Techos78

J'y connais pas grand chose. Souvent, que ce soit une poignée tournante ou une gâchette, les "gaz" sont pilotés par une tension analogique, issue d'une sonde à effet hall linéaire devant laquelle se balade un aimant. Il y a donc 3 fils, qui sont l'alim 5 V et la sortie (variable, ~ 1 à 4V) Dans l'exemple ci-dessus, le throttle line comporte un fil noir et rouge, ici le fil de sortie est bleu mais pas forcément. Et il y a différents types de connecteurs. ( Bon, j'ai été grillé par @Christian-91 mais je poste quand-même ).

Il y a plus de 3 mois que @Simon P a posé cette très importante question. QQOQCCP ? ( Désolé si la réponse a déjà été donnée, le fofo est bigrement prolixe... )

Les pistes cyclables sont souvent protégées par des poteaux, faut-il mettre une coquille ?

@misc : tu me fais immensément plaisir, merci pour ce lien. Je vais regarder cet "inverter load" qui ressemble terriblement au cycle de service que je souhaite tant. Avec une appli qui afficherait ça sous forme de bargraphe 0...100%, on pourra (?) oublier les puissances calculées devenues inutiles... Un pas vers l'épectase ?...

Tiens, une féminine, c'est plutôt rare, soit triplement la bienvenue. J'ai fait mon apprentissage (laborieux car vieux-chnock) sur ks16, et je me suis bien imprimé les packs (=parpaings) dans les mollets. Pour faire bref, je n'ai pas trouvé cette roue confortable. Par la suite, ça s'est amélioré, mais cette notion de confort a été un critère décisif pour les roues suivantes. Et pour des jambes de gazelle, cela n'a pas été un peu "rugueux" ?

En effet, 2P est peut-être un peu peu. . mais en toute rigueur, ce devrait être suffisant, ce n'est pas plus critiquable que du 18650-4p énergisant un moulin de 2 kW. Ce qui est curieux dans cette roue, c'est la tension 74V, un peu copieuse, mais le facteur de forme bananoïdal du pack doit y être pour quelque chose, et le moteur doit être bobiné en conséquence... Je vais encore évoquer le sujet qui me désespère depuis l'origine : le taux de charge du moteur n'est pas transmis en bluetooth (*). On est absolument incapable de dire si la puissance module à 75% ou 99,9%, je suis scandalisé. Bon, j'écourte, sinon je vais utiliser tous mes Kleenex. (*) pour des raisons historiques, et les chinois se copiant les uns les autres, c'est pareil pour toutes les roues... mais Gotway a eu l'idée géniale de mettre l'alarme sonore 3 à 80% de charge moteur, ce qui est considérablement plus intelligent qu'une alarme de vitesse.

@BelforToF : tu as complètement raison de lancer des alarmes, ton expérience mettant en cause une gestion suspecte du bluetooth conduisant à une perte d'asservissement. Éventuelle diablerie à surveiller. Là où se suis plus réservé, c'est quand tu présentes la V8 comme un truc hyper sécure. Ben non, un moteur 800W est effectivement exploitable, mais encore une fois, il ne faut pas trop le bousculer. La V8 a du couple, le off-road et le tricking passe plutôt bien, mais le comportement en routier "rapide" est très/trop juste. Moi aussi (~90kg), je me base sur mon expérience. J'ai aussi malmené ma ks16b-800W allègrement, et un jour, suite à une accélération virile sur route, elle a piqué du nez... et j'ai rattrapé en baissant les fesses et en jetant les jambes en avant (réflexe de 10 ans de rollers). Quand le moteur sature et décroche, il n'y a généralement pas d'alarme sonore et jamais de tilt back (qui nécessite de la ressource). Il ne faut pas se leurrer, si une majorité de wheelers investissent dans des moteurs puissants, en passant à des tensions supérieures, ce n'est pas par hasard. De plus, pour le pilote, il beaucoup plus reposant d'avoir de bonnes marges fonctionnelles plutôt que de rester borderline avec des mises en vitesses asymptotiques. De plus, cela repousse d'autant les restrictions de batterie faible, toujours pénibles.

