Olbom

Je trouve que cette inflation batterie / poids est un non sens ... La roue va peser un âne mort, pour une autonomie dont je n'aurai jamais besoin. J'ai réussi à ajouter, grâce aux compétences de mon pote @Erwanrcx, une prise externe (XT60) à ma brave MS2, et d'y brancher de temps en temps 2 packs 340wh. Ceci fait monter mon autonomie à un peu plus de 65km quand je veux faire un long ride ... Et ce n'est pas souvent ! Pourquoi donc transporter en permanence 20kg de batteries pour un engin qui va le plus souvent faire 20km aller/retour entre deux charges ? Les fabricants de roues feraient mieux de réfléchir à un système de batteries externes, que l'on porte dans le sac à dos, et que l'on branche en fonction du besoin, que l'on se prête entre wheelers ... 32kg (poids probable de ce monstre de 3200wh), c'est quasiment trois fois le poids d'un vélo !

D'après mes souvenirs (car je n'ai toujours pas fait le pas de l'achat), la poignée du trolley suit la courbe de la coque, qui est en V au dessus. Comme conséquence, la "pointe" sur le dessus n'est pas très agréable dans la paume, contrairement aux trolleys (bien plus moches car "rapportés") à la poignée rectiligne ... Mais bon, c'est un détail, la MSX est faite pour rouler, pas pour se comporter comme une valise d'aéroport !

Bonsoir, demain vers 12H05 sur France 3 Paris, un reportage sur la trottinette en ville (Dans et autour de Paris donc ...) :

Pas aussi négatif : un expert a bien précisé que les utilisateurs de NVEI recherchaient l'optimisation de leurs déplacements en multimodalité, soit un complément au train, bagnole, de chez soi au travail. Utilité avant le plaisir ... Mais il est clair que les NVEI vont être éjectés des trottoirs, tout comme les scooters et motos stationnées. Ce qui n'est qu'un retour a une saine logique: le trottoir est et doit rester un sanctuaire pour les piétons.

Mon résumé (France Inter) : Ce qui se prépare : Tous les NVEI n'ont rien à faire sur les trottoirs (sanctuaire pietons), ils devront rejoindre les pistes cyclables et la rue / route, avec protections obligatoires : Casque et gilet jaune. Pointe également le risque de voir les plus puissants véhicules (Trotts, roues ?) interdits s'il n'est pas possible de les immatriculer (témoignage d'un vélo "à carte grise" car plus de 250w). Verbalisation plus énergique (fait par qui ?) des comportements à risque et des infractions ... (absence de l'uniforme ci-dessus ?) mais aussi accentuation du retrait systèmatique de 6 points aux automobilistes qui ne respectent pas les passages piétons. J'applaudis à deux mains à cette dernière mesure, marre d'engueuler les blaireaux (rottes, n'oublions personne !) qui me refusent le passage. Un bon point : Témoignage d'un expert, résultant d'une enquête des utilisateurs de trotts et de roue qui confirme que les utilisateurs de NVEI apprécient surtout la multimodalité, soit rejoindre une gare, son domicile, son travail avec un engin facile à monter dans un train ou un bus.

Ce soir, vers 19h15 sur France Inter, peut-être plus d'infos ? ? Piéton, vélo, auto, scooter, bus, trottinette, gyropode, mono-roue.., comment partager la voie publique ?

Mon avis sur ce blouson par rapport à mon "Vented". J'ai choisi un blouson très aéré (d'été). Le tissu est en fait un maillage synthétique, pour pouvoir le porter sans étouffer par beau temps, celui idéal pour faire de la roue ... Ce blouson est imperméable !

@pif s'est explosé la clavicule "façon puzzle" (mais il aime beaucoup Audiard ...) et je l'appelle maintenant "Titanium Man" ... Il compte remonter sur sa roue ces jours-ci, son médecin l'y autorise et veut même s'y mettre aussi ...? Je comprends que pour toi, @loph, pas de chirurgie, dame nature répare seule ?

