chploup61

n'oublions pas le cri, les ondes sonores et l'expulsion d'air doivent bien aider !

pour financier le loyer d'un local commercial suffisament grand dans Paris, et payer les salariés nécessaires, il faut sortir quelques dizaines de milliers d'euros de bénéfices (et non de CA) tous les mois, ça en fait de la marge sur des ventes de roues et trott, et des prestations de maintenance.

Petit retour sur ma RC Macif après 1 an, un peu d'amertume concernant le tarif, je me sens floué: Montant annuel 22€ ttc signé en mars 2023. Cotisation appelée en janvier 2024: 25€ ttc, donc +13.6% seulement 9 mois plus tard (avez le blabla solidarité catastrophe naturelles en hausse... qui ne concerne pas les monoroues) + Contribution solidarité victimes terrorisme infractions à 5.90€ (somme fixe annuelle et réglementairement obligatoire pour tout contrat d'assurance: très impactant sur les petits contrats mais les legislateurs n'ont jamais réagit à ce problème soulevé par certains députés ou sénateurs. ps: cette somme abonde au fond d'indemnisation des victimes lors d'un accident avec défaut d'assurance, donc les assurés honnêtes payent un supplément pour ceux qui roulent sans assurance, super..) + Frais d'échéance 7.86€ -> là c'est une belle carotte de la macif, ce sont purement des frais de gestion (qui devraient donc faire partie de la cotisation, mais Macif est borderline, ça a d'ailleurs été évoqué dans un procès entre eux et l'urssaf, voir détail ci-dessous) = total 38,76 EUR, soit +76% par rapport au montant que je comptais payer Détail sur les "frais d'échéance" que la macif exclue de la cotisation annoncée à la souscription, de ce que je comprends ils ne les intègrent pas dans la cotisation de base afin de les exclure d'un montant sur lequel ils payent une contribution proportionnelle, sauf qu'en 2023 la justice les a retoqué: au-delà de cette astuce, ils devraient être transparent sur le montant auprès des souscripteurs. https://www.courdecassation.fr/decision/64c35c2af01612d969defea1 "Sur le chef de redressement : assiette de la contribution sur les véhicules terrestres à moteur dite VTM : frais d'échéance La contribution sur les assurances des véhicules terrestres à moteur a été créée dans l'objectif de compenser les charges générées par les accidents de la circulation pour les régimes d'assurance maladie Aux termes de l'article L 137-6 du code de la sécurité sociale, une contribution est due par toute personne physique ou morale qui est soumise à l'obligation d'assurance en matière de circulation de véhicules terrestres à moteur instituée par l'article L. 211-1 du code des assurances. Cette contribution est perçue au profit du fonds mentionné à l'article L. 131-8 du code de la sécurité sociale. Le taux de la contribution est fixé à 15 % du montant des primes, cotisations ou fractions de prime ou de cotisation afférentes à l'assurance obligatoire susmentionnée. L'article L 137-7 du dit code prévoit que la contribution est perçue par les entreprises d'assurance, dans les mêmes conditions et en même temps que ces primes. Les entreprises d'assurance sont tenues de verser, au plus tard le 15 du deuxième mois suivant le dernier jour de chaque bimestre, à l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale, le produit de la contribution correspondant au montant des primes, cotisations ou fractions de prime ou de cotisation d'assurance émises au cours de chaque bimestre, déduction faite des annulations et remboursements constatés durant la même période et après déduction du prélèvement destiné à compenser les frais de gestion dont le taux est fixé par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale et du ministre chargé des assurances. En l'espèce, les inspecteurs du recouvrement ont considéré que les frais d'échéance inscrits en comptabilité de la MACIF au titre de la contribution VTM et facturés en tant que tels aux assurés devaient faire l'objet d'une régularisation dans la mesure où ces frais dont les montants étaient forfaitaires, indivisibles et identiques, étaient systématiquement imposés aux assurés et constituaient, dés lors, des frais de gestion devant être inclus dans l'assiette de la contribution VTM. La MACIF conteste la position de l'Urssaf en faisant valoir que les dispositions des articles L 137-6 et suivants du code de la sécurité sociale sont claires et doivent être interprétées strictement conformément aux dispositions de la circulaire d'application n° 2008-37 du 13 mars 2008, seule doctrine publiée sur les règles d'assiette et de recouvrement de la contribution. Page 7 / 13 27 juillet 2023 Or, soutient-elle, d'une part, ces dispositions ne prévoient pas que les frais d'échéance sont inclus dans l'assiette de recouvrement de la contribution ; d'autre part, lorsque le législateur entend intégrer les accessoires de la prime dans l'assiette de la contribution, il l'indique expressément, à l'instar de l'article 991 du code général des impôts, ce qui n'est pas le cas des dispositions des articles L 137-6 à L 137-9 du code de la sécurité sociale qui visent les primes ou cotisations sans aucune référence aux accessoires des primes d'assurance. La MACIF ajoute que les frais d'échéance sont affectés à la couverture des garanties d'assurance au sens de la branche 18 de l'article R 312-1 du code des assurances et non à celle de la garantie responsabilité civile automobile ; ces frais ne sont pas des sommes que l'assuré s'engage à payer à l'assureur pour être garanti de risques prévus au contrat. Il s'agit de frais forfaitaires destinés à couvrir les dépenses générées par les appels de cotisations. La cour retient que, en application des articles L 137-6 et L 137-7 du code de la sécurité sociale, l'assiette de la contribution VTM est constituée de primes émises par l'entreprise d'assurance lors de la souscription d'un contrat d'assurance responsabilité civile obligatoire pour la circulation des véhicules automobiles sans que le coût que l'assureur fait payer à l'assuré en contrepartie de la couverture du risque distingue les frais inhérents à la garantie du risque et les frais de gestion. Ainsi, ces primes comprennent non seulement la fraction de prime ou de cotisation relative au risque assuré mais aussi la fraction correspondant aux frais de gestion après déduction du prélèvement destiné à les compenser. Les frais d'échéance dont le montant est forfaitaire sont, en l'espèce, systématiquement adossés aux primes d'assurance relatives aux contrats de responsabilité civile obligatoire pour la circulation des véhicules automobiles. Il s'en déduit que les frais d'échéance constituent des frais de gestion devant être inclus dans l'assiette de la contribution VTM. Le jugement sera, en conséquence, confirmé en ce qu'il a validé ce chef de redressement dont le montant n'est pas contesté."

