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La Loire


papaCoursac

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il y a 6 minutes, sbouju a dit :

Et plutôt qu'un gros sac à dos, peut-être préférer un fractionnement de la charge dans un sac à dos plus petit *ET* sur un porte-bagages...?

Perso, je suivrai cette piste...

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Bonjour @papaCoursac,

j'ai moi aussi en préparation une escapade sur les bords de Loire pour le mois d’août (Orléans à Pornic). Je prépare depuis quelques temps ce périple (d'ou ma recherche des lieux de charge). Je n'ai pas le problème du sac, puisque celui-ci se résumera à des affaires de rechanges et la trousse de toilette. L'objectif sur 2 semaines n'est pas d'accumuler les kilomètres mais de redécouvrir les châteaux de la Loire ainsi que ses vignobles. Je joins mon doc de travail si ça peut vous aider @grattounet et toi. Je suivrai avec intérêts vos aventures.

Loire_à_vélo_-_Orléans_Pornic_-_Copie.xlsx

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il y a 4 minutes, papuche a dit :

Je n'ai pas le problème du sac, puisque celui-ci se résumera à des affaires de rechanges et la trousse de toilette

Pas de chargeur, de multiprise, d'outils ?

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il y a 8 minutes, papuche a dit :

redécouvrir les châteaux de la Loire ainsi que ses vignobles

Joli périple. Oui, les vignobles aussi sont intéressants, d'autant qu'ils ne sont pas à la mode, un peu sous estimés à mon avis (au contraire du Sancerre!).

Ton doc de travail de travail est intéressant aussi mais il ne peut nous aider car pour nous, tous les choix sont faits. Attention aux hébergements, au mois d'Aout tu risques d'avoir beaucoup de monde... Tu nous raconteras ?

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il y a 14 minutes, marko a dit :

Pas de chargeur, de multiprise, d'outils ?

Je voulais dire, pas de matériels de camping (tente, sac de couchage, matelas, rechaud, etc..). J'ai prévu les chargeurs+multiprise, kit de réparation pneu et les outils pour le démontage complet de la roue et un poncho pluie en cas d'averses (si il pleut, je ne roule pas).

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Petit entrainement ce matin. 48 Km réels avec sac à dos. Un peu de vent qui a augmenté la consommation, des portions de route genre planche à secousses, d'autres à grosse circulation, une zone industrielle avec plein de camions. Pas facile tout ça. J'ai dû m'arrêter plusieurs fois quelques minutes tellement j'avais mal aux genoux. Au final il ne me restait qu'environ 20% de batteries (il y avait aussi des côtes sur le parcours). Une conclusion: l'autonomie de la 18L est en parfaite adéquation avec ma propre endurance! ?

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Le 06/05/2019 à 10:24, sbouju a dit :

*ET* sur un porte-bagages...?

Sylvain, j'avais raté ton porte bagages sur ta MSX. C'est du bricolage génial! ? Qu'est ce que tu mets dessus? en est tu content? comment est ce que cela modifie le comportement de la roue? Un petit retour SVP! Pour avoir fait cet effort de conception et de réalisation, tu dois avoir des super projets. Des confidences? Bonne glisse!

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Il y a 3 heures, papaCoursac a dit :

Sylvain, j'avais raté ton porte bagages sur ta MSX. Un petit retour SVP!

En fait, j'ai juste recyclé et adapté des bouts de bricolages que j'avais déjà conçu auparavant pour ma MSuper2 (*), et je n'ai pour l'instant roulé qu'à vide, sans rien dessus. Cela a suffi pour me montrer que c'était viable question largeur, mais qu'il ne fallait pas aller au delà sous peine de pilotage plus difficile. Je pense d'ailleurs le diminuer encore un peu des quelques millimètres encore disponibles. Cela veut dire aussi que le futur bagage qui viendra dessus ne devra surtout pas dépasser en largeur, et avoir une forme se rétrécissant vers le haut...

En ce qui me concerne, j'estime avoir un peu passé l'âge pour des road trips comme tu l'envisages toi et quelques autres, mais occasionnellement et en cas de besoin, j'y placerai surement une petit sacoche bien rembourrée pour des choses petites et un peu lourdes, genre chargeur, outillage, bombe de réparation de crevaison, etc., juste pour alléger d'autant le sac à dos.

(*) voir ici...

 

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Catastrophe! Hier vers 15h, je partais pour un entrainement en roue, je suis tombé sur le gravier, devant mon garage (j'ai toujours du mal à partir au départ d'une ballade, je suis raide comme un piquet, pétri d'appréhension et sur les graviers c'est ce qu'il y a de plus difficile) avec la jambe repliée sous moi. Douleur terrible, 15 mn pour me relever, je rentre la roue, le sac à dos, l'étage pour accéder au séjour, je m'écroule dans 1 fauteuil. 2 heures plus tard, la cheville gauche a doublé de volume. Ce matin, je ne peux plus poser le pied par terre. Clinique, radio, verdict: pas de fracture, pas de déplacement d'os, une "grosse entorse". Attelle (pas de plâtre ni d'anti-coagulant j'ai du pot), antalgique, retour maison.

