Techos78

A priori une vidéo australienne : kangourous et circulation à gauche... A ce propos, question aux experts vidéastes : pourquoi en mode selfie la vue est inversée ? Bon, en ce qui concerne les poumons, pas de souci, la symétrie est bonne...

Excellente vidéo, et des sliders longs en print 3D sont une idée évidente quand on voit la "pauvreté" des patins d'origine. Je pense qu'il faudrait aussi allonger les rails noirs vers le haut (plus hauts que le corps du piston) car il sont vraiment trop courts : A mon avis tout cela va évoluer dans un avenir proche, au fur et à mesure que les clients dépasseront 5000 km et qu'ils se mettront à râler très fort...

Euh, en liberté, c'est mieux, non ?...

Exact. La roue se comporte essentiellement comme un asservissement de position, elle crée des variations de vitesse pour annuler les déséquilibres, afin de recaler l'engin sur une verticale théorique. Là, il faut se réjouir, cet asservissement est extrêmement stable grâce à l'utilisation de deux types de capteurs : accéléro pour la verticalité (boucle lente) et gyro pour la réponse dynamique (boucle rapide). Et cela marche aussi bien roue seule ou avec un pilote (mou) de 120kg !. C'est magique. Une seule condition : il faut que le centre de gravité coque+pilote soit au-dessus de l'axe de la roue. Sans trop détailler, un asservissement est caractérisé principalement par : -- son traînage, c'est à dire l'inclinaison rémanente, (due au gain en boucle ouverte), éventuellement accentuée volontairement pour donner au pilote un retour de commande et lui déplier un peu les chevilles. Cela concerne surtout les vitesses constantes. Trop de traînage peut accentuer la "zone morte" entre marche avant et arrière, mais diminue les hésitations av-ar dues aux bruits des capteurs et donc minimise la consommation. -- sa réponse en fréquence. qui conditionne la réactivité : avec un asservissement qui réagit lentement le déséquilibre est fugitivement allongé donc le pilote aura moins besoin de s'engager pour modifier sa vitesse. -- diverses corrections, par exemple une roue qui s'incline en roulis peut avoir l'inclinaison en tangage minimisé pour éviter de frotter les pédales, le tilt-back que tout le monde connait, éventuellement l'aide au freinage (ninebot, très peu apprécié)...etc. Mais jamais de tilt-front, si on ressent ça c'est que la roue est en limite de couple. Chaque constructeur gère tout ça comme bon lui semble, et baptise ces réglages avec des noms farfelus... On peut se contenter de parler de réglage de sensibilité hard-medium-soft... c'est assez subjectif mais bien utile pour s'adapter au feeling de différents pilotes et aux conditions de roulage. On peut essayer de comparer les différents réglages simplement en poussant la roue au trolley.

Multiplier ce genre de truc, ce serait marrant, non ? L'engin est sympa, je m'inquiète un peu pour le rayon de braquage...

Some scotch tape?

Salut @Julbert. Ton appel à l'aide manque de détails : quelle roue, quel type de téléphone, roue neuve à activer ou déjà utilisée, ou seconde main, version d'appli, roue chinoise ou européenne ?... Juste pour info, ma v11 achetée en boutique parisienne de voulait pas s'activer à l'aide de ma vieille tablette Wiko sous android (wi-fi mais pas de carte sim). Comme elle est sortie facilement de son mode transport (il suffit de la charger), hop, je l'ai trollée jusqu'au magasin et les vendeurs me l'ont activée et ils ont chargé le dernier firmware. Depuis, pas de souci bluetooth, la liaison est correcte et l'appli fait le job.

Avec nos véhicules nucléaires, notre pollution se chiffre en millions d'années. Vous y pensez ?...

Ne pas oublier l'IPS-i5 totalement en aluminium... L'alu est rarement utilisé pur, il y a environ 450 catégories commerciales dont 95 sont relativement standard. Les principales familles sont référencées en fonction du "mélange" : voir ici . Donc effectivement on choisi en fonction du type d'application, ainsi que de sa mise en oeuvre... vous l'avez remarqué : il n'existe peu d'avions en acier... En application militaire, les marins anglais ont eu de graves soucis avec leurs bateaux qui se sont mis à brûler après avoir flirté de près avec des exocets (guerre des malouines). L'utilisation du magnésium est abandonnée pour les mêmes raisons (jantes de voitures...). Mais la résistance à la combustion n'est pas un critère pour nos roues.... quoi que . L'alu le plus "sérieux" pour faire des cadres (vélo...) est la série 7000 (alliage de zinc). On peut s'attendre à des caractéristiques assez fantastiques avec les alliages réalisés en µgravité, ce qui permet de mélanger à peu près n'importe quoi. La surprise récente est l'aluminium transparent, que Elon Musk va produire et utiliser pour les verrières de son super pruneau, afin de garantir une résistance bien supérieure à cette du verre blindé.

