucher, comme il n'y a aucun effort longitudinal à fournir, il est possible de tenir la poignée... entre le pouce et l'index.

Une astuce, mise en pratique par @Franck sur sa Luffy : une poignée télescopique pour appareil photo, fixée par un collier :

L'intérêt supplémentaire d'un tubeless c'est qu'il est nécessairement adapté à la jante. Sans vouloir être méchant, les nombreux pneus actuels mal foutus qu'il faut centrer amoureusement, c'est vraiment un travail de Charlot

Pour moi, c'est 3 bars en 16" et 2,5 bars en 18". Je ne change pas entre route et forestier. Pour info, on est plusieurs à être équipés de ce petit gonfleur électrique autonome : https://www.amazon.fr/GHB-Gonfleur-Électrique-Rechargeable-Pratique/dp/B01LXAOBRQ/ref=sr_1_15?ie=UTF8&qid=1509539232&sr=8-15&keywords=gonfleur+électrique Il y a eu un sujet ici.

De plus, comme en vtt, il faut adapter le gonflage aux circonstances : si on veut pouvoir "taper" les nids de poules et les bateaux sans pincer la chambre, il faut solliciter Pascal... ( jeu de mot médiocre, le pascal est l'unité de pression du Système International ) A savoir : un pneu peu gonflé consomme beaucoup. Pour s'en convaincre, il suffit de toucher son pneu après un trajet bien dynamique... Cela vient de la déformation du caoutchouc, de la surface de contact plus grande, du courant d'air qui circule à l'intérieur de la chambre...

Oui, essaye d'entrer ton N° de carte bleue, ta préférence politique, ta religion...

@Franck , une Luffy au bout d'une canne d'appareil photo, voilà qui est original . Merci pour ton retour, très positif, et il faut bien admettre qu'il n'y a pas grand monde pour défendre cette petite roue. Guillaume m'a donné l'occasion de l'essayer à la FdP, elle est bien sympathique et effectivement les pédales basses nécessitent une attention soutenue. Mais c'est bluffant, elle se comporte comme une "vraie roue"... Et c'est un vrai plaisir de la tenir à bout de bras. Peut-elle servir de gourdin ? En clair, est-ce une arme de 6ième catégorie ? http://www.gatimel-armurier.com/fiche-Tableau+des+differentes+categories+d+armes-3-reglementation.html

Apprentissage : SBU en ville : Bon, j'arrête ma "pub" SBU, il a beaucoup fait parler de lui, mais son succès est resté confidentiel et il n'est pas (?) arrivé jusqu'ici.

J'ajoute une capture d'écran du lien juste au-dessus car il ne durera pas éternellement. Une petite vidéo de maintenance, qui montre comment centrer le pneu :

Bonjour à tous, Focus Designs commercialise le SBU V3 (Self Balancing Unicycle) dont la structure est proche d'un monocycle à pédale, c'est à dire qu'on retrouve une fourche verticale surmontée d'une selle enveloppante. La roue est motorisée, les pédales sont remplacées par deux repose-pieds fixes. Le contrôle est gyroscopique, comme pour un EUC "traditionnel". Cet engin n'est plus un prototype, mais semble avoir atteint l'étape de la commercialisation. Et on commence à en parler, par exemple la revue Que Choisir : https://www.scooter-system.fr/news/2043-sbu-v3.html C'est bizarre, Ninebot en parle sur son site, peut-être qu'ils vont se charger de la distribution (?)... Je n'ai pas d'info. Edit : oula oula, je suis en train de constater que ce sbu est un "vieux truc", qui visiblement n'a pas franchement débouché. Désolé. Ceci dit, ce truc doit quand même être assez amusant à maîtriser... En ce moment, il y en a un d'occase chez amazon à 500€ : https://www.amazon.fr/NYMPY-SBU-V3-Monocycle-Électrique/dp/B009KA00B0

Il existe la FFM, qui ne veut pas dire Fédération Française de Monocycle, mais simplement Fédération France Monocycle. A priori, pour s'appeler Fédération Française, il faut être reconnu par Jeunesse et Sport, ce qui n'est pas le cas. Je me demande bien quel est le statut réel de tous ces zozos, qui, franchement, sont vraiment des artistes. (J'ai essayé pendant 1 semaine, puis stooop !).

<> Par pitié, ne vends pas ton pantalon, c'est un repérage infaillible dans un groupe de wheelers...</> J'ai eu le même problème la semaine dernière : j'ai acheté une parka Wanabee chez Go Sport, eh bien, même en taille XL, c'est très juste et il faut que je m'abstienne de mettre un pull en dessous... J'ai l'impression que les mecs sont devenus des minus ... Bonne vente...

En général, pour pratiquer un sport via une association, il faut commencer par aller voir son toubib pour lui demander une "autorisation". Ce n'est pas franchement pour le bien être du pratiquant, c'est juste un parapluie pour l'organisateur...

C'est pas faux @Hansolo : avec les dimensions de pneus, la seule chose qui soit claire... c'est que ce n'est pas clair du tout. A priori, même les fabricants de jantes y perdent leur latin (ou leur mandarin), car, si j'ai bien compris, chez GW, le montage du 18" nécessite un centrage ce qui ne semble pas le cas chez KS. (à confirmer, car j'ai juste changé le 16" qui tombe au poil). Un pneu exemplaire : celui de la Mten3 : Donc dimensions externes 10" de Ø et 3" de large , jante Ø 6,5" , les trucs entre parenthèses sont plutôt sibyllins, pour ne pas dire abscons...

