Daniela 1789

Ah, je suis contente pour toi ! - 48 km ! C'est vraiment une grande promenade (et tu as une bonne batterie). En moyenne, je me contente de la moitié pour mes sorties. D'ailleurs, à moins de repasser aux mêmes endroits plusieurs fois, je ne trouverais pas un parcours aussi long. Je suis entourée de montagnes, et cernée par l'autovia del Mediterraneo. Si patiner ne m’éreinte pas, je suis cependant tout en sueur car le soleil tape dur, même quand il ne fait pas très chaud. Normal, ici c'est chez lui : Costa del Sol. J'attends de voyager avec impatience et me suis réservé quelques jours de balade en juillet en attendant l'année prochaine, afin d'aller voir de près une curiosité. Promis, je posterai des photos.

Des photos, oui, oui. Et je vais essayer des videos en roulant, si ça ne tremble pas trop. J'ai une mini camera sur harnais mais je ne sais pas l'utiliser. Mais bon, j'ai un an pour apprendre. A... bientôt ! 😎

Ah, merci. C'était simple, mais tout juste un an de silence, a priori, je ne l'avais pas imaginé. Bonne journée.

Bonjour, Merci. Je vais essayer les manips pour comprendre comment tout marche (roule) ici. Mais à dire vrai, si j'ai été surprise, ce rappel ne m'a pas dérangée, au contraire. Communiquer avec des gens qui partagent le plaisir que j'éprouve en roulant, c'est agréable, non ? Bouh ! Je perçois dans tes mots une grosse boule, là, un peu lourde sur le cœur. Courage ! C'est vrai, avec les années qui défilent, on a de plus en plus de bobos par-ci, de petites ou grandes douleurs par-là, et moins de résistance face aux mille contrariétés. Je passe par là aussi, et n'ai même plus de bonnes nuits de sommeil pour m'évader de tout ça. Mais un jour je me suis dit : Zut ! Je n'ai plus d'obligations, et puisque cataloguée "retraitée" on ne compte plus sur moi, moi qui ne suis pas impotente, je n'ai besoin de personne et je vais penser à moi, à me faire plaisir. Ah, je ne peux plus longuement marcher comme j'aimais ? Eh bien : Stop à l'habitude que que je prenais de m'installer longuement à l'ombre pour lire, repérant même des lieux pour le faire. Je veux bouger ! N'importe qui penserait alors : bicyclette. Mais impossible pour moi. J'habite en montagne et il me faut descendre une dizaine de kms avant de trouver une route praticable sans les efforts d'un coureur pro. Et malheureusement un vélo ne rentrerait pas dans ma voiture. Alors ? Patinette ? A plus de 70 ans ? J'ai osé. D'abord sans moteur. Puis, mon équilibre plus assuré, avec moteur. Et plus tard encore, en ayant constaté les inconvénients, un modèle aux roues quasi increvables, et surtout avec une batterie amovible interchangeable. Plus de crevaison, ni plus de panne grâce à la seconde batterie dans mon sac à dos. Et recharge discrète n'importe où. Plus besoin d'approcher l'engin près d'une prise (Idéal en voyage). C'est vrai, tout autour de nous, et partout, même loin : de la grogne, de la misère, de la souffrance, de l'horreur. Mais on est vivant encore, et fort si on le veut. Courage Christian. Vive la liberté ! Vive notre liberté sur deux roues ! Tu vas la retrouver les jours prochains, c'est sûr ! En attendant, bonne journée !