Merci à tous les deux pour vos idées et conseils, je vais fouiller dans mes outils et essayer d'être inventif ! Je ferai un retour évidemment, si ça peut servir à d'autres.

Je comprends que je tentais de corriger par la mauvaise méthode: quand au bout d'un moment une pédale ne restait pas verrouillée, je serrais la vis du dessous, mais ça revenait quand même de plus en plus souvent. A la lecture du forum, j'ai finis par serrer fort les vis des côtés, mais en fait je comprends que c'est l'inverse qu'il fallait faire, il faut "desserer" ces vis (= laisser un léger serrage pour que les patins plastiques latéraux frottent juste un peu, et leur mettre du frein filet pour que ce niveau de serrage reste le même), et serrer fort la vis du dessous afin que l'axe ne puisse pas du tout tourner -> je ne comprends pas pourquoi la vis du dessous n'est qu'une pointe fine sur un cylindre lisse (ils auraient pu le percer en surface sur 1mm, ils l'ont bien fait pour le centrage latéral..), ça n'a pas grande chance de serrer longtemps, et quand l'axe se met à tourner, qu'on resserre la vis mais que l'axe tourne dessus tous les jours (alors qu'il ne devrait pas), le métal de la pointe se fait bouffer (voir photo de la mienne ci-dessous) et ça serre de moins en moins. Du coup j'en suis là... Comment enlever l'axe ? Après avoir enlevé les patins aux extrémités je pensais qu'il coulisserait presque tout seul, mais en fait il m'a semblé grippé (fusionné à la pédale..) et je ne suis pas allé plus loin faute de temps. Un coup de wd40 sera nécessaire j'imagine, mais que pourrais-je utiliser comme chasse-goupille ? (pas de tournevis, ça marquerait le métal à l'extrémité de l'axe et ça bousillerait ensuite le patin en plastique qui dix fois par jour devrait tourner en frottant cet endroit). Pour éviter que la rotation de la pédale entraine l'axe (de plus en plus à mesure que ça le métal se grippe), faut-il graisser l'axe sur ces parties là avant de le remonter ? (il ne faudrait pas que la graisse déborde sur les patins en plastique !)

