Techos78

Une partie de la réponse est là : http://www.dettepublique.fr/ Réclamer régulièrement des subventions, du sponsoring, de la charité public n'est pas un état d'esprit qui me sied... La circulation monétaire est un système bouclé, l'argent n'est pas créé ex nihilo (sauf pour certaines banques, habilitées à générer de l'argent-dette).

On parle là de véhicules homologués, et c'est pas franchement le cas de la majorité des trott'.

Juste pour comparer, on peut garder en tête le mytique 103 Peugeot, toujours en vente, à 1 k€ : https://www.peugeotscooters.fr/gamme/vogue Oui, d'accord, 2 temps ça pue... mais ça marche. Edit : les deux vae que j'ai acheté (KTM et Kalkhoff) dépassaient 2 k€, il y a quand même un sérieux problème de coût avec l'électrique.

Les ms3 sont alimentées en 60...67,2 V et les ms3+ en 74...84 V. Elles ont le même moteur, les versions + sont donc plus rapides. Ceci dit, il n'est pas prudent d'essayer d'aller très vite en roue électrique. Notons que le bip3 surveille le taux de charge du moteur (et pas simplement la vitesse),

J'ai aussi une bande led défectueuse : la led 8 sur 9 en haut ne s'allume jamais. Dans le cas où elle devrait s'allumer ( batterie pleine ), les leds 1 à 7 clignotent, la led 9 s'allume toujours correctement. Je suppose que les leds sont commandées séquentiellement, du haut vers le bas, et une diode hs perturbe les suivantes. Les trois autres bandes sont ok, je changerai ça un de ces jours, les bandes gauche et droite (connecteur en haut) sont dispo chez KS-Europe.

Dans un cas comme ça, j'incrimine plutôt... le pilote. Il est important de conserver une attitude très symétrique, les jambes de même raideur et dans la même position, les épaules face à la route. Toute pression différentielle entre les pédales se traduit par une rotation en cap (effet gyroscopique). Les instabilités en lacet sont fréquentes chez les débutants (je ne sais pas si c'est ton cas), surtout en cas d'appréhension, le corps cherchant à compenser certains mouvement, ce qui n'est pas toujours judicieux. Le wobbling est directement lié à la raideur de la suspension, et la suspension, c'est toi.

Pour jouer, ça va, mais pour aller bosser, dur, dur... le parcours est complexe, piégeux. Un conseil, l'hivers, ou si le temps est moche, prends la voiture. Bon courage.

+1 , je préconise même de compléter totalement cette gamme très riche. La KS18A : officiellement 6 options : -- 1 -- 680 Wh ( 2 packs 340 en bas ) -- 2 -- 840 Wh ( 2 packs 420 en bas ) -- 3 -- 1020 Wh ( 2 packs 340 en bas, 1 pack 340 en haut ) -- 4 -- 1260 Wh ( 2 packs 420 en bas, 1 pack 420 en haut ) -- 5 -- 1360 Wh ( 2 packs 340 en bas, 1 pack double 680 en haut ) -- 6 -- 1680 Wh ( 2 packs 420 en bas, 1 pack double 840 en haut ) En france, les versions 1,2,5,6, les versions 3 et 4 sont disponibles en allemagne. Remarque, des versions "artisanales" peuvent être constituées : -- 3 bis -- 1100 Wh ( 2 x 340 + 420 ) -- 4 bis -- 1180 Wh ( 2 x 420 + 340 ) mais il est inutile de s'en occuper. ( je me monte actuellement une version 3 bis ) La KS18S : pour l'instant, une seule option : 1680 Wh (équipement 6 )

Pour ceux qui ne le connaissent pas, je signale qu'en mécanique, @Erwanrcx est un magicien compétent et méticuleux, ce qui passe sous ses doigts se transforme en bijou. Une affaire rare, à considérer sans appréhension... sauf qu'il s'agit d'une bombe .(elle grimpe aux arbres ? ) J'ai l'impression qu'en trott', il ne faut pas avoir deux mains gauches ... . Les roues électriques sont moins exigeantes de ce point de vue...