@Llaber , désolé pour ta gamelle. Il n'y a pas trop de bobo, et tu le prends plutôt avec philo, c'est bien. Cela a été dit, 800Watts c'est pas bézef pour wheeler à 25-30. Quant aux accélérations, la mollitude s'impose. Quelques chiffres. En gros, pour rouler à 25km/h une roue consomme ~18Wh/km soit une puissance de 450Watts. Et pour accélérer il faut injecter une puissance supplémentaire ( énergie cinétique 1/2*m*v^2 ) Par exemple, pour accélérer 100kg de +18km/h (5m/s) il faut injecter 100*5*5/2 = 1250 Joules, si cette accélération est répartie sur 3 secondes, il faut que le moteur fournisse 1250/3 = 416 Watts. Donc pendant l'accélération 450+416 : on dépasse facilement la puissance nominale, heureusement la roue a une certaine marge pour fournir une puissance instantanée supérieure, mais il ne faut pas en abuser...

Pour faciliter les dialogues, il faudra essayer d'être plus précis. C'est la jante ou le pneu qui est décentré ? Le pneu tourne rond mais est décalé dans le passage de roue ? Ou le plan de rotation oscille verticalement, ou il oscille latéralement ? Si possible mettre des chiffres... Compléter avec un test de sur-vitesse en soulevant la roue, ça ne devrait (?) pas trop vibrer. Le calage angulaire en tangage des pédales est classique. Sur les vieilles roues, il faut mécaniquement caler l'engin à l'angle désiré (avec le roulis nul) puis faire OK. Là, le système est plus moderne, tu demandes un angle via l'appli et cette nouvelle valeur est transmise. Bon, cela me semble très pratique (je ne connais pas), j'imagine qu'il ne faut pas être trop exigeant avec cette nouvelle méthode qui nécessite théoriquement une calibration du biais accéléro en usine, ce qui n'était pas nécessaire avec la première méthode. Si tu as des loisirs et un bon inclinomètre, tu peux tracer la courbe tous les 2°, tu verras si c'est le 0 qui est décalé ou les facteurs d'échelles + et - qui sont différents. Roue toujours verticale en roulis. Honnêtement je pense que le sav va t'envoyer dans le mur avec un truc pareil... mais peut-être pas si ils sont capable de débiaiser l'accéléro à l'aide d'une appli particulière qui permet l'accès aux paramètres enterrés. Ceci dit, l'important est de pouvoir incliner la bouzine, que cela fasse 7 ou 12° n'a aucune importance. Que le tilt back soit à 25° ou 35°, tout le monde s'en fout. Si tu veux connaitre les performances des accéléromètres, ce sont probablement ceux là : MPU-6000 , pour avoir l'angle il faut un peu de trigo...

Mmmm, c'est un peu tôt pour enterrer les axes creux. Les axes qui plient ou cassent sont une plaie rédhibitoire, les roulements médiocres sont pénibles mais gérables pour un bricoleur attentif... Comme diraient les grecs, on passe de Charybde en Scylla, sauf que Scylla est un peu plus sympathique. Il est possible que New Walkings fasse "des efforts" pour faire oublier son comportement dégueulasse vis à vis des boutiques parisiennes... mais on peut aussi se rappeler la série de roue dont l'axe mal serti/goupillé faisait cloc-cloc... @Furqo_JQ : si possible, dis-nous quelle roue tu as, celle avec les petits roulements, ou les nouveaux qui sont plus gros.

Ooops, tu as raison, au temps pour moi. (expression militaire, ne pas écrire autant pour moi). J'avais mal regardé les encoches (jaune), presque bien placées pour mettre des sondes.

prawn = crevette, in English in the text C'est chaud par ici, je ne peux que conseiller une visite au Nord de Oudezijds Achterburgwal (Amsterdam)...