Idem, RC pour monoroue à la macif depuis 2 ans, ~25€/an. Je n'ai aucun autre contrat chez eux. Il n'est/était pas possible d'y souscrire par l'espace client, il a fallu passer en agence, et la conseillère a un peu galéré pour retrouver le "produit" et surtout pour l'enregistrer (que mettre dans l'immatriculation ?) La nouvelle carte verte est ... grise.

Pour de l'intermodal++, je suis en inmotion V8S depuis 1 an et demi (après 6 ans de v8 tout court), ça fonctionne bien: avantages par rapport à la V10F qui est déjà très bien et souvent plébiscitée, pas mal de poids en moins (bonheur pour monter les marches dans les couloirs du métro, la mettre sur un rack à bagage, dans un coffre de covoit', etc...), un trolley intégré plus pratique, et moins d'encombrement (épaisseur et trolley externe sur V10F -> dans des transports bondé ou un covoit' surchargé de bagages à 5, content de pouvoir la mettre derrière mes jambes ou sous un siège). Il existe aussi la V8F "evo", un compromis de batterie entre V8F et V8S, avec un tarif entre les deux. J'ai toujours recherché le côté pratique en toutes situations (perso et pro), et la fiabilité. Si question n'hésites pas.

J'ai eu ça en ville l'autre jour: sur une voie où peuvent se croiser une voiture et un cycle, la voiture en face a fait un coup de volant vers moi alors que rien ne le justifiait, j'étais tranquillement collé sur la droite à surveiller les portières qui pourraient s'ouvrir. J'ai rattrapé la voiture, le conducteur a eu droit à son quart d'heure de sensibilisation, au bout d'un moment je sentais bien qu'il avait envie de partir, mais j'avais le temps donc j'ai fais durer pour bien qu'il se souvienne de l'épisode 😁 En gros le monsieur passait ses nerfs parce que "d'autres fois, j'ai vu des gamins à deux sur une trotinette, c'est vraiment n'importe quoi... et des fois il y en a qui me passe devant !" J'en rattrape régulièrement qui font de la m**** en voiture, pour leur faire comprendre respectueusement que leur comportement dangereux se voit, qu'il dérange ceux que ça met en danger, et qu'arrêté dans la circulation ils sont sacrément vulnérables à leur tour (pas besoin de le dire, à ma tête et ma carrure ils se font tout petit d'eux-mêmes). Parfois les gens ne veulent pas discuter et regardent tout droit en m'ignorant, alors je tapote sur le toit ou le capot, puis je manipule doucement les plastiques du rétro, ça suffit rapidement à les faire réagir et ouvrir la vitre pour engager une conversation. Dédicace à celui de la semaine dernière qui a voulu descendre faire le chaud, et qui a fini la jambe coincée entre la portière et le bas de caisse, une chaussure laissée sur le bitume quand j'ai accepté de le laisser partir: fallait pas rouler si vite et sur la bande cyclable dans la rue des écoles primaire et maternelle, à l'heure où ma petiote en sort 🥰 A une certaine époque (et encore maintenant..) les motards se font fait respecter sur la route, là où les forces de l'ordre n'agissaient pas pour éviter les mauvaises conduites des automobilistes, je trouve que c'est une option valable pour les EDPM.