Ce serait dommage de démonter régulièrement " juste pour voir ". La fixation sur l'arbre moteur est différente chez GW et KS , mais dans les deux cas on peut effectivement avoir des desserrements. C'est un défaut désagréable mais pas critique : il arrive progressivement, on peut le ressentir en pilotant, dans le pire cas on a un bruit de frottement entre le talon du support pédale et le flasque moteur. (sur ks18, c'est la coque qui touche d'abord) On peut mettre la roue à plat au sol, et presser fortement sur la pédale fermée ( à la limite, on s'assoie sur la roue horizontale). Et on regarde, dans le passage de roue, la distance entre le support pédale et le moteur. Une fois la roue sous pression, le fléchissement doit être inférieur à 2 mm, il doit donc rester un " entrefer " raisonnable. ( ~6 mm chez KS) C'est très rapide, et on peut contrôler ce pincement avec le bout des doigts. Se rappeler que mettre les doigts dans le passage de roue est toujours dangereux, même si la roue est sensée ne pas démarrer à l'horizontal.

Oui, désolé, ks16b. Merci @spiken . Sylvère (gyroroue shop) m'avait confirmé que seules quelques roues étaient touchées. En principe, un logiciel est déterministe, c'est à dire qu'il doit avoir toujours le même comportement. Mais ce genre de défaut peut apparaître si la séquence d'initialisation utilise des registres qui n'ont pas été correctement définis. A cause d'infimes dissymétries sur la puce, certaines cases mémoire se positionnent dans un état quelconque à la mise sous tension, mais de manière relativement répétitive. Tous les programmeurs vous le diront : il faut impérativement effacer toute la zone de travail au démarrage. Simple hypothèse.

Juste pour info, à propos de ks18b KS16B avec firmware de l'année dernière. A l'époque, j'ai fait tomber 7 fois la roue au démarrage : la roue en marche mais quasiment pas asservie, d'où basculement immédiat en avant ( et pilote en vrac ). Il fallait donc attendre un peu, si possible en faisant 2 ou 3 manœuvres av-ar à la main, pendant 5 secondes. Ce défaut n'arrivait que sur certaines roues, il a été corrigé depuis et le power-on est maintenant parfait. Il n'y a eu aucune communication de KS à ce sujet ( faut dire qu'ils ne sont jamais très bavards ). J'ai cru comprendre que la roue attendait la fin de son initialisation pour autoriser la pleine puissance... ( ? ) Comme la roue se recale assez lentement à la verticale ( 3 ou 4 °/s ), il faut quelques secondes lorsqu'on a un angle d'une quinzaine de degrés en tangage ( au delà, ça ne se met pas en route ). Etre bien vertical au démarrage pouvait aider...

Saisie 3D par DJI Mavic puis impression 3D sur Creality CR10 (pour faire plaisir à @Corethan ) ... pour bricoleur bien équipé :

Je suis passé devant une mère et sa fille d'environ 5 ans, la mère a dit : " Tu vois, le monsieur, il a pas de roulettes ". Les parents ont parfois des arguments très déloyaux...

Sur le site : http:// http://apkdomain.duapp.com/kingsong/versions.json on voit qu'il existe depuis longtemps une ks16a , ks16b , ks16c. La ks16s possède son propre firmware mais seuls les upgrades apparaissent dans cette liste. La ks16a était le proto d'essai, il n'a pas été commercialisé en France. On a eu droit à la ks16b. La ks16c est un mystère. On peut imaginer que c'est une version étrangère qui a été réimportée, comment savoir... Si elle était limitée à 20 km/h c'est qu'elle était encore en configuration chinoise, et n'avait pas reçu la localisation française... ce n'est pas bien du tout de la part de Boulanger...

Eh bien dans ce cas, inutile d'investir dans une Tevo Little Monster, Delta D.340mm, H.500mm ... Aillaillaille, comme beaucoup de retraités, je suis débordé...

Salut @Major , Sagem Argenteuil : un site intéressant qui s'occupe, entre autre, de gyros laser, de gyros vibrants de type Quapason, bol vibrant... Et à côté Sagem Eragny pour les systèmes (centrales...). A Massy, nous avions des gyros accordés, des gyros à fibre optique, des accéléros silucium, et les systèmes sur le même site. J'ai pu travailler sur des trucs sympa, par exemple dessiner une carte pour les gyromètres qui stabilisent les boosters d'Ariane 5...