Coucou ! Je ne comprends pas pourquoi ce post est revenu se faire voir dans mes messages d'hier, presque jour pour jour après un an d'absence ici. Peut-être y a-t-il une sorte de rappel, après une année du dernier post inséré ici ? Mais peu importe. Je reconnais que j'avais oublié mes quelques passages parmi vous. Mais en lisant le : " Je me sens un peu seul..." j'ai accouru pour te donner un petit bonjour à toi, Christian, et à toutes et tous amateurs de une ou deux roues. Après mon "road trip" européen annulé en 2020, et 2021, et 2022, j'étais un peu découragée par la frustration. Mais 2023 : l'énergie est de retour ! Je viens de recouvrer du poil de la bête ! Alors OK pour 2024 ! Compte tenu du climat politique et sanitaire international, j'ai modifié mon parcours. Et puis j'ai changé le but à atteindre (qui était Hambourg : la visite de l'exposition permanente du plus grand réseau ferré miniature), pour un autre, quasi aussi loin : la floraison des grands champs de tulipes et autres fleurs, aux Pays-Bas, au sud d'Amsterdam. Loin, parce que j'habite à l'extrême sud-ouest de l'Europe, près de Malaga. Ça fait une trotte ..inette. Mon engin sera sur le siège arrière de ma petite auto, et je compte bien l'utiliser pour les balades et les visites notamment citadines, non seulement pour ne pas avoir à trop marcher (j'étais une randonneuse, mais... au siècle dernier) et aussi parce que j'ai la hantise du stationnement, surtout dans des villes étrangères où il est annoncé difficile et coûteux. Concernant les patinettes, dites trottinettes, dites scooters, partout en Europe les règlements se renforcent d'obligations. Non seulement pour la tenue personnelle (bof, moi je surpasse en permanence les possibilités de protections), mais aussi pour l'équipement de l'engin, l'assurance, l'homologation de l'engin, vitesse maxi, vignette, immatriculation (mais oui). Je dois donc penser et aux diverses obligations de circulation pour l'auto, et aussi pour ma trottinette. Ah oui, un long voyage ça se prépare ! Alors si tout va bien, départ, toute seule comme une grande, en avril prochain : E +F +L +D +NL +B +F +E +P +E et maison. Deux mois et des kilomètres de fleurs pour fêter mes 80 printemps ! (Hum... Suis-je la doyenne ici ?) Je n'ai qu'un souci, c'est la météo. Pour arriver au moment de la floraison qui ne dure que peu de temps, il me faudra partir au début du printemps, ce qui n'est pas le meilleur temps, tout là-haut, alors que je suis habituée au climat méditerranéen de l'Andalousie. Le froid n'est pas un souci, ici les hivers sont devenus parfois très froids et venteux aussi, et j'ai ce qu'il faut pour rouler confortablement (vive le casque à visière). Mais je redoute la pluie qui signifiera : Glissade et boue = Pas de patinette. Cette année 2023 : Brrr, gla, gla, gla ! Mais les années ne se ressemblent pas, alors je croise les doigts ! Salutations ensoleillées ! (25º à l'ombre... Tralala !)

Croisé hier... "Planète des singes", version 2022 !

Mais oui, j'ai maintenant un avatar ! (Avec du rose, bien sût...) Où l'on voit que j'ai customisé mon engin chéri ! 🤣

Désolée, ce n'est pas MADE IN FRANCE. Pas à Málaga non plus, mais plus haut, dans la région d'Alicante. C'était le mois dernier, pendant un petit déplacement. Je précise que j'ai eu de la chance. En raison de la rare fréquentation de ces belles pistes (quel dommage), leur entretien est quelque peu négligé comme le montre l'abondance des fleurs empiétant sur l'une des voies. Ailleurs les haies sont taillées, elles fleurissent aussi, mais c'est moins spectaculaire. Et surtout, et c'est ce qui m'a frappée le plus, il n'y a pas un tel parfum dans l'air ! Mais je suis certaine qu'en Provence ou autre côte méditerranéenne, il doit y avoir des petites cousines. Mais peut-être les pistes françaises sont-elles moins bien aménagées ? Car l'avantage, c'est de rouler sur du velours...