Je suis très surpris de voir ces deux rangées décalées l'une de l'autre. Sentimentalement, je pense que c'est plutôt néfaste, le champ tournant (stator) aurait plus d'efficacité en s'appuyant sur des pôles (aimants du rotor) plus homogènes, surtout que les sondes de Hall sont placées que d'un côté... bizarre, je ne comprends pas bien le résultat, il faudrait simuler tout ça... J'imagine (?) c'est dû à des difficultés de réalisation. Il est "facile" de coller une rangée d'aimants car étant alternativement N et S et placés côte à côte ils s'attirent. Mais pour commencer à placer la deuxième rangée, ça se gâte nettement : placer deux aimants de même pôle côte à côte est extrêmement difficile (par exemple, recoller un aimant cassé est quasi impossible). Je pense que le collage doit être une galère extrême, même en acceptant un certain décalage...

J'étais en mode idle, je reprends de l'activité en remontant un échange récent : C'est vrai que c'est troublant : les flasques GW sont très enveloppants alors que les IM ne protègent pas les joints de roulements. C'est dommage, je ne comprends pas cette économie de matière... Concernant la solidité des roulements, là il faut se contenter de faire confiance aux manufacturiers... Il y a de très belles vidéos (merci Youtube) qui montre la fabrication des billes... Ceci dit, chaque roulement a des spécifications d'utilisation qu'il convient de respecter. Pour les grosses charges, avec effort axial (voitures), on passe souvent aux roulements à rouleaux coniques... @King Size a eu raison d'insister sur le fait qu'il y a 2 roulements qui permettent d'augmenter considérablement la résistance aux efforts de torsion, mais il faut gérer convenablement la liberté ou la pré-contrainte axial inter-roulements. Pour les rotations performantes (gyros mécaniques, têtes de magnétoscope...), il faut aussi apairer les roulements en fonction de leur spectre vibratoire.

Avec l'âge, un moteur perd de son efficacité. Cela vient des aimant néodyme qui perdent leur aimantation, souvent d'environ 0,5% par an, mais c'est variable selon l'environnement thermique et les champs qui leurs sont opposés. De base, un aimant néodyme accepte qu'on lui applique un autre aimant de même polarité touche-touche (ils se repoussent), mais si un électroaimant dépasse le champ coercitif, on peut désaimanter l'aimant en moins d'une milliseconde, et éventuellement l'aimanter dans l'autre sens si on applique une valeur triple du champ coercitif... C'est d'ailleurs comme ça que l'on crée les aimants.. Bien sûr, les bobinages sont excités de façon à rester en deçà des limites. Il n'est pas possible de ré-aimanter les aimants une fois qu'ils ont été collés à l'intérieur de la jante.

En effet, il y a un problème de fiabilité pour les roulements de fort diamètre (chinois). Un bon bricoleur peut changer les roulements, en privilégiant la qualité (SKF par exemple). Le changement est délicat (ouverture du moteur...), mais il y a un élément nouveau à prendre en compte : le coût . Pour la v11, pas de problème, cela reste autour de 20€ pièce. Mais certaines dimensions atteignent des prix monstrueux, la GW Monster Pro dont les roulements sont 8 à 10 fois plus chers... Le problème, c'est qu'un client n'a que ses oreilles pour juger si les roulements sont corrects... cela augure des discussions houleuses avec les sav...

Au remontage, ne pas oublier que la suspension s18 est hyperstatique (i.e. surcontrainte), c'est à dire que la hauteur des pédales dépend simultanément de la fixation de l'axe moteur sur les chariots coulissants ET des divers alignements des compas basculeurs. Il faut éventuellement aligner/synchroniser les deux sous-ensembles en utilisant le concentré technologique déjà évoqué plus haut :

Il y a une modification importante, c'est la carte mère au dessus de la roue. J'ai cru comprendre que, sur une Monster traditionnelle, le joint de demi-coque du passage de roue n'était pas très soigné, mais que de toute façon même si la flotte transpirait un peu dans la poignée, c'était sans importance. S'il faut désormais jointoyer tout cela amoureusement, ça va compliquer la vie, surtout si il y a un radiateur...

