Techos78

Je pense que tu n'as pas bien vu la logique, Exemple avec v11 : -- pour mettre sur la béquille, on presse le bouton anti-lift et on incline. C'est un mode nouveau : le moteur est désactivé mais la roue détecte son tangage et ne se remet en route que si elle est redressée. -- dans ce mode, comme l'a indiqué @King Size, on peut passer en OFF (appui long) ou allumer le phare (appui court) ce qui est utile pour rechercher les hélicoptères. -- et effectivement si on a coupé on ne peut pas remettre en route car l'inclinaison est trop importante. Ce mode particulier "super veille" est limité dans le temps, 10 ou 15 mn je ne sais plus, ce qui oblige à agiter la roue de temps en temps si on veut le total kilométrique de la cession.

Euh, j'ai quand même vu des photos de Monster avec la poignée pleine de patouille, malgré l'absence de trolley (mais les 1/2 coques sont réversibles). Ceci dit, pour être concurrentiel, un constructeur s'efforce de faire ce qu'il faut... et pas plus. Si ça marche comme ça, c'est bien, et faciliter le montage/démontage est une bonne chose. Le moteur s'ouvre facilement, c'est étonnant. J'ai été surpris de voir un moteur bobiné à la main, alors que des photos de bobinages automatiques ont été diffusées... bah, c'est un détail, hs ici.

Wrong Way a constaté que les demi-coques sont des passoires pour l'eau et la poussière... L'absence de joint au fond du passage de roue est plutôt critiquable, même si cm et packs latéraux "autorisent" une certaine pollution dans la poignée. C'est un problème pas trop critique chez GW, les roues avec des éléments sensibles en haut sont obligées à davantage de précautions, surtout si des demi-coques réversibles créent une discontinuité dans le plan de joint. Un peu de silicone par-ci par-là peut améliorer cette belle roue...

Oui, le gars n'est pas malhabile mais il est visiblement désarmé par le décollage du flasque, clés allen fines et tournevis d'horloger sont effectivement dérisoires... C'est une étape pénible, il faut commencer par bien s'installer : établi percé, vieux pneu, établis-étaux à manivelles ou même trois parpaings... Si possible immobiliser par sangle, serre-joints... Levier long et tranchants qui s'appuient en bord de jante... de l'outillage "sur mesure" avec une bonne dose d'improvisation. La fixation des bouts d'axe est une bonne surprise, un trou fendu et une goupille longitudinale, simple et de bon goût, assurément une solidité améliorée. Bon, là on a un roulement classique, monté comme d'hab', a priori pas de raison qu'il y ait trop de souci, mais même si on considère que les roulements sont des pièces d'usure, il conviendrait que ceux-ci tiennent au minimum ~4 ans, ou 20000 km.

Jusque là, outre la raideur de la bande de roulement et du gonflage, je pensais surtout au profil plus ou moins pointu. Parce qu'un pneu est presque un double cône, et que dès qu'on prend de l'angle ou que la route est en dévers, le contact biais crée un couple de torsion car le diamètre est différent entre les deux bords de l'empreinte au sol (grossièrement elliptique). HS : les chemins de fer ont bien compris l'impact de la conicité : https://youtu.be/vkzgcJGdUnA /HS Fatalement, une roue unique est beaucoup plus sensible qu'un deux roues car il n'y a pas de guidage en cap.... Mais il me semble que le pneu d'origine avec sa bande centrale continue et ses rangées latérales est surtout défavorable à cause de la discontinuité entre ces différentes zones de contact. De ce point de vue le pneu préconisé par @Motard34 inspire confiance car les sculptures sont continues, donc pas de facettes, on s'approche d'un pneu slick. En fait, il suffit d'user suffisamment le pneu d'origine pour voir ce que ça donne (sur le sec)... On s'arrête dès qu'on voit la toile .

Ouch, quel beau tuto ! Une synthèse parfaite qui liste toutes les étapes, sans détailler inutilement les manipulation triviales. Excellent. Les méthodes d'intervention sont remarquables, mais bien sûr comme je ne peux pas passer mon temps à te cirer les pompes , je vais juste un peu critiquer l'utilisation d'une pince multiprise pour les gros écrous en bas des pistons, Une clé à œillet ou plutôt une douille avec manche en T me semble préférable. Ce n'est pas le bon topic pour parler pneu, mais je m'interroge sur les raisons de l'amélioration de comportement.... à voir.