Ici, les associations cyclistes ont obtenu des tas de beaux panneaux qui informent que telle route est particulièrement fréquentée par les vélos et donc distance (en chiffres) à respecter, avec une répression lourde pour les chauffards, et pour cela des rondes fréquentes motorisées ; et de très nombreuses voies urbaines signalées par des panneaux donnant la priorité aux vélos ET patinettes (les deux joliment dessinés pour les conducteurs analphabètes) où les voitures peuvent toujours circuler, mais sans dépasser 30 km/h, même sans deux roues sur la voie. Au début, bof... ça ne servait quasiment à rien. Puis suite aux plaintes, des potences-radar-flash ont été placées, et les nombreux PV salés sont arrivés par la poste... Ça a fait la Une des infos TV ... Le temps a passé, et pour la grande majorité des conducteurs - qui ne sont quand même pas tous des malades - c'est entré dans le quotidien, bien plus vite que ne l'avait été le port de la ceinture. Ce n'est pas d'être "appliqué" qui est important, mais d'être "sanctionné" ! Là où ça fait mal : dans le porte-monnaie ! C'est malheureux, mais l'homme "civilisé" est comme ça. Et dans un "certain pays" où les gens, jamais contents, par principe ne veulent faire que ce qu'ils veulent... ceux, en minorité, qui veulent bien se comporter, sont malheureux...

Ah, mais c'est vrai ça ! Ma féminité naturelle n'y a pas pensé, mais peut-être est-ce là la clé qui ouvre le paradis des patineurs sur route ! L'effet magique du rose bonbon sur les super machos au volant ! 😇

Il est vrai que j'hésiterais à revenir fréquenter Paris et ses environs. A mon dernier passage, en voiture, j'ai trouvé les gens plutôt très mal lunés et pas vraiment respectueux en bien des points ! Alors en patinette, ça ne doit pas être très rassurant. Est-ce le soleil méditerranéen ? Ici, un peu comme chez les Provençaux, on répond à votre sourire, à votre salut, simplement par amabilité. Alors qu'en France, dire simplement bonjour ou faire un signe aimable en passant près de quelqu'un d'inconnu, vous vaut le silence d'un regard qui dit : "Qu'est-ce qu'elle veut celle-là ? " Il y a des malappris, des teigneuses, des pauv'types comme partout ailleurs, mais même dans ma situation (relative) d'étrangère, je n'ai pas eu à m'en plaindre et plutôt à m'en réjouir après avoir aussi connu auparavant quelques années en France profonde. Je pensais trouver ici des fous du volant un peu comme en Italie, mais non, en ville, même aux heures d'affluence, les gens supportent sans montrer le besoin d'assommer leurs voisins. Alors courage ! (au beau pays des grèves...) - Au fait, la législation française est-elle aussi 1,50m d'espace à laisser pour dépasser un 2 roues ? Et la libre circulation de deux cyclistes de front s'ils atteignent 35Km/h ?

Bonjour, toutes et tous, Des pistes, j'en cherche de belles, et j'en trouve souvent. Mais celle-ci, des tronçons de plusieurs kilomètres bordés d'une immense haie de lauriers de toutes couleurs qui embaument, je l'ai trouvée par hasard. Heureux hasard... Un paradis, et pour moi toute seule. Qui dit mieux ?

Bien sûr, la différence de protection entre les deux véhicules est une évidence. Mais avoir imaginé rouler en ayant en tête (et sur la tête !) une intention de délation, ce n'est pas de la sécurité, puisque ça n'empêcherait pas un accrochage, mais de l'agressivité déclarée ! Avec cet esprit on n'en finirait plus : Deux roues contre quatre, voiture contre poids lourds, poids lourd contre avion (ce serait plus rare.) Il y a déjà des radars mobiles et fixes, des autos et de nouvelles motos de la Police ultra informatisées. A chacun son boulot et les vaches seront bien gardées !

Et j'ajoute que l'agressivité des cyclistes va même loin. De plus en plus, il y en a avec une petite camera fixée sur leur casque. Ils filment les autos qui les frôlent de trop près et avec l'immatriculation les dénoncent ! Pour l'instant pas de sanction, mais un avertissement à l'automobiliste.

Bonjour Troti25 Les cyclistes leur rendent bien, et très souvent, ici. En bord de mer de très nombreuses routes sont voie unique en dépassement non autorisé par ligne jaune. Avec la loi permettant deux cyclistes de rouler de front, ils bloquent parfois la circulation sur parfois des kilomètres en bavardant tranquillement tout en roulant ! Et rien à faire pour qu'ils fassent un petit effort en se séparant un instant. Gare à l'impatient conducteur qui osera passer la ligne, la surveillance est quasi permanente et lui coûtera cher. S'il y a de plus en plus de pistes cyclables, les rouleurs en maillot de Tour de France ou de Navarre estiment : "Peuh... pas pour nous !" Alors la guerre a ses deux adversaires, hélas.