Oui, c'est ça. Mais il semblerait quand même que certains constructeurs pilotent les mosfets en mode dissipatifs, ce qui fait chauffer le radiateur et retarde l'échéance. C'est uniquement une question de temps, un excès d'énergie finira toujours par saturer le système. C'est au pilote de gérer cette éventualité : s'il a le Puy de Dome à descendre (oui, je sais, maintenant il y a un train), même le CD2 ne pourra pas empêcher la roue de passer en alarme.

Je vais dénoncer un petit camarade : @minch , sur sa magnifique ks18 toute neuve, a mis ... un bout de scotch . Et je m'apprête à faire pareil...

Sous toutes réserves, en fonction des (maigres) communications du constructeur, je suppose que la KS16S est câblée comme ça : Chaque sonde de Hall a 3 fils, deux servent à l'alimenter et le troisième est la sortie. Ce signal indique si le champ magnétique est dans un sens ou dans l'autre. Il y a 3 sondes, l'alimentation est commune, cela fait donc 5 fils en tout. La sonde elle-même est un petit barreau de silicium dans lequel on fait circuler un courant, le champ magnétique ambiant fait dévier la trajectoire des électrons, des électrodes transverses mesurent le petit potentiel créé par cette déviation, et un petit amplificateur met en forme ce signal. Dans le moteur, pour piloter le stator (les bobinages au centre), il faut impérativement connaître la position du rotor (les aimants externes collés à l'intérieur de la jante). Les évolutions séquentielles des 3 sondes permettent de reconstituer la position et le sens de rotation du rotor. De manière annexe, ces sondes permettent aussi de compter le nombre de tours de roue (odomètre), et la vitesse de rotation (tachymètre) ce qui après calcul donne la vitesse de déplacement (cinémomètre).

Pour ceux qui ne comprennent pas bien à quoi correspond un montage en cascade, voilà le schéma que j'ai relevé dans ma ks18a : Seule la batterie de droite peut absorber le courant lors d'une décélération. De toute façon, l'entrée IN de cette batterie a des fils de petite section...

, très honnêtement, je ne m'attendais pas à passionner les foules, c'est certain. Et tu n'es absolument pas hors sujet. La quête du mouvement perpétuel est frustrante, car, pour un particulier, les chances d'aboutir à une découverte sont infimes. Pour se motiver, on peut essayer de se faire une opinion de ce qu'est l'univers, en commençant par le plus important : le vide. Les choses étaient plus simple au 19° siècle : on croyait que le vide était rempli d'un truc inconsistant (l'éther) qui permettait de propager les ondes lumineuses. Pas de pot, Einstein (dans les années 1915 il me semble) a balayé l'éther d'un revers de main en décrivant l'état tout à la fois corpusculaire et ondulatoire de la lumière. Mais il s'est rapidement aperçu que vider le vide était une erreur, et il a passé le restant de sa vie à essayer de le repeupler, avec de l'énergie. C'est la clé du problème : nous sommes baignés d'énergie, des Petajoules par cm3, la matière est constituée d'énergie particulièrement condensée et stable. Mais comment faire pour en récupérer un petit peu ... Le comportement à long terme de l'univers, ce qui s'est passé il y a 14 milliards d'années, ce qui se passera... La gravité qui lutte contre la matière noire et l'énergie sombre, cela fait fantasmer les astronomes et certains mathématiciens, mais cela n'est pas à l'échelle humaine... Je pense que dans les 10 ans qui viennent, on aura des machines sur-unitaires exploitables. Par exemple, une société européenne Rosch Innovations commence à fabriquer des générateurs qui exploitent la force d'Archimède (et probablement aussi les effets des émulsions gazeuses). Bien sûr, on peut penser que c'est un hoax de plus, mais leurs protos ont été testés et ils délivrent bien 2 ou 3 fois plus d'énergie électrique qu'ils n'en consomment. En tout cas, cette piste me semble meilleure que le projet démentiel ITER, sachant que sur la centaine de tokamaks construits à ce jour, aucun n'a pu fournir ne fusse qu'un Joule. Et puis, griller du deutérium-tritium n'est pas très sain...

Dans la 16s, les deux batteries sont en parallèle, les 2 absorbent l'énergie lors d'une descente. Dans la 16b, les batteries sont en cascade, il n'y a donc qu'une batterie qui peut absorber la régénération, car le courant ne peut pas remonter de la batterie 2 vers la batterie 1 puisque les ports de charge des bms empêchent les remontés de courant. Cette protection est intéressante pour la batterie 1, mais inutile et néfaste pour la batterie 2.