Bon rétablissement @loph. Le blouson moto léger est un très bon investissement. J'approche les 10 000 km, et j'ai pris vraiment pas mal de gamelles avec mon très très vieux Furygan Falcon Vented Evo, et ses protections dorsales, coudes et épaules qui répartissent les ondes de choc sur une plus grande surface. Il y a 4 jours, encore un superbe vol plané (la roue à environ 15km/h) après qu'une pédale a accroché une pierre invisible pour moi. Le sac a dos a aussi été salutaire dans ce cas précis. Mais, encore mieux protégé sans doute (blouson de meilleure qualité), mon pote @pif s'est pourtant méchamment explosé la clavicule très récemment, en chutant latéralement de moto, celle-ci pourtant encore immobile. Tout dépend des circonstances de la chute bien sûr. Je frémis encore et toujours quand je vois des wheelers ou des trotteurs "naked" (en chemise en pantalons, sans casques ni protections), à des allures déjà très soutenues ... Pensent-ils échapper à la gravité ?

Tout comme @psychoplack, j'ai appris seul en bien plus longtemps ... Et durement ! En étant aidé dans les premiers tours de roue, tout est plus simple et plus rapide, et les chutes (toujours bien protégé) sont très rares. Il faut simplement être patient et opiniâtre. Le plus spectaculaire a été la reprise de l'apprentissage de la roue, après 15 jours d'arrêt pour cause de vacances. Mon niveau était instantanément bien meilleur, très proche de l'autonomie.

Vous avez fait 2 fois 2h d''efforts (soit 240mn en tout, en fractionnant les séances dans chaque journée si j'ai bien compris), mes élèves ont fait 3x20mn (60mn en tout) d'efforts (avec une ou plusieurs nuits entre chaque séance) pour devenir autonome ... Quelle méthode vous parait la plus efficace ? ? J'ai simplement remarqué que persister plus de 20mn n'apporte que des crispations, une fatigue générale amenant des chutes, sans aucun bénéfice immédiat.

J'ai fait plus de 30km, moi en roue et deux vélos (sans assistance), de 11h15 à 17h00, partant de Sèvres (parking voiture) jusqu'à la bibliothèque François Mitterrand et retour. Quelques très bons moments, circulant dans des rues vides, sans bruit, avec juste des vélos, des piétons souriants, des terrasses déjà occupées. En particulier tout au début, dans les nouveaux quartiers de Boulogne Billancourt, qui font face à l'ile Seguin. Puis sur et autour des champs Elysées. Concorde puis le Marais, ou nous avons suivi une horde (très sympathique au demeurant) de skateboarders qui venaient de l'Opéra. Et bien sûr les quais rive gauche, avec leurs aménagements de plus en plus sympas, jusqu'à la tour Eiffel. Pour le reste, je partage le constat : Encore beaucoup trop de bagnoles pour une "journée sans voiture", en particulier beaucoup de VTC et de taxis, de bus, sans oublier les parisiens probablement richissimes (au volant de leur puissante berline), qui s'en foutent et qui continuent de rouler à tombeau ouvert. Pas vu une seule interpellation, peut-être parce que ce sont aussi des électeurs en puissance pour la Mairie de Paris ... Le centre de Paris, comparé au centre de Strasbourg (essentiellement piétonnier, avec son tram silencieux), fait vraiment pâle figure ... Ses couloirs de bus, ou les vélos peuvent soit-disant rouler, sont juste une fine plaisanterie. Certaines artères, comme par exemple le Boulevard Haussmann, sont incroyablement bruyantes en temps normal : 2 fois 3 voies, avec voitures, camions, bus, motos, scooters dans les deux sens ...

3200wh, 3 200 €, 32 000 g (32kg) ? ?