Non non, une li-ion 21700 pèse 70 grammes, ajouter 60 cellules cela fait un peu plus de 4,2 kg.

Oui, de vertébré on passe à arthropode, méthode "Elon Musk" qui préfère un exosquelette plutôt qu'un châssis. Les pads mobiles hauts et bas ne sont que des excroissances ergonomiques, seule la partie supérieure reste capotée. Les inconvénients d'un axe traditionnel : -1- bouts d'axe fragiles, nous sommes plusieurs a avoir perdu la roue à cause d'un simple nid de poule : c'est inacceptable -2- faible section des fils moteurs, difficulté dans le cheminement filaire et dans la connectique -3- pour la roue suspendue s18, les brides de fixation de bout d'axe supportent nettement moins de contraintes que pour une roue rigide, cependant le guidage n'a pas la qualité suffisante pour assurer un bon placement de la roue ce qui impose un réglage bidouillesque à l'aide de cales. -4- encombrement : les bouts d'axe dépassent de chaque côté, et les câbles électriques qui sont très exposés. -5- l'axe est en acier, c'est une pièce qui est sertie/clavetée dans la jante mais qui ne peut pas se changer. Il y a eu des soucis chez GW, IM... de mémoire pas trop chez KS... Les inconvénients de l'axe creux : -A- fiabilité des roulement extrêmement faible, liée principalement à l'étanchéité eau/poussière, quant à l'usure standard c'est un peu tôt pour se prononcer : plus de billes mais elles tournent plus vite... -B- L'accès aux vis de fixation est axial, sauf en cas d'utilisation de vis à tête hexagonales. En bref, le démontage est peut-être plus complique sur cette s20 ... Avec un axe creux les inconvénients 1, 2, 3, 4, 5 disparaissent... Mais on passe peut-être de Charybde en Scylla... C'est une dénomination publicitaire/commerciale non standardisée, de type "pochette surprise". Vu de l'extérieur, le critère le plus évident serait de pouvoir lire la tension de chaque groupe de cellules et éventuellement la température. Cela peut être associé à un journal d’événements (géré par la cm). Il y a trois caractéristiques que nous sommes en droit de connaître : -- Y a-t-il un arbitrage inter-packs qui dispense d'avoir à aligner les tensions quand on branche les deux batteries ensemble ? -- Est-ce que les deux packs se rechargent simultanément lors de la régénération ? -- Est-ce que le mode "vampire" existe dans la s20 ? Et si oui, quelle est la méthode officielle pour passer outre ?

Comme @King Size je pense qu'il n'est pas très prudent de trop attendre quand les roulements sont dégradés. Ces roulements de fort diamètre ont des billes qui tournent extrêmement vite ( surtout les 6816), elles chauffent et peuvent casser en bloquant tout brutalement...

Yes, the side of the heart, of course . I will upgrade asap ... maybe the horn and the total mileage works on v11? But don't worry if this is not (yet) the case ... Thank you for this great work. And this will reset the watch, it is 3 minutes late.

Pour ceux qui désireraient changer leur bouton on/off, voilà les infos que j'ai déjà données à @Islandprawn . (à confirmer). Le bouton est celui-ci, il faut qu'il soit avec contact fugitif (momentané), et que l'éclairage soit en 5 Volts : Le bouton a 5 broches ( C , NO , NC, +LED , -LED ) selon ce schéma (peu lisible) : Seuls 4 fils sont utiles, le NC n'est pas utilisé. : Il faut brancher C et NO à la place de l'ancien bouton, le LED+ sur le +5V du port USB (fil rouge), le LED- sur le 0V du port USB (fil noir). Ces renseignements étant insuffisants pour @Islandprawn , celui-ci demande une photo pour pouvoir brancher ces 4 fils...