N'aie pas de regrets : début 2015 tu aurais pu avoir une Ninebot One , avec laquelle tu aurais eu du mal à traverser Paris : manque de patate et d'autonomie. Honnêtement, je crois que le roue-taf parisien long-range est bigrement risqué, il faut plutôt passer au scooter électrique, juste un peu plus secure... Bon courage.

Quand une roue s'emballe, le ON-OFF est inutile. On couche la roue et c'est tout.

Mettre une GoPro dans un pneu, une idée plutôt bizarre, un résultat intéressant : Et il y a des particules qui confirment la circulation d'air

Salut @Gregg4 , bienvenue sur ce forum, qui s'occupe principalement de deux types d'engins : les roues électriques et les trottinettes. Tu as posé ta question du côté des roues électriques alors que ton soucis concerne une trottinette... Ce n'est pas grave, nos pneus sont aussi équipés d'une valve schrader, comme les vélos ou les camions 35 tonnes. Quand tu dis que tu veux démonter la valve, j'imagine que tu veux simplement retirer le bouchon (?) et que celui-ci est bien coincé. Ce n'est pas toujours simple car la valve est souvent coudée et peu accessible. Le bouchon est soit en plastique, soit métallique, et effectivement si il est bien bloqué il faut utiliser une pince, ou même deux, car attention, si on tourne trop violemment (sens anti-horaire ), c'est le corps de la valve qui tourne et qui peut déchirer la chambre à air. C'est là qu'il faut être un peu équipé. L'idéal est d'utiliser des petites pinces multiprises (en haut à gauche) qui, une fois réglées, fournissent un serrage parallèle. Moins bon et plus encombrant il y a les pinces universelles (en bas à gauche) elles existent rarement en petit modèle. Un corps de valve est relativement robuste et il peut être serré... dans des limites raisonnables. Quant au bouchon, il risque d'être abîmé mais c'est sans importance, il suffira de le changer. Il faut éviter absolument de déformer le bout de valve ou de griffer le pas de vis. C'est une intervention simple, mais si un bouchon métallique est oxydé ou serré à mort, c'est mieux de faire intervenir un mécano un peu expérimenté. Remarque : pour simplifier j'ai parlé de pinces, c'est une erreur, il faut dire "paire de pinces" car il y a deux leviers articulés. Un seul levier : c'est le cas de la pince monseigneur. Le plus souvent il est inutile de démonter l'obus.

https://www.youtube.com/watch?v=iq-gXpQp5Ao

Je n'essaye surtout pas. Ma v11 marche, what else ?... Je n'ai aucune raison de prendre le risque de chanstiquer le soft, surtout que celui-ci est bigrement intrusif.

Il y a 2 diamètres et a priori on est obligé de démonter pour savoir. J'ai l'impression qu'IM ignore ce qu'est la traçabilité, l'identification du batch nécessite une boule de cristal. Quel dommage que cela ne fasse pas partie du numéro de série comme chez d'autres...

A propos du trolley décentré, il me semblait avoir vu un essayeur qui conseillait un certain sens... je n'ai pas retrouvé. Par contre, Mr Flex pousse sa roue dans les deux sens... Si un pilote GW peut nous en parler... Ceci dit, la majorité des trolley décentrés sont à l'arrière.