Bonjour à vous deux, et bienvenue sur le forum. @Siouxsy: On ne va pas parler de connerie, mais juste d'un excès d'enthousiasme qui t'a fait souffrir pour rien ... Ma méthode d'apprentissage repose sur 3 séances de 20mn maximum pour que le wheeler accède à une certaine autonomie, avec un minimum de stress et sans chute pour mes élèves. Il faut prendre le temps de "programmer" son cervelet, qui abrite notre centre de l'équilibre, donc lui donner sans le brusquer les informations dont il a besoin pour assimiler les paramètres du nouvel équilibre que vous lui imposez. Rien ne sert de forcer comme une brute dans les premiers instants et se faire mal. Tous les skieurs commencent sur des vertes, et pas des noires, et fatiguent vite au début. Tout est intégré dans la nuit, et par la suite les progrès sont constants, voire spectaculaires. Ensuite, il faut rester toujours protégé, car l'apprentissage continue pendant plusieurs centaines de km, notamment pour apprendre à gérer les multiples pièges du relief goudronné ou caillouteux que l'on parcoure sans aucune envie d'arrêter.

Oui ... Dommage vraiment, surtout que je suis plongeur et que votre belle ville a la chance d'avoir des sites de plongées remarquables, surtout vers la pointe rouge et Cassis ... Bon apprentissage à Romain, et le père ne devrait pas tarder non plus ! ?

Pas étonnant que Romain s'intéresse à la roue. Je n'arrête pas d'entendre des "whouaa" enthousiasmés de la part de gamins quand je passe à coté d'eux. Si les roues étaient mieux marketées et moins chères, elles deviendraient l'engin favori de nos enfants ! Pour la sangle, j'ai un gros doute et je ne l'ai jamais utilisé. Il me semble que l'on a envie de se raccrocher à elle, surtout au début, ce qui ne provoque qu'un effort inutile, la mobilisation inutile d'un bras (ou les deux), d'ou un déséquilibre supplémentaire. Les bras sont grandement utilisés au début pour compenser les déséquilibres du corps dans cette recherche d'un nouvel équilibre. J'enseigne et je montre dès le début à mes élèves (mais je sais en faire, donc je peux leur montrer "en vrai" ...) à bien descendre d'une roue, avant même qu'ils sachent tenir dessus ! La méthode : Une fois juché sur la roue immobile, l'élève bien droit prend son élan pour sauter des pédales vers l'arrière, en se baissant pour, simultanément, attraper la poignée et retenir la roue ... Cela fonctionne très bien, s'apprend vite et cela rassure l'élève, qui a appris au moins une méthode pour "descendre" de l'engin et retenir sa précieuse roue. My 2 cents ...

Bonjour Eric. peut-être peux-tu assurer toi-même les premiers tours de roue de Romain. Tout comme pour le vélo, ou j'ai appris à ma fille à en faire en la soutenant simplement sous les aisselles avec une bête écharpe (elle était encore petite et légère !), la roue demande à son pilote une période de "programmation" de son centre de l'équilibre. A son age, cela devrait aller assez vite. Les conseils : Un endroit dégagé, genre parking désert, bien horizontal. L''idéal est d'avoir une main courante le long d'un mur. Prévoir au moins 3 séances de 20mn à 1/2h grand maximum, espacée d'une ou plusieurs nuits. Le cerveau travaille dur la nuit, et intègre tout ce qu'il aura ressenti. Protéger l'enfant : Protège-poignets, casque de vélo, blouson cuir ou un peu épais. Toute première séance : Lui donner une main ferme (son point d'appui) pour qu'il puisse monter sur la roue. Il reste bien droit, regarde loin devant lui. Lui proposer de se pencher un tout petit peu vers l'avant puis de se redresser tout de suite. La roue avance pour "rattraper" le déséquilibre et stoppe, voire repart en arrière suivant comment Romain s'est redressé. Répéter cela à l'envie, l'accompagner sans lui lâcher la main pour assurer sa stabilité latérale. Faire tout cela très tranquillement sans aucune vitesse ni précipitation. Lui doit acquérir des sensations. Essayer les virages toujours en le tenant. Ne pas le lâcher pendant cette première séance. Deuxième séance : On répète tout cela et, c'est curieux mais Romain appuiera de moins en moins souvent sur la main de son père. La vitesse augmente, les distances aussi, au père de suivre en courant ! (Short et baskets recommandées pour le père) Troisième séance : Ne plus proposer que le bras, lui permettant de le lâcher temporairement pour sentir le complet équilibre. Logiquement, il doit faire des longueurs seul, voire tenter des virages. Cependant, travailler des cercles concentriques en lui donnant toujours le bras pour éviter les chutes et lui donner un peu d'expérience. Les virages sont toujours plus délicats à acquérir, avec un coté qui résiste plus que l'autre ... On a tous connu cela ! Bon apprentissage, et bons rides à Romain !

