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Tout ce qui a été posté par TexMurphy
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Sinon, il y a ce genre de solution https://www.badassebikes.com/fr/ https://www.lilibike.com/ https://www.chefvomradweg.de/
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Une vision tonique du VAE, présentée par la bien connue société californienne Luna Cycle. le X-1 Enduro FS Ebike, de 300 à 2000 watts... 95 nm, batterie Panasonic, moteur Bafang M600, suspension réglable RockShox, en précommande à 3750 $ https://lunacycle.com/x-1-enduro-fs-ebike/?fbclid=IwAR1mB35V1P-7DHYX5edh4agrSXCrp1vS3Epnec0nlOIV8YO_NP2nV04Hces
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Faucon E9 un scooter electrique 125 rapide
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de helyxir dans Motos & scooters électriques
Merci pour ce retour @helyxir- 136 réponses
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- 1
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- équivalent 125
- autonomie
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(et 1 en plus)
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UBGO 1006 : jeu dans la direction
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Bob la Bricole
Outil en approche, posté cet après midi. Dis nous si ça a fonctionné pour ta direction... -
Toujours à la recherche du bon compromis ( poids encombrement prix ET sécurité) je reste fidèle au 420 gr de mon Casco Warp Sprint (ancienne version 2)... les autres ont rejoint l'étagère
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Infirmière en trottinette
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de Infirmièreentrott dans Présentez-vous
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Est ce bien raisonnable ?
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Une autre vision du scooter électrique :-)
TexMurphy a posté un sujet dans Motos & scooters électriques
le Cezeta 506 a ses adeptes ! fortunés.... https://nexxdrive.fr/cezeta-506-que-vaut-le-luxueux-scooter-tcheque-100-electrique/ Réplique moderne du mythique scooter tchèque de 1957, le Cezeta 506 nouvelle génération conserve son adorable silhouette de cochon, mais n’émet plus de grognement ni de gaz polluants. Un collector très attachant et assez performant, mais réservé aux plus offrants. Accessible à partir de 13 200 euros en version 506/01, le Cezeta réclame 15 200 euros en version 506/02. À cela, s’ajoutent les options comme la peinture bi-ton (500 euros), le pare-brise (360 euros) ou le phare avant à LED avec éclairage latéral en virage comme sur les voitures récentes (740 euros). Notre modèle d’essai vaut donc la bagatelle de 16 600 euros. Notez que la garantie de 2 ans, peut être étendue à 5 ans contre 1 395 euros -
Merci pour ce retour @sevy13 Donc, pas à la portée de tout le monde l'engin , beaucoup d'après vente à assurer dès la réception... Mais on peut penser que vu la base, et tes talents de bricoleur, tu vas en tirer le maximum et transformer la citrouille en carrosse !
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UBGO 1006 : jeu dans la direction
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Bob la Bricole
8,80 euros en Colissimo 48h -
UBGO 1006 : jeu dans la direction
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Bob la Bricole
Non région lyonnaise... Je pèse le tout en rentrant à midi et je te dis tout ça vers 14h -
UBGO 1006 : jeu dans la direction
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Bob la Bricole
Oui testé et approuvé!, j'en parle dans le post de la 1006. Oui c'est vraisemblablement les mêmes, 1004, 1005, 1006.... Je ne l'ai pas payé, donc je ne le vends pas. . J'avais précisé que je le mettrais à dispo des proprios de UBGO qui en auraient besoin. Je crois que c'est le moment Pas de souci pour un envoi, tu me payes juste les frais de port. -
UBGO 1006 : jeu dans la direction
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Bob la Bricole
Effectivement, pas dispo dans la boutique. c'est KWK qui me l'a envoyé pour résoudre mon problème de jeu, constaté à la réception de la trott -
[VENDU] Ubgo 1006 Dual moteur 48V 21Ah 04/2019
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Trottinettes/eScoots
Sans aucun doute ! -
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[VENDU] Ubgo 1006 Dual moteur 48V 21Ah 04/2019
TexMurphy a répondu à un(e) sujet de TexMurphy dans Trottinettes/eScoots