Bonjour Christian, 😀 Hélas, tu n'as pas tort, je l'avais constaté aussi, mais... cela c'était AVANT de porter mon casque à visière pas courant, mes brassards, mes feux fixes à l'avant et à l'arrière, et dans mon dos les signaux de direction. La différence de comportement est remarquable ! Plus de coups de klaxon agacés, ni de dépassements qui me frôlaient tout en accélérant (tu dois reconnaître), ni de regards assassins... On me laisse passer en me faisant un signe de tête, par exemple si je dois traverser une voie et alors que je m'étais arrêtée. On passe au large en me doublant, comme il est devenu obligatoire pour les vélos = 1,50m. J'ai aussi des sourires, ce qui était rarissime avant. Tout cela je le ressens comme si on me disait : " Ah, vous au moins, on vous voit bien, c'est bien ! " Je crois qu'en réalité, puisque je me suis efforcée d'adopter un comportement de conducteur sur la route, les automobilistes se conduisent avec moi comme avec les autres deux roues reconnues : les vélos, et les motos. Et pourtant, je ne roule pas vite, ce qui pourrait être considéré comme une gêne. Et très sincèrement, lorsque je suis au volant de ma voiture, je piaffe en voyant des patineurs ou patineuses sans casque (pas vu pas pris !), quasi invisibles dans le soleil, qui slaloment entre les obstacles, notamment aux feux rouges. Oui, je grogne, alors qu'évidemment j'aime bien les petites roues. En dehors des gilets fluo, obligatoires avec les casques en centre ville (PV 650 €), je n'ai vu qu'une fois un effort pour se faire remarquer : Une jeune fille qui portait un sac dont la large bandoulière devant et derrière était recouverte de tissu fluo. On ne pouvait pas ne pas la remarquer, et... ça m'a fait plaisir !

J'ai parlé de nouvelles protections... Elles vont sûrement vous faire sourire. J'ai débuté il y a environ quatre ans - moins deux ans de covid - je suis tombée trois fois. La première fois c'était lors de ma deuxième ou troisième sortie, encore sans moteur : c'était quasi normal, je tremblais encore dans les virages un peu secs ou quand j'allais croiser un vélo qui prenait beaucoup de place sur les pistes étroites bordées de trottoirs que je fréquentais alors. La seconde fois, ce fut le jour où je suis enfin ressortie après les deux ans d'interruption de covid. Normal aussi. Il me fallait réapprendre l'équilibre et surtout m'habituer à mon dernier engin tout neuf. Je m'étais "emmêlée" dans les vitesses. Mais ensuite, tout s'est mis en place... La troisième chute : l'erreur de n'avoir pas fait assez attention au très sable fin et sec amené par le vent sur une piste bien lisse, dans un virage. Je savais me méfier du sol mouillé par l'arrosage des pelouses qui longent cette piste, mais... il faisait si beau... Et vlan ! Pratiquement rien à l'engin, pas grand mal à la "patinetteuse", mais ce fut quand même désagréable. Oh ! Et si jamais trois sans quatre ? Alors j'ai cherché comment encore mieux me protéger, et surtout ce qui ne l'était pas. C'est fait. Toujours les mêmes chevillières, et les mêmes genouillères mais avec de plus efficaces protections pardessus celles-ci, pour le genou et les côtés de la jambe. Et... pour mon postérieur, une culotte renforcée ! Et pendant que j'y étais, une petite ceinture pour la taille et les lombaires. Ridicule ? Non ! Toutes ces protections sont invisibles sous mon survêtement léger noir, sans me donner l'air d'un bibendum, ni sans me gêner au contraire, je me sens bien maintenue. Malgré mes promenades d'une moyenne de 15 kms (j'ai compté jusqu'à 25 kms (total A-R) quand les lieux valent la peine.) et même parfois sur des parties de sol qui secouent, jamais je n'ai eu la moindre courbature le lendemain. Tra-la-la !