Bonjour @Komate, la description de ton profil me fait dire que tu peux sans souci lâcher ton vieux Xantia (tu as d'autres engins à disposition, dont un vélo électrique, bravo !). Avec les économies faites (90€ de gasoil par mois et 600€ d'assurance), tu peux investir dans une roue au diamètre supérieur et avec une plus grosse batterie, pour aborder sans crainte les chemins de traverse et les longs rides ! Les batteries vont perdre 20% environ de leur charge quand il fera froid, mais la roue fonctionne toujours normalement. Je déconseille son utilisation par verglas ou neige, mais je connais des copains qui ont même roulés dans ces conditions.

Je vous propose de découvrir la gamme de vélos électriques RayVolt Bike, Espagnole basée à Barcelone. Je les trouve magnifiques, avec leur look vintage tout à fait dans l'air du temps. https://www.rayvoltbike.com/ Présentation vidéo On voit bien que la marque s'oriente vers la fabrication, en plus des vélos électriques (avec des pédales et un arrêt de l'assistance au dela de 25km/h pour rester dans la norme), de "vélomoteurs", comme j'en ai chevauché tant dans mon jeune age (Peugeot 104, 106, la Mobylette, la "bleue" ...) Ces engins avaient pour eux une finesse et une légèreté que les scoots actuels ont largement perdus. Le plus emblématique étant le VéloSolex, un vélo un peu gras affublé d'un moteur thermique au dessus de la roue avant, qui transmettait son énergie via un "galet" directement sur le pneu. Cette machine singulière, malgré ses très modestes performances, a régné pendant de très nombreuses années (de 1946 à 1988) dans la population des lycéens et jeunes étudiants, voir des citadins pour des trajets rapides et peu chers. Sa simplicité d'utilisation et sa faible puissance le rendait très attrayant pour toute une population sans aucun attrait pour la puissance et la vitesse, notamment la gente féminine. Ou je veux en venir : La propulsion électrique change totalement la donne : De tout petits moteurs sont capables de propulser 120kg à plus de 25km/h dans la ville, à l'aide de batteries maintenant fiables et suffisamment denses en énergie pour rester compactes ... Tout est maintenant là pour repenser totalement le 2 roues électrique. Le marché doit logiquement s'orienter à terme ver l'abandon des 2 roues les plus puissants, pesant plus de 260kg qui consomment en essence l'équivalent d'une berline, proposant à leur pilote des vitesses illégales et mortelles, mais dans un bruit parfois infernal (Ah, les Harley et les pots libres ...) subissant des vibrations permanentes, payant des coûts de maintenance supérieurs à l'automobile ... Alors qu'une moto électrique (Mon Zero FXS en est la preuve flagrante) peut peser moitié moins, être d'une finesse exemplaire, et offrir des performances équivalentes ou supérieures (Les modèles Haut de gamme de Zero et d'autres fournisseurs), sans le bruit et les vibrations, bien plus économiques au roulage, sans parler de leur entretien quasiment nul ... Bien entendu, on va m'opposer les deux argument encore valables : "Et l'autonomie ? Le temps de recharge ?". Les études montrent que le trajet quotidien moyen d'une citadine est de 35km ... et je connais des voisins qui ont 2 petites citadines (dont une ZOE) pour leurs trajets quotidiens interurbains, et qui louent 1 à 2 fois par an la berline des vacances ... Qui roulent donc "confort" et pour beaucoup moins chers. On rigole quand on voit le PRK hallucinant des énormes SUV qui fleurissent dans nos villes, qui ne sont donc là que pour flatter l'égo un peu surdimensionné de leurs propriétaires ... Place donc aux nouveaux 2 roues urbains : Ces nouveaux " vélomoteurs" seraient idéalement très légers (à peine plus lourd qu'un vélo électrique actuel), limités à 45km/h comme depuis toujours, immatriculés, correctement équipés (on peut faire un véhicule confortable sans enfler démesurément ses dimensions, comme pour beaucoup de scooters actuels, qui doivent cependant abriter et cacher un énorme moteur thermique), pourquoi pas en libre-service pour certains. Nul doute que même les "motards aguerris" en feraient l'essai et l'adopteraient pour les petits déplacement urbains. Leur production de masse feraient notablement baisser les prix, pour permettre à tout un chacun d'en posséder ou en louer un. Il serait étonnant que les Chinois ne préparent pas aussi quelque chose dans ce style, car ils sont en pointe dans la migration électrique du déplacement urbain.