Les plâtres... l'enduit etc... Madame m'a fait remarquer qu'il y a deux bagnoles, deux trott et déjà deux vélos dans le garage... si j'en rajoute un troisième sans contrepartie, je risque la cour martiale ! -
Remis au vélo depuis quelques semaines, je vais tenter l'expérience de l'électrique... Afin d'atténuer (un peu) la douloureuse du VAE , je mets en vente mon Ugbo. Achat en avril 2019. Actuellement 230 kms (peu évolutifs) Idéal pour la ville, le combo roues 8 pouces/double moteur, associé au couple important, permet de bonnes accélérations et une évolution sans souci dans la circulation urbaine. les 3 modes de conduites disponibles (1 lent, 2 normal, 3 rapide) autorisent une vitesse maximale de 50 km/h environ selon conditions (bridage 25 km/h possible) - Capacité de La batterie: 48V21AH (autonomie max 40-55 km) - Deux port de charge pour une charge rapide (1chargeur dispo) - Freinage avec deux disques (AR hydraulique) + frein électrique - Equipement complet (2 phares à l'avant, feu stop, feu & clignotants à l'arrière, klaxon) la rend compatible avec la future réglementation. Guidon (cintre et potence alu) réglable en hauteur La poignée de levage facilite la manipulation à l'arrêt Plateau large (24cm) roues 8 pouces avec pneus larges (90 mm) increvables -Poids Net: 32kgs Modifications apportées : - Ajout GB avant home made - Remplacement du guidon d'origine pliant par un cintre + potence alu. - Séparation des contrôleurs et pose sur pad thermique au fond du bac pour améliorer le refroidissement - Comme expliqué dans mon post sur la trott, à réception, une bonne vérification et de nombreux réglages se sont imposés, les ouvriers chinois n'étant pas portés sur... les finitions Localisation à Bourg en Bresse, à 60 kms au nord de Lyon 650 euros, à retirer sur place, pas d'expédition.
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Et dans le même journal, aujourd'hui : https://www.liberation.fr/debats/2019/06/11/la-trottinette-la-glisse-imperiale-au-dessus-du-socle-commun_1733018 La trottinette : la glisse impériale au-dessus du socle commun Par Eric Sadin, écrivain et philosophe — 11 juin 2019 à 17:45 Boulevard de Sébastopol, à Paris. Photo Cyril Zannettacci pour Libération Il n’existe que deux options face à ce nouveau mode de déplacement à Paris : soit l’interdiction pure et simple, à l’instar de Barcelone, soit la réalisation d’infrastructures dédiées, mais coûteuses et longues à mettre en place. La trottinette : la glisse impériale au-dessus du socle commun Tribune. Tout au long des années 2010, l’industrie du numérique aura su user avec brio d’une arme implacable : la politique du fait accompli. Deux facteurs y ont concouru. D’abord, la conviction que de nouveaux systèmes techniques – principalement fondés sur le traitement en temps réel de données et la mise en relation entre personnes –, permettaient de donner corps à toutes sortes d’initiatives supposées vertueuses. Ensuite, la généralisation d’une doxa selon laquelle cet environnement économique incarne le sens de l’histoire, et qu’à ce titre rien ne doit lui résister. Au cours de cette période, les responsables politiques, fatalement soumis à une autre temporalité imposée par l’examen, la contradiction, la délibération, ont éprouvé une fascination croissante pour cet univers entrepreneurial peuplé de jeunes gens faisant preuve d’une continuelle «agilité» et prétendant avec foi vouloir «faire du monde un endroit meilleur». Comme s’il était, consciemment ou inconsciemment, entendu qu’ils se trouvent dans des dispositions plus favorables pour assurer une meilleure prise en charge de nombreux pans de nos affaires individuelles et collectives. C’est ce composé singulier qui a, par exemple, permis la rapide expansion des sociétés Uber ou Airbnb qui ont bousculé, sans rencontrer de contrainte préalable, les secteurs du taxi et de l’hôtellerie parmi d’autres. Fluide et véloce ? Depuis peu, un dispositif censé offrir un mode de déplacement fluide et véloce a envahi les métropoles de la planète : la trottinette électrique. Il ne relève pas du hasard que son industrialisation émane majoritairement de start-up de la Silicon Valley ; son esprit renvoyant au surf californien, à l’imaginaire de la glisse, à l’affranchissement individuel éprouvé en solitaire sur les vagues revigorantes de l’océan. Dans des villes toujours plus congestionnées, il est admis que tout ce qui paraîtra léger et souple offrira une formule particulièrement adéquate. Sauf que les espaces urbains ne sont pas des mers lisses mais des lieux striés faits d’une myriade de corps, de pléthore de contraintes, de règles écrites ou tacites déterminant