Bonjour à tous, j'aborde ici un sujet politiquement incorrect, mais qui parle de moteurs, de roues, de générateurs ce qui fait un peu penser à nos joujoux électriques... Mais avant, une petite introduction est nécessaire : Les mouvements perpétuels. Le mieux est de commencer par parler des mouvements dits "perpétuels", c'est à dire des mécanismes de toute nature qui, après avoir été initialisés, conservent leur activité "indéfiniment", sans apport d'énergie, sans consommation de matière première... Il faut bien sûr prendre le mot "perpétuel" dans son sens restreint, du fait que toute matière est soumise à l'usure, sauf peut-être certains cristaux. Comme nous avons tous été + ou - poursuivis par les études, nous avons tendance à répondre, oui, OK, il ne faut pas de frottements ou de pertes, un peu comme les corps célestes qui gravitent joyeusement... Les systèmes sur-unitaires. On parle de sur-unité lorsqu'un système délivre plus d'énergie qu'il n'en reçoit. Inutile de dire que cette notion est niée et tournée en dérision par toute la communauté scientifique, qui reste fidèle à des axiomes nommés pompeusement Lois de la thermodynamique et de la conservation de l'énergie. Il faut garder en tête que ces lois ne s'appliquent qu'aux systèmes fermés, et donc le rendement de 300% d'une pompe à chaleur n'a rien d'étonnant. Mais cet exemple est mauvais car à l'entrée il y a une énergie noble, orientée (l'électricité) et à la sortie une énergie désordonnée (la chaleur). L'énergie libre. Si on imagine un système sur-unitaire dont on boucle la sortie sur l'entrée, non seulement l'activité se maintient mais on peut prélever de l'énergie gratuite, nommée énergie libre. Son existence changerait tellement le contexte géopolitique qu'il est difficile d'imaginer toutes les implications. Certains disent : si vous trouvez un truc dans votre cave, prenez une bonne assurance vie... Ce que j'en pense. En fait, ce que j'en pense est sans intérêt. Il faut simplement, il me semble, garder un esprit ouvert et pragmatique, à l'opposé de la posture infatuée et méprisante de l'immense majorité des scientifiques et des éducateurs. L'énergie libre : peu probable mais tellement magique ... Ouf, passons au vif du sujet. Il y a actuellement sur le net des vidéos hallucinantes de simplicité : un moteur fait tourner une roue inertielle qui entraîne un générateur. On reboucle la sortie sur l'entrée, et hop le mouvement se maintient et on reçoit de l'énergie en plus. C'est tellement énorme, tellement contradictoire avec les lois de Lenz-Faraday que personne (il me semble) n'a osé faire le test en occident. Et ça nous vient de pays émergents (Inde, Pakistan...), ce qui est un peu normal, car ils ont un réseau électrique tellement pourri qu'ils sont obligée d'utiliser des régulateurs. D'où l'idée de reboucler la sortie sur l'entrée Je rigole, mais ce n'est pas pour me moquer des types qui font ces manipes, Je leur fait autant confiance qu'à un universitaire Docteur es Sciences. Tellement invraisemblable que ça devient intéressant : https://www.youtube.com/watch?v=OzOhM4HsIeg https://www.youtube.com/watch?v=QKh0QVn3GMQ https://www.youtube.com/watch?v=WJxQMGAviCI https://www.youtube.com/watch?v=dUQVs-NEuoY https://www.youtube.com/watch?v=Csi_l_RTF0o

La vitesse maxi dépend essentiellement de la puissance moteur, avec 800 W (14c, 16b) on va à 30 km/h, avec 1200 W (16s) on va à 35 km/h. Ces vitesses permettent un bon niveau de sécurité, sur piste horizontale et pas trop chaotique, avec batterie nominale (> 60 V), par température > 0°C. C'est essentiellement cette vitesse maxi qui conditionne le choix entre la 16b et la 16s, avec cependant une meilleure organisation interne dans la 16s : les batteries sont branchées en parallèle, et non pas en cascade comme dans la 16b, mais, même si la 16s est meilleure, j'ai pu constater en 1 an que la 16b marche bien. Moi, je ne regrette pas d'avoir choisi la ks16, je reconnais que l'acm est aussi une très bonne roue. Le feeling de pilotage n'est pas très différent, par contre, niveau esthétique et accessoires il n'y a pas photo ... de mon point de vue.