1950 c'est surtout le début de l'exploitation massive du pétrole, qui a complètement façonné le monde: cela a nourrit, soigné, construit, équipé.

Alors, remboursé ? (ça fait plus d'1 mois) Si c'était une indication orale sans confirmation écrite, il est possible que tu puisses te brosser, Martine

Bonjour, Je serai preneur, est-il encore à vendre ?

Comme a dit une procureur dans le cadre des résidus d'emeutes de ces jours-ci, la sécurité publique n'est dû qu'à concurrence des moyens qui lui sont alloués: en clair, l'état se dégage de sa vaine promesse de mettre tous les moyens nécessaires pour assurer la bonne sécurité du peuple, il s'engage désormais sur un minimum syndical. Mieux vaut apprendre à se déféndre soi-même que de compter sur la police, elle ne sera là que pour constater les dégats, et enregistrer la plainte qui finira sans suite pour les statistiques.

Le moteur, le pneu, la batterie sont des éléments principaux, sans leur présence le véhicule n'a aucune utilité. Le phare avant, par exemple, est un détail, une roue peut avoir une utilité sans lui. Ce détail sera essentiel pour de nombreux usages (dès qu'on roule en extérieur en environnement sombre), mais pas forcément pour tous (celui qui veut une roue pour rouler uniquement en journée sur terrain privé n'en aura pas besoin) . Sur une roue utilisée quotidiennement pour les trajets "utiles" (aller au boulot, monter les escalier de l'immeuble/boulot/métro, prendre le train ou le bus, la charger dans un coffre de voiture, la prendre avec soit dans les magasins, etc...) et non "sportif", il y a des éléments qu'on peut qualifier d'essentiels, comme on le ferait naturellement pour un "vélotaf": poids réduit pour la lever souvent, phare avant, feu arrière, trolley, bouton coupe-circuit, pédales pas trop hautes (arrêts fréquents et redémarrages faciles), pédales confortables, roue pas excessivement large (confort pour usage 4 fois par jour 365j/an...), protection convenable contre la boue (garde-boue ou coque prenant cela en compte), bonne fiabilité pour un passager pas équipé/protégé comme un sportif partant en rando, etc... Pour certains éléments ça peut éventuellement s'ajuster en fonction de particularités très marquées du trajet de chacun, mais l'immense majorité des "roue-taff/pratiques" demanderont les mêmes éléments qu'on peut alors qualifier de "détails essentiels" pour cet usage. Quand je vois proposé la begode a2 qui n'a même pas de trolley, je ne peux m'empêcher de questionner la pertinence de ce modèle pour un usage pratique au quotidien: partout où l'on ne peut pas rester sur la roue, on est censé porter cet haltère de 20Kg ?

Si on considère que 30Kg n'est pas rhédibitoire, oui, mais entre 18-20Kg et 28-30Kg ça n'est pas du tout la même histoire au quotidien. J'espère que les fabricants ont compris la demande, car pour l'instant ceux qui ressortent une nouvelle roue de 20Kg oublient toujours un ou plusieurs détails essentiels pour une roue pratique au quotidien, donc ça ne se vend pas, ils risquent d'en tirer la mauvaise conclusion qu'il n'y aurait pas de demande

La randonnée longue nécessite une grosse batterie, et là-dessus pas de miracle on est limité par les technologies actuelles de batteries, on peut espérer grapiller quelques % de rapport poids/autonomie à tarif constant tous les quelques années, mais ça ne va pas faire +30% d'un coup, donc pour faire 100km il faudra pour très longtemps une quinzaine de kilos de batteries et la structure assez solide (et lourde) pour supporter tout ça. Le compromis recherché devient alors impossible à trouver.