leur viabilité. C’est alors que s’est vite confirmé l’inévitable hiatus entre la représentation fantasmatique et la cruauté de réel. La rapide multiplication de l’instrument a entraîné quantité de conséquences auxquelles les riverains, assez ahuris, ont assisté jour après jour. On a vu les usagers s’emparer des trottoirs, privilégiant leurs trajectoires au détriment de celles des piétions, allant jusqu’à causer des chocs et des blessures sur les personnes. Mais que diable, dans cette ère du nomadisme digital, les promeneurs, qui appartiennent au monde d’avant, n’ont qu’à bien se tenir. Des incivilités de toutes sortes se sont succédé, particulièrement le stationnement sauvage témoignant d’une indifférence patente à l’égard des éventuelles gênes occasionnées. Une prédominance de la loi de chacun sur le cadre commun semblait d’un coup et manifestement prévaloir. Des corps dressés, comme posés sur un piédestal ambulant et regardant droit devant eux, cheminent de façon impérieuse. Le phénomène irait jusqu’à incarner l’époque, qui ne serait pas tant celle des «fake news» que celle de voir dorénavant la vérité à partir de soi, de ses propres tropismes. Historiquement, et jusqu’à aujourd’hui, la bicyclette, qui emprunte d’ordinaire les rues et parfois les trottoirs, n’incite pas à ces manières, car elle relève d’un esprit alternatif. La trottinette électrique, elle, dans sa configuration générale actuelle, procède implicitement d’une négation de toute autre modalité, elle relève d’un ordre substitutif. Non pas à cause de l’appareil en soi, mais parce que son accueil n’a pas fait l’objet d’une préparation en amont. A cet effet, les élus auraient dû, avant toute chose, engager une concertation, des études de faisabilité et d’impact. Les municipalités ont fait preuve d’une irresponsabilité coupable de n’avoir pas organisé au préalable les voies de circulation et de dépôt, défini des cadres, voire imposé aux utilisateurs une obligation de formation. Alors, devant le flot de mécontentements, voyant des personnes aller jusqu’à saccager le matériel, il a été décidé, dans la panique, de verbaliser l’emprunt des trottoirs. Certains souhaitent brider la vitesse. Jean-Louis Missika, maire adjoint de la Ville de Paris chargé de l’urbanisme et fervent adepte de la startupisation de la capitale, annonce vouloir limiter à trois le nombre des opérateurs. Mais faut-il être obtus pour ne pas saisir qu’aucune de ces parades de fortune ne représenterait une solution viable ? Car en réalité, le bon sens appelle de constater qu’il n’existe que deux alternatives : soit l’interdiction pure et simple, comme à Barcelone par exemple, soit la réalisation d’infrastructures dédiées, mais coûteuses et longues à mettre en place. Toute autre option ressortirait de la poudre aux yeux et du renoncement. Une mobilité «douce» au lithium Pour se donner bonne conscience, certains élus «écologiques» arguent d’une «mobilité douce», quand d’autres affirment sans gêne que «les trottinettes, c’est d’abord un progrès, un mode de locomotion propre et sans bruit» (Thomas Lauret, élu LREM de Paris). A l’opposé de cette grotesque novlangue «verdâtro-libérale», est-il besoin de rappeler que la trottinette exige, pour ses batteries, d’intensifier l’extraction du lithium et va, en outre, entraîner la mise au rebut régulière de contingents de lots ? C’est encore être aveugle à l’extension silencieuse de conditions de travail dégradantes, voyant des journaliers assurer le transfert simultané de plusieurs engins de façon empirique et périlleuse. Il serait temps de saisir que les effets pernicieux de l’innovation numérique, ce ne sont pas tant des menaces sur notre vie privée – souci limité à sa seule personne, tellement à l’image de notre temps –, mais les conditions d’existence en commun, dont l’intégrité se trouve bafouée au nom des impératifs supérieurs d’une marchandisation à tous crins et d’un utilitarisme toujours plus généralisé. Vu la démission indigne des politiques, il nous revient de faire œuvre d’une politique du quotidien, de défendre sans relâche la sauvegarde des modes de vie et des principes auxquels nous tenons. Une libre et paisible promenade au milieu de ses semblables par exemple, qui, même si elle revêt le tort de ne générer aucun cycle de rotation du capital, représente un de ces rares moments où l’on éprouve le réel avec toute la richesse de sa sensibilité et où au hasard d’un regard bienveillant ou d’un geste de politesse inopiné, l’on se dit que quelque chose comme une société continue peut-être d’exister.