Merci beaucoup d'avoir pris la peine de chercher. J'irai voir. Toutefois, sincèrement, je ne pense pas que mes quelques petits trous bien répartis changent grand chose à la résistance de mon casque rose dont le modèle n'a certainement pas demandé plus d'études que sa forme arrondie, contrairement aux casques plus élaborés que tu sites. Il reste un casque basique, peu coûteux, qui convient à ma petite vitesse, et que je n'hésiterai pas à changer après un choc, ou... l'envie d'une autre couleur.

Bonjour Thierry, J'ai choisi MON engin ! et un top (à mon avis) avec batterie interchangeable. (je m'en suis longuement expliqué dans un message précédent : "Les avantages d'une batterie amovible". c'est une BONGO série A- connectée. Toute contente. Connectée : je peux suivre les distances et faire quelques adaptations. (Pas indispensable mais pratique). Et un plus, un "truc" que j'ai trouvé, compte tenu du vol qui m'était arrivé. Les poignées se dévissent, c'est facile, et un gain de place bien sûr quand elle est pliée. Mais aussi, quand je fais une halte, j'en retire au moins une. Ainsi plus de vol à l'arraché car on ne peut plus la conduire ! Et puis j'ai eu envie d'un nouveau look, notamment de changer de casque. Je porte des lunettes de vue, mais malgré le soleil permanent, je n'ai pas trouvé une bonne protection en patinant. Et pourquoi pas un casque à visière ? Ça existe ? J'ai cherché et trouvé. Ça ressemble à une casque de moto, mais en beaucoup plus léger, et qui ne conviendrait certainement pas aux grandes vitesses. Mais pour moi, c'est parfait. J'ai dû le percer de trous, ici il fait chaud. Si je tombe, il est possible que la visière soit abimée, mais comme j'ai appris qu'après une chute, il faut remplacer le casque par sécurité... J'ai aussi changé de sac à dos, plus grand, montrant une floraison exotique, alors mon casque est rose. Comme je suis tout en noir, c'est très bien. Je me réjouissais de mon nouvel équipement, et surtout ayant longuement préparé (quasi pendant deux ans) un long road-trip européen (auto pour la route, patinette pour les visites) : le bonheur ! Et Vlan ! COVID ! Confinée ! Oh, non ! Fichu mon périple... et ma belle patinette, au rancard... Et ça dure, ça dure... un an, deux ans, trois ans, et encore des problèmes dans divers pays... Alors ça m'a laissé le temps de peaufiner au moins mes futures sorties sur deux roues. D'abord, j'ai adapté ma protège nuque au nouveau casque. Facile, juste un peu de velcro. Puis je me suis procuré un gilet (plutôt un panneau) de signalisation (bouton de fonction sur la poignée) : flèche lumineuse clignotant à gauche, ou à droite, en avant, ou arrêt. Ici le gilet fluo est obligatoire en ville. Alors j'ai ajouté des bandes fluo jaune, coupées dans la longueur du gilet de ma voiture, bien trop long, et j'ai même cousu, dans ce qui restait, deux brassières simplement maintenues sur chaque bras avec une bande élastique. Je l'avais vu sur une veste de motard, et j'avais trouvé cela aussi génial que simple, et qui se voyait de loin dans la largeur. Je ne peux que le recommander à tous ceux qui roulent. J'ai croisé plusieurs policiers, on ne m'a pas arrêtée. Quant à ma signalisation, quelle différence en roulant sur la route (il n'y a pas partout des pistes, et trottoirs interdits) en pouvant signaler aux voitures qui suivent que je vais me décaler parce qu'une voiture est arrêtée en double file, ou si je vais tourner à gauche quand ce n'est pas un rond-point. Dangers particuliers : les conducteurs qui ouvrent leur portière sans regarder, et ceux qui avancent le nez de leur voiture en sortant d'une petite rue sur la droite. J'ai trouvé aussi un feu avant, que je peux allumer en permanence en roulant sans user ma batterie puisqu'il se recharge à part avec une prise USB. J'ai essayé aussi un système de feux à l'avant pour signaler aux voitures d'en face que j'allais tourner à ma gauche, devant eux, mais ce n'est pas satisfaisant. Les piétons sont empoisonnants lorsqu'ils marchent au milieu des pistes, et le son des sonneries fournies sur les engins ne leur dit rien ! Agacée, j'ai donc installé une vraie sonnette de bicyclette que j'actionne sans économie. Ça marche, ils réagissent ! Ah, après une chute - sans gravité - je ne me suis pas assez méfié du sable fin sur une piste dans un virage, j'ai aussi complété ma panoplie de protection. C'est pas triste... mais ce sera pour la prochaine fois.