C'est vrai que les constructeurs tâtonnent pour choisir des roulements corrects de grand diamètre. Inmotion a changé rapidement les roulements de la v11 pour des modèles plus épais et de plus grand diamètre externe (billes plus grosses). Assurément, c'est un vrai problème, et on est en droit d'espérer des roulements qui tiennent 5 ans minimum. Mais il ne faut pas se voiler la face, les roulements sont des pièces d'usure, et les changer au bout de 20 ou 25 000 km n'est pas scandaleux en qualité "grand public". Le changement de roulements est délicat car il nécessite l'ouverture du moteur. L'extraction peut être pénible, mais comme elle est destructive (pour les roulements), des méthodes barbares suffisent. La réinsertion dans les flasques est plus critique, mais à mon avis on peut se passer de presse : soit à l'aide de deux plaques à vis traversantes, soit très soigneusement avec une cale en bois dur (chêne, hêtre...) et un marteau moyen en frappant uniquement sur la cage externe.

Là je ne vais pas pouvoir répondre, je n'ai pas fait de trajet long avec cette roue récemment. Je constate que son auto-décharge est vraiment faible, car même en ne la chargeant pas à fond (CD2 réglé à 1A), je ne l'ai jamais vu perdre une led, même après 6 mois d'immobilisation. En gros, vu son kilométrage, cette roue a subi ~70 recharges, les batteries étant garantis pour 500 ou 1000 recharges (complètes) correspondant à une perte de capacité d'environ 15%. Le pack du haut (840Wh) est plus récent que les deux autres(2x340Wh). Le branchement est particulier, sachant qu'à l'origine les 2 batteries étaient en cascade : là j'ai monté les 2 batteries du bas en //, connectées à la carte mère, le 3ième pack étant en cascade en tête et branché sur le port. J'ai pris cette option car ce pack additionnel est générique, et possèdent des mosfets de disjonction de courant fort, alors que les deux du bas n'ont pas de protection (c'est mieux) et en // ils alimentent plus facilement le moulin. J'ai ajouté des diodes schottky (2x4A) pour protéger le port de charge. Sous la main je n'ai qu'un schéma qui n'est pas à jour, le pack de tête est un 840Wh et il y a une paire de diode à gauche : Le 3ième pack qui a été ajouté est comme ceci : Les diodes de protection du port : Un petit radiateur (une barquette alu) a été ajoutée pour améliorer la dissipation de la cm, elle permet de fixer les fils. Les deux packs en // sont reliés à la cm, les 3 phases moteur ont des connecteurs intermédiaires pour faciliter le démontage.

La roue pèse 23 kg, et, par nature, une 18 pouces est moins joueuse qu'une 16 pouces. Les conséquences d'un plus grand diamètre sont des accélération plus progressives, une stabilité qui autorise une vitesse supérieure, une capacité de franchissement supérieure, et, pour cette roue particulièrement haute, un excellent confort. On peut faire un demi-tour sur une allée de 1 mètre, mais la vocation d'une 18" est surtout de bouffer des km. Il n'y aura pas de miracle, venant d'une 16" compacte il te faudra ~1 semaine pour maîtriser correctement la bête, et c'est pour ça que je préfère que tu viennes tripoter l'engin sur place, pour que tu puisses voir si ça le fait. Ceci dit, tu devrais pouvoir la prendre en main immédiatement, l'aisance totale vient un peu plus tard.