Les pédales sont très spécifiques. La double charnière (jaune) fait plaisir : enfin des pédales qui n'auront pas de jeu au bout de 1 mois... à condition que la fixation sur le carter batterie soit hyper sérieuse. A priori, comme d'hab', rétention mécanique (pas magnétique) (rouge), et pour des raisons de symétrie (il n'y a pas de petites économies), une encoche qui ne sert à rien (vert). Je ne suis pas un grand fan des pédales à clous, mais on peut toujours coller une plaquette avec un grip traditionnel. Il est possible qu'il y ait 2 axes colinéaires... mais un axe dans la partie inutile ferait moche... à voir.

Grace à ça, on peut réinventer la diligence :

Une gentille parodie du film culte Deliverance :

Le bridage d'une roue est toujours logiciel, il consiste en l'application d'un tilt-back, les alarmes sonores (souvent 3) sont uniquement informatives. Le tb est à la fois sensitif et actif, c'est une accélération fugitive de la roue que le pilote ressent comme un relèvement des pédales, et le déséquilibre arrière qu'il provoque tend à limiter la vitesse. Pour l'usage privé, un client peut modifier la valeur (25 km/h) définie par le vendeur, mais de nombreuses applications officielles imposent une limite maximum de sécurité selon la puissance. En roue, un bridage par limitation de puissance n'a pas de sens, car il est impossible de séparer la puissance nécessaire à la propulsion et celle pour maintenir l'équilibre. Une roue puissance est incontestablement plus sécurisante car moins sujette au phénomène poétiquement appelé face-plante. Une mesure de vitesse roue levée n'a pas de sens, car une fois hors-sol l'asservissement diverge, ce n'est donc qu'une limite dépendante de la vitesse de commutation de l'électronique de commande du moteur.

Si ton gros sac appuie sur le ON/OFF, ton éclairage va jouer au clignotant, et ton coccyx est en danger au premier feu rouge... De plus, ne pas oublier de replier cette %$#@& de béquille... Pour l'autonomie, je confirme les 100 km (actuellement, à voir cet hiver). Ma "référence" est le passage à mi-tension : 55 km à 74 Volts. Je me base toujours sur la tension que me donne ma montre, et je constate avec plaisir qu'elle est très "rigide", c'est à dire peu dépendante de la charge, pour une conduite pépère sans dépasser 40. (ce sont des km roue, un peu optimistes).

Comparaison électriques. Les batteries : S18 : 1110 Wh (3.7x5x60) , les 60 cellules 21700 -- 5000 mAh sont organisées en 20S3P et délivrent une tension max de 4.2 x 20 = 84 V. Cette structure 3P a du mal à fournir le gros courant nécessaire lors des forts couples. "S20" : 2220 Wh (3.7*5*120), les 120 cellules 21700 -- 5000 mAh sont organisées en 30S4P et délivrent une tension max 4.2 x 30 = 126 Volts. Ce 4P pourra fournir le couple, et le 30S assurera assurément une vitesse stratosphérique. L'étage de puissance : S18 : 2200 W , 74 Vnom , courant 2200 / 74 = 30 Ampères "S20" : 3300 W , 111 Vnom, courant 3300 / 111 = 30 Ampères. Le courant étant le même, on pourrait penser que les mosfets ne devraient pas souffrir davantage. Double erreur. D'une part, des mosfets qui gèrent des tensions plus élevées ont un Ron plus élevé, ils chaufferont plus. D'autre part, la carte mère génère des courant pulsés, selon un certain taux de découpage. Sachant que la résistance interne d'un moteur est inférieur à 1 Ohm, un démarrage type Kuji nécessite un taux de modulation de quelques pour-cents, le courant instantané s'exprime en centaine d'Ampères. Plus la tension est élevée, plus les impulsions sont fines et plus le courant instantané est important. Les batteries n'ont pas à fournir ces pics énormes car il y a des condensateurs qui lissent partiellement le courant... Attendons de voir les condensateurs qui seront installés...

Non.

Pour info, la montre P8 ou P22 fonctionne bien avec la Veteran : L'alarme vibrante peut sécuriser les "vitesses infernales"... .