Bonjour, à toutes et à tous, Bof ! direz-vous en lisant le titre, il n'y a rien de remarquable (surtout ici) à vouloir rouler sur deux petites roues... Et pourtant, parfois si : Quand on est une femme, quand on a atteint et même dépassé sept décades, et surtout quand ce n'était pas encore tout à fait à la mode. Pourquoi cette idée ? Parce que si j'ai été autrefois une randonneuse sans limites, et si j'aime toujours les longues balades, mes articulations ne suivent plus... Aussi, avant de me lancer, j'ai réfléchi aux risques pour mes vieux os. Je me suis procuré des chevillières et des genouillères, destinées à être portées sous les protections classiques. J'ai ajouté des coudières, des protections de poignets, et des baskets hautes. Avec l'intention de m'habiller entièrement en noir pour faire un ensemble discret. Restait le casque. Le premier fut de couleur argent, avec un petit sac à dos assorti. Et je me suis lancée. D'abord, sans moteur. En tremblant un peu au début. puis de mieux en mieux. Mais un coup de soleil sur la nuque - aïe, ça brûle, surtout la nuit - (je vis dans une région très ensoleillée toute l'année) m'a donné l'idée d'une protection comme dan le désert ! Tissu épais noir, fixé par velcro sur le bord intérieur du casque, lesté dans le bas avec des plombs pour rideaux afin qu'il reste bien en place sans s'envoler. Parfait. Et puis, étant plus assurée en roulant et souhaitant de plus longs parcours, j'ai opté pour une à moteur. D'autant plus que j'avais eu deux crevaisons qui m'avaient odieusement handicapée. On m'en a proposé une d'occasion. Je l'ai trouvée un peu dure sur le sol et ai acheté une roue ajourée pour plus de confort. Pauvre de moi ! Avant même de la faire monter, à ma seconde sortie, le temps d'acheter une petite bouteille d'eau que j'avais oubliée de prendre dans mon sac : plus de patinette ! Volée ! Heureusement je n'étais pas trop loin de ma voiture, et j'ai pu rentrer chez moi, furieuse mais sans difficulté. Un signe ? Dois-je m'entêter ? Allons, je ne suis pas superstitieuse. Donc, achat d'un nouveau modèle à moteur après avoir revendu la toute première, pas mal du tout et avec une belle housse sur mesure. (Je la regrette, car avec moteur : interdit dans les avions). La nouvelle, roues increvables cette fois. Et toujours poignées repliables, car je suis obligée de la mettre sur le siège arrière de ma petite voiture parce que j'habite dans un village à flanc de montagne, et, hélas, il m'est impossible de partir de chez moi ni en patinette, ni d'ailleurs en bicyclette, les pentes/côtes étant trop abruptes. D'ailleurs avant la patinette j'avais d'abord penser aux grandes roues d'une petite reine, mais c'était trop lourd et trop encombrant pour mettre dans une voiture. (Et puis on tombe de plus haut !) Mais le modèle ne m'a pas plu. Trop difficile à verrouiller, et je ne sais plus quoi. Revendue. Il me faudra choisir mieux la prochaine fois ! A SUIVRE.