En préliminaire à toutes livraisons, il est souhaitable que le client soit correctement configuré. Il faut donc : -1- Que le numéro (d'adresse) soit parfaitement lisible en façade ou sur la clôture , si possible depuis la voirie -2- Que l'appartement/pavillon soit équipé d'une boîte aux lettres normalisée (pour les petits colis) -3- Qu'il y ait quelqu'un pour réceptionner les gros colis, avec une sonnette fonctionnelle. Il suffit de se promener dans les rues pour constater les manquements 1 et 2 ou même à l'absence de sonnette, les boîtes misérables, sans parler des immeubles sans gardiennage avec digicodes, d'un accès pire que Fort Boyard. Il ne faut donc pas trop s'étonner que certains livreurs craquent à cause du je-m'en-foutisme de certains clients. Il faut tenir compte du routage gps, car certaines résidences ou grandes propriétés ont des accès trompeurs... Il y a une difficulté : évaluer la taille du futur colis, à cause de la mode des sur-emballages monstrueux. Eh bien il faut envisager le cas pire et prendre les dispositions en conséquence, c'est à dire livraison chez un voisin retraité, un point relais... Pour moi, un livreur doit pouvoir se décharger de son colis en moins de 2 mn maxi, si tel n'est pas le cas c'est avant tout la faute du client. Edit : et si vous faites une recherche Google "boîte à colis XXL", cela pourrait faciliter vos achats en e-commerces.

Un bleu bite qui n'a jamais fait de roue peut bloquer les pédales de la v11 en bas en début d'apprentissage. Ensuite, après "dépucelage", il sera possible d'ajuster le sag et la souplesse suivant feeling...

Rhaaa, tu me fends le cœur. Je suis pourtant du type "Saint Thomas" mais je n'ai pas regardé, et comme j'ai offert le vélo à un de mes fils (Noël...), la réponse ne va pas être immédiate. J'ai simplement imaginé que Moma ne prendrait pas le risque de fournir n'importe quoi, j'ai eu tord, j'ai honte. Pour du 12s cela doit effectivement être 50V. Par ailleurs, j'ai trouvé et lu la notice sur la toile, ils disent clairement qu'il ne faut pas vider complètement la batterie. Tu parles, avec un contrôleur qui coupe trop bas, c'est un bon moyen de responsabiliser le client... Du coup, avec ce contrôleur théoriquement adapté pour du 10s (?) je me pose des question sur l'affichage du % de batterie... si on est optimiste, on peut espérer que c'est un firmware adapté ou configuré... Certes. Dans une pente, à plein pot, le moteur digère environ 15 Ampères et il ne peut pas tenir indéfiniment. Il faut donc être raisonnable et limiter l'assistance, ou s'arrêter de temps en temps. La montagne c'est terrible, et j'ai vraiment cru mourir pour remonter à la Pierre St Martin (Pyrénées) après être connement descendu dans la vallée. Les chiffres sont là : pour monter par exemple du 10% à 18 km/h (i.e. 5m/s), 75 kg nécessitent 736W * 5 * 0,1 = 368 W , à ajouter à la puissance nécessaire pour rouler sur le plat. C'est sûr, les 250W légaux sont risibles. Le débat moteur-roue et moteur-pédalier est un vaste sujet, avec confrontation avantages vs inconvénients, et pour l'instant c'est loin d'être tranché. Remarquons que ce n'est pas le réducteur qui pose un problème de fiabilité. Je peux juste dire qu'il n'est pas bruyant sur le Moma, ce qui n'est pas le cas de tous les moteurs-pédalier (Kalkoff...). Autant il est facile (ça se discute) d'engranger un pack sous un deck de trott', ça se complique pour un vélo. Pour ce dernier, les systèmes de sacoches, batteries-bouteilles, packs triangulaires ou autres ne sont ni esthétiques ni pratiques. Des blocs rackables (avec clé) me semblent plus sympas même s'il faut vendre son âme à un fournisseur. Dans une certaine mesure, on peut se permettre de poubeller un vélo de 1k€, même si ce n'est pas très bon pour la planète. J'ai l'impression qu'il y a moins d'hésitation pour se racheter un téléphone portable, mais ceci est un autre sujet.

Bah, la science ne progresse pas très vite en fait :