Désolant, ton expérience démontre une fois de plus que ce gros roulement est aussi étanche qu'un tampax... Bref. . Je n'ai pas (encore !) d'expérience avec ces gros roulements, j'ai juste ouvert mon moteur ks18a pour mettre des skf. L'instant "qui fait peur" est effectivement le décollage des flasques... je devrais dire du 1er flasque car je pense qu'il est prudent de traiter les côtés l'un après l'autre pour éviter tout contact rotor--stator, l'entrefer est faible mais reste à peu près centré avec un seul (petit) roulement. Je n'ai rien de mieux à proposer que la méthode @King Size . Pour moi le plus dur a été le début de décollage car il est difficile de ne pas marquer/griffer le plan de joint. Plusieurs gros tournevis plats réaffutés ont été nécessaires. Dès que ça commence à bailler ça va mieux, on peut engager des leviers "tendres" (bois dur : chêne, hêtre...), j'en ai utilisé 5 ou 6 de tailles progressives pour une extraction la plus coaxiale possible. Sans blague, l'effort sur le flasque est sérieux ... J'ai vérifié, ouf, aucun bombé ou gauchissement. Une fois ouvert, de deux chose l'une, le roulement reste sur l'axe ou dans le flasque. Sur l'axe on peut être bestial (gros leviers) puisque c'est un démontage destructif, dans le flasque la méthode thermique s'impose, telle que décrite dans les vidéos. Si vraiment le flasque ne veut pas s'ouvrir... ça devient risqué. Il me semble qu'on peut (? ? ?) tenter de chauffer le flasque au décapeur thermique, mais je pense qu'il ne faut pas dépasser 200°C, le mieux est clairement une ouverture à froid, en multipliant le nombre de bras de leviers... éventuellement en utilisant des leviers métallique percée/taraudés. Et si le 1er roulement est vraiment très serré, c'est peut-être l'autre roulement qui va s'extraire de l'autre flasque (ça été mon cas), et donc on remonte le porte pédale au verso pour éviter de sortir le stator. Pffff, que dire, brûler un cierge à Sainte Lucie est peut-être utile... Qui sait ? Mais pour ceux qui n'ont pas un mini-atelier, la table du salon risque de souffrir... Mais pourquoi ne suis-je pas surpris ? Je crois que ce sont les ruskoffs de chez EcoDrift qui ont "inventé" ce trou... Ils sont d'une compétence top niveau,.. De mon métier d'équipementier avionique j'ai appris qu'il est bien difficile d'assurer l'étanchéité de certains boîtier, et qu'il peut être préférable de trouer (en bas) pour évacuer l'eau. Même en métallurgie des tubes, un petit trou limite le pourrissement interne (grilles, portails...), redoutable lors du franchissement du point de rosée (0°C). Donc, perso, je pense que ce trou est probablement utile, qu'on peut l'envisager (en haut ou en bas, je ne sais pas), j'imagine qu'il sert surtout à équilibrer les pressions. A priori l'intérieur de l'essieu creux reste propre, pas de projection d'eau. Pour l'anti-poussière, éventuellement un petit bouchon de laine de verre...

Aille, mauvais signe. Cela ressemble à une panne relativement "classique" : un groupe de cellule de la chaîne 20S qui est "tombé" à 0,00V. Cela m'est arrivé sur ma ks16b, probablement après un vidage batterie jusqu'à environ 10%. A tension très basse, une cellule peut perdre (brutalement) sa tension et se comporter en court-circuit. Donc on peut a priori continuer à se servir... sauf que Chépuki nous a dit que c'est un "mauvais" court-circuit, qui va chauffer et présenter un réel danger... En conclusion : pack mort, tant qu'on n'a pas remplacé le groupe de cellules en cause ( il semble qu'il y a des méthodes pour tenter de le réactiver). Galère. Moi je n'y connais pas grand chose, et je ne comprends pas ce qui se passe avec les 2 packs en // . Lors de la charge, il me semble que le pack défectueux devrait effectivement s'arrêter à 80V avec 40 mA dans les 19 bypas fonctionnels, mais l'autre pack devrait continuer à grimper jusqu'à 84V ... à moins que la carte mère ait un système d'arbitrage bizarre... Juste des hypothèses...

Oh oui, tout cela est très enthousiasmant... Je vois avec plaisir que tu maîtrises ces techniques de programmation, déroutantes à cause de la diversité des plateformes, procédures et langages... C'est dommage de ne pas en parler davantage, par exemple nos engins dialoguent en BLE et (presque) personne ne connait le contenu des trames ... c'est bien triste. Pour 'notre' P8, je n'ai aucune critique sur l'interface d'enaon. elle est pratique et efficace. La montre elle-même n'est pas ridicule, le bluetooth est stable et réactif, on peut surtout reprocher un écran pas très lumineux et une autonomie un peu faible (~4 heures pour moi)... Il y aura peut-être un Flasher pour une montre plus performante...