Bonjour Mesdames (je ne dois pas être la seule mère-grand ici, non ? ) et Messieurs, Trottinette ou patinette ? Je préfère patinette. Mais revenons au titre de cet article. Mon engin est le quatrième, et je n'en changerai pas, sauf l'avantage principal dont je me réjouis proposé (en mieux) par une autre marque, à savoir une batterie amovible et interchangeable (et ayant aussi les mêmes autres critères : pliable, poignées escamotables.) Pourquoi ? Parce qu'elle me permet de ne pas être obligée de transporter ma patinette près d'une prise de courant, et de n'emporter que la batterie à charger. Je voyage. Et monter une patinette dans une chambre d'hôtel ? Heu... Même en disposant d'un ascenseur, même si j'ai fabriqué une poignée sur mesure pour la porter plus facilement, c'est lourd, encombrant, et pas discret. Et aussi, pour éviter la panne quand je ne compte pas les kilomètres, ou que les nombreuses côtes me font consommer beaucoup, j'ai sa sœur jumelle, que je porte dans un petit sac à dos dans lequel j'ai aménagé un compartiment spécial pour la caler bien au milieu, car elle est lourde et longue, et un déséquilibre serait désagréable dans mon dos. J'aime mon confort, et ainsi je suis satisfaite. Et comme j'ai la manie de fabriquer des housses de protection pour tout, évidemment chacune a la sienne, renforcée dans le fond pour protéger la partie qui se connecte. Une verte (assortie à la housse de l'engin), et une noire, celle qui sera dans mon sac, avec un capuchon en plus, car elle en sort un petit peu, mais sans gêner. Bien sûr, sans la retirer de son logement, on peut aussi charger normalement la batterie. Cette patinette est une BONGO série A - Connected.

Bonsoir les hommes ! Mais oui, la madame aime toujours les deux petites roues ! Encore que je me remets mal d'une grande frustration. Pendant quasi deux ans, j'avais préparé un très grand tour d'Europe (petite auto et patinette pour les découvertes) départ prévu : mai 2020. Janvier, février... et Vlan ! Covid ! Nooonnn ! 😭 ... Mi-2021, puisque ça va mieux, alors raisonnablement moitié moins de pays, Vaccins OK. Prête ? Et... vlan ! re-covid ! Bon, alors cette année, juste dans le pays, mais coins à "roulades" prévus. Toutefois... j'ai toujours en tête LE voyage. Mais plus que deux ans. Car après 80, toute seulette sur les routes, il sera sans doute préférable de ne pas tenter le diable qui pourrait mettre des bâtons dans mes roues ! Alors bon anniversaire, Bon dimanche et bon vote !

PLUS DISPONIBLE.

Bonjour, J'avais acheté une roue arrière neuve, ajourée, que je voulais monter en remplacement d'une roue pleine pour plus de souplesse. Mais... la patinette M365 a été volée avant le changement. Depuis j'ai une autre marque d'engin et elle ne convient pas. Qui la veut ? Je ne ferai payer que les frais d'envoi. A bientôt. A bientôt.

Petite mise au point : Dans le sujet ci-dessus, j'ai regretté de n'avoir reçu aucune réponse du vendeur CECOTEC. Cependant, si la réponse fut très longue, elle est toutefois remarquable. Sans plus de discussion après mon courriel, par mesure de sécurité, pour une révision complète ils prennent un retour à leur charge, à ma convenance. Et cela avec un très aimable correspondant par téléphone, qui a pris la peine de m'appeler en Espagne depuis la France. Après avoir douté, il me semble qu'un tel service après-vente valait la peine d'être signalé. A noter : Ma trottinette "BONGO serie A", ne figurant pas dans la liste de ce site, je précise que je l'ai choisie parce qu'elle dispose d'une batterie (un long bâton) qui se retire en un clin d'oeil, pouvant ainsi être chargée sans l'engin (ultra pratique pour les hôtels, ou bien les étages à monter), et qui permet, si on le souhaite, d'être substituée par une autre batterie chargée, que l'on emportera pour un long parcours sans craindre la panne. Et les poignées se dévissent simplement : gain de place et sécurité anti-vol à la tire. Bonnes promenades et bon été à toutes et tous. Daniela (Le bruit ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de bruit.)