L'algorithme coupe tout quand l'appel de courant risque de faire descendre sous le seuil critique le voltage des modules. Il prévient (quand c'est temporellement possible) par des alarmes et autres tilt-back. Un appel de courant trop brusque (un démarrage) : coupure immédiate sans alerte. Au pilote de savoir où il en est !

Quand on teste l'autonomie d'une roue, il faut garder à l'esprit que l'algorithme de la carte-mère doit nécessairement conserver dans les batteries l'énergie suffisante pour assurer à chaque instant l'horizontalité des pédales. La roue n'avancera plus, mais conservera le pilote sur les pédales, ce qui me va bien ! Sur une "petite" batterie, cette énergie sera peut-être 20-25% de la capacité totale, et sur de très grosses capacités probablement une fraction bien moindre. Cette énergie en réserve est complétée par la fraction destinée à maintenir l'intégrité des batteries. Une batterie totalement vide explose ! C'est certainement frustrant de devoir descendre de sa roue alors qu'il reste 20% de batterie, mais le fonctionnement de nos engins est à ce prix. D'ou le grand intérêt d'avoir des roues avec de grosses capacités, ce qui fait le bonheur des fabricants de 18650.

Un médecin de mes amis confirme que c'est bien dans le cervelet que se situe le centre de l'équilibre. Après, on peut être plus précis, mais on trouve alors cela sur le net ... "Très schématiquement, on peut donc dire que, l'archéocervelet intervient sur les mécanismes réflexes du redressement et de l'équilibration, le paléocervelet contrôle la motilité axiale et la motilité d'attitude et le néocervelet règle le déroulement du mouvement propositionnel. " C'est nettement plus clair, n'est ce pas ? ?

Il faut bien comprendre et retenir que l'apprentissage de la roue ne se fait JAMAIS en une seule séance. Comme pour tous les sports qui réclament un NOUVEL EQUILIBRE (rollers, patins à glace, skis, skateboard), on impose à son centre de l'équilibre une nouvelle position, de nouvelles sensations qu'il ne peut maîtriser immédiatement. J'ai formé plusieurs personnes, et 3 séances de 20mn à peine suffisent pour que l'élève commence à faire des longueurs seul, et aucun n'est jamais tombé . Je les tiens par la main une bonne partie du temps, courant à coté d'eux pour qu'ils accumulent des sensations. Celles-ci sont "travaillées" par notre cervelet, notamment pendant notre sommeil, pour nous permettre à la séance suivante une progression toujours surprenante. Donc, lâcher le morceau après une seule séance d'essai est vraiment dommage. Essayer pendant 2h en une seule séance ne sert à rien, sinon à se faire mal et à se décourager.

Bonsoir @ykone. Ou se trouve la roue ? Pour savoir dans quelle région une récupération en main propre est possible ...

Bienvenue @PLCG. Une roue d'occasion est idéale, d'un diamètre minimum de 16 pouces avec une capacité batterie suffisante. Contrairement a ce qu'on pense, un plus grand diamètre n'est pas un handicap pour l'apprentissage (j'ai formé 5 personnes sur 18 pouces), et on garde sa 1ere roue un peu plus longtemps.