20 pouces, il y a un certain temps je me disais que ce serait chouette d'avoir un grand choix de pneumatiques, c'est une dimension courante en bmx par exemple. Eh bien non, car en roue électrique c'est le diamètre externe, et en cycle c'est le diamètre de la jante... dommage.

J'attends avec impatience le tuto n°12 sur la préparation du mojito...

Oui, et la difficulté principale est que dans une roue électrique, il n'y a qu'un seul moteur qui assure la propulsion ET la sustentation verticale. On ne peut pas appliquer des contraintes sur la propulsion sans dégrader la sustentation... Les solutions "habituelles" sont donc inapplicables.

L''utilisation régulière du mot bridage est très criticable. Les roues électriques ne comportent pas de bridage "volontaire", qu'il soit matériel ou logiciel. Il existe seulement un genre de bridage intrinsèque : la puissance moteur définit approximativement une vitesse maximale au delà de laquelle le pilote chute à coup sûr. Et effectivement si on limite les puissances des moteurs, on va saturer les urgences des hostos. Les roues comportent des alarmes, sonores (bip) ou sensitives (tb, tf), qui ont pour but d'inciter le pilote à se modérer. Mais c'est le pilote, et uniquement le pilote qui contrôle la vitesse. L'asservissement gère simplement les variations de vitesses nécessaires au maintien de l'équilibre.

Je ne sais pas trop, il faudrait interroger un acrobate comme @Hirsute pour avoir une réponse solide. C'est le pilote qui gère l'équilibre latéral, et j'imagine que plus c'est haut, plus c'est difficile, de la même manière que monter sur des échasses de 10cm ça peut aller, mais 20 cm c'est déjà plus compliqué (j'ai essayé)...

Je pense que la hauteur des pédales a peu d'influence sur la stabilité, et que des pédales au niveau de l'axe ne posent pas de problème. D'ailleurs, youtube est farci de wheelers qui montent debout sur la coque sans que cela provoque la moindre instabilité d'asservissement. Par principe, quand le gyro de tangage détecte un déséquilibre, c'est à dire une très légère rotation angulaire dans un sens, l'asservissement commande rapidement une variation de vitesse afin de déplacer la roue pour annuler ce déséquilibre, et cela marche parce que le centre de gravité du pilote (au niveau du nombril) possède de l'inertie. Plus le centre de gravité est haut, plus l'équilibre est facile à obtenir. Chacun sait qu'il est plus facile d'équilibrer un balai dans la main plutôt qu'une cuillère à soupe. Même une roue à vide est stable parce que le balourd est au dessus de l'axe. Si on construisait une roue avec les batteries à l'intérieur des pédales, cette roue à vide serait instable, la présence d'un pilote (avec des chevilles solides) serait indispensable.

Il faut effectivement prendre la plus grosse, même si ça fait mal au porte-monnaie. Très peu de différence, il y a des cellules 2900mAh ou 3500mAh, et c'est tout. Les secondes sont légèrement plus lourdes ( elles ont plus de matière active ), juste quelques grammes d'écart.

Je trouve qu'on ne parle pas assez de la réversibilité des roues. Pouvoir utiliser sa roue dans n'importe quel sens est un argument positif à mes yeux, et j'apprécie KS pour ses coques symétriques et la commutation automatique de l'éclairage.

Lors du démarrage, c'est le courant qui maintient la roue en équilibre en créant le couple nécessaire, la tension n'a pas trop d'importance. Et c'est le pilote qui impose l'accélération en fonction de son attitude, la puissance du moteur est secondaire. Le courant est généré à l'aide d'une modulation de largeur (pwm), grâce à des "interrupteurs" (mosfets) qui se ferment et s'ouvrent en modifiant les temps ON et OFF de manière à ce que la valeur moyenne (l'intégrale) soit à la valeur voulue. Quand le switch est ON, il est clair qu'avec une batterie 100 V, le courant instantané est plus fort qu'avec 67 V, mais ce courant sera coupé un peu plus tôt pour que la valeur moyenne fasse le job, et rien de plus. Ceci dit, une roue puissante améliore la qualité de l'asservissement en minimisant le traînage, et cette meilleure réactivité est clairement perceptible par le pilote. Et ce ressenti peut inciter à solliciter davantage une roue rapide par rapport à une roue "molle". Pour ceux intéressés par la notion de traînage, je conseille ce pdf : http://sciences-indus-cpge.papanicola.info/IMG/pdf/SA6-Precision_des_S-A.pdf

Merci @koto , beau boulot. Et pour ceux qui ne savent pas comment s'habiller :

C'est vrai, ces traductions ne sont pas glorieuses, mais le problème est complexe. Quelquefois, le résultat stochastique donne de bonnes surprises : l'utilisation du terme "meule" est amusante et presque correcte, sachant qu'en argot cela désigne (entre autres) une mobylette : Tous les langages ont trop d'homonymes et sens multiples, il faut connaître le contexte avant de tenter une traduction.