Eh bien je pense que toutes ces roues sans moyeu dont certains designers nous gavent depuis des décennies sont des ânerie XXL Plus on s'éloigne du centre, plus la vitesse tangentielle croit jusqu'à devenir ingérable (en terme de fiabilité), et plus l'étanchéité est difficile à obtenir. Concernant la masse, on économise les flasques mais on s'oblige à "robustifier" la jante qui n'est plus maintenue. Quant au freinage, le système actuel le plus efficace est le disque, même si sur une moto on peut (?) se contenter d'un simple ralentisseur à l'arrière. Sur le plan technique et esthétique c'est beau, le moteur est bien intégré, et les fils gros comme le pouce sont une autoroute pour les électrons. C'est chouette pour les salons et les parkings, à l'usage, je n'y crois pas, même BMW planche là-dessus depuis des années... et rien ne sort en production. Les avancées technologiques viennent surtout de la compétition (courses), Le design fait rêver, mais s'oppose souvent à la triplette : simple, fiable et pas cher. Remarque : on pourrait espérer éliminer les frottements à l'aide d'un super-moyeu magnétique. C'est extrêmement compliqué mais cela existe sur certaines grosses machines, la consommation est élevée et on doit séparer la sustentation et l'entrainement moteur. Dans un siècle peut-être...

J'espère aussi qu'ils sauront adopter les avancées techniques de certains concurrents, comme par exemple le superbe bobinage automatique du moteur, comme chez Gotway : Parce que les bobinages en vrac actuels, avec des petites cales en bambou, ça ne fait pas trop 21ième siècle.

Une trépidante course de pots de yaourt, pour vous aider à choisir votre futur véhicule :

Avec youtube, il faut parfois attendre 2 ou 3 jours pour avoir les s/titres traduits. Ça marche pour moi :

Arriver à péter un tube de valve schrader n'est pas fréquent... Tu es sûr que c'est le tube qui est fêlé/fissuré ou bien simplement la partie interne (l'obus) qui est dévissé ou cassé ou qui a avalé une enclume ? Parce qu'un obus se change en 20 secondes, et coûte 10 centimes (quand on les achète par 100). Il faut quand même un petit outil spécial, facile à se procurer.

Tout dépend des circonstances... J'ai en tête une mission un peu pénible que j'ai effectué au nord, à Bodø, pour mettre au point deux centrales de navigation (AHRS) sur un petit avion, un DASH 8, un genre de car volant à hélices. Le but était de vérifier la cohérences des infos d'attitude, et surtout d'essayer de déclencher des vibrations des gouvernes, phénomène poétiquement nommé "rock and roll". Donc une grosse dizaine d'aller-retour 2000 pieds---5000 pieds au dessus de la mer avec les moteurs à fond ... nom de Zeus (ou Thor...) . Bon, moi j'avais le nez dans les instruments, pas question de regarder le paysage... Mais dans un contexte plus "romance arlequin" (avec ma future femme), là, au milieu d'un fjord (Bergen..etc.), eh bien on se sent petit, à un point tel qu'on renonce souvent à faire des photos, impossible de tout rentrer dans l'appareil... Ceci dit la vie y est horriblement chère, il faut une carte bleue format A4...

Oui, un trolley décentré vers l'avant, du coup j'ai l'impression qu'il faut troller en marche arrière (à confirmer). Pour la commande d'éclairage, c'est vrai que la position montrée est ridicule. Ceci dit, KS gère habituellement le mode automatique (contrairement à IM-v11 ), en 5 ans d'utilisation KS, je n'ai allumé manuellement que 2 ou 3 fois, à cause de clignotements à chaque lampadaire sur des avenues très éclairées.

<HS> Là, il y a une difficulté sous-jacente : à quelle norme se réfère-t-on ? . Une clé de 18 est pour un écrou M12 en norme ISO , car en norme DIN c'est 19. Il faut admettre que de M10 à M14 c'est un vrai bazar, le DIN (que les allemands adorent) étant remplacé par l'ISO européen... sauf qu'on trouve du DIN partout et que les jeux de clé n'intègrent pas encore cette modif stupide... Solution : les clés à molette, ce qui est une situation horrible. </HS>

Bon, une explication s'impose : j'avais fait une remarque sur la taille des pédales qui plafonnent le plus souvent à 10", sauf la Sherman qui a des 11". J'avais posté cette photo qui compare les tailles : mais ce n'est pas le bon modèle, désolé. J'ai donc gommé mon post... voilà, voilà. HS : perso, je serais éventuellement tenté par des 11" pour v11, avec des bouts carrés comme les pédales Sherman...

En clair, cela veut dire que IM n'a pas su améliorer son process de fab en 3 ans et demi, alors que le défaut est parfaitement identifié... Bindidonc, c'est pas très rassurant... .