Analyse. ce que j'ai essayé de faire hier, je l'ai déjà fait 10 fois (ou 20). je n'ai pas fait d'imprudence. Une négligence toutefois: j'ai laissé traîner sur le gravier un tuyau d'arrosage qui a contribué à me déséquilibrer. J'avais mon équipement complet, y compris des bottines de moto très raides avec une coque extérieure en plastique dur. L'entorse a été infligée A L'INTéRIEUR de la bottine (je ne comprends même pas comment c'est possible), donc si j'avais porté des chaussures de ville, je me serais cassé la cheville. La chute a eu lieu à 3 Km/h donc la vitesse n'est pas un facteur. L'attelle et l'anti-inflammatoire produisenr déjà une petite amélioration. Le conseil médical est de faire bouger la cheville autant que faire se peut et de m'entraîner à faire porter du poids dessus progressivement. J'y travaille déjà.

Projets: Dans 9 jours je pars pour 2 semaines sur les bords de Loire pour une randonnée en monoroue. Il est assez peu probable que je sois capable de monter sur ma roue dans 10 jours. Mais j'y vais. Avec ma voiture, ma roue, mon sac à dos, tout mon équipement. J'espère fermement que je serai capable de refaire de la roue avant 3 semaines et je m'adapterai à l'évolution de la convalescence.

Voilà, la meilleure volonté du monde est parfois sujette à des imprévus.?

entorse.jpg

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Bon rétablissement, faire travailler la cheville sans jamais forcer au risque d'allonger les tendons et de l'affaiblir pour toujour. 

Tu peux l'échauffer en la faisant tourner, tibia posé sur ton autre cuisse, maintenu par ta main gauche, et tu attrape tes orteils de l'autre main pour faire des cercles pas trop amples. 

On fait çà en échauffement à chaque séance de ju-jitsu. 

Je ne sais pas si je me suis bien expliqué ?

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Il y a 2 heures, grattounet a dit :

j'avais envie de faire ce périple ensemble

Je ne sais pas pour toi, mais moi je n'ai pas perdu espoir. Je viens dîner avec vous le 27 au soir, béquilles ou pas béquilles, je couche à Beaugency le 28 au soir, monoroue un peu, beaucoup ou pas du tout, ça va me faire plaisir de revoir la Loire. Et puis les jours passant, ma remontée sur la roue est de plus en plus plausible.

Ce n'est pas une entorse qui va m'empêcher de bien vivre et d'y prendre plaisir. ? A bientot!

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Yop, pour info, j'ai fait en fin d'année dernière un bout de la Loire à vélo d'Orleans à Tour, avec mon épouse. (moi, en monoroue - inmotion V8 - elle une trot toute neuve - ninebot ES4). Nous avons chacun 30km d'autonomie réelle.

Récit :

- On débarque de la gare à Orlean au petit matin, et c'est parti ! Petite traversée d'Orlean, puis on traverse une première fois la Loire, et ca roule !
La sortie d'Orlean est tout de suite très sauvage, très calme, c'est super joli ! Hop, le Loiret, très joli, très sauvage aussi, c'est cool, on continue. Il y a plein de vélo ici !
- Au bout de 15km, LA tuile : je crève. Et je n'ai aucun outil, je faisais confiance à la roue, (chambre à air presque neuve, protection anti-crevaison, mais rien n'y fait). En pratique, je me rendrais compte plus tard que c'est au niveau de la valve que ca fuit.
Passé un moment de panique et de désolation, on finit par décider de faire du stop pour retourner jusqu'à Orlean, où je réparerais à Decathlon. On rencontre notre premier gilet jaune qui se préparait ferme pour les événements survenus quelques mois plus tard... Il prenait sa voiture, et il était content de nous dépanner - chouette.
Seule solution trouvée, j'achète chez decath le liquide bleu qui se met dans la chambre, ainsi qu'une petite pompe pas cher, et j'espère que ca tiendra. On en profite pour prendre aussi un casque pour Madame :)

- Vu qu'on vient de perdre toute la matinée (et une bonne réserve de batterie), on décide de retourner à Orlean dans un petit PMU, de manger un coup en rechargeant, et de prendre un train pour nous avancer un peu sur le parcours, jusqu'à Beaugency, qui est très joli. Au final, super stressés, et sous la pluie, on ne s'est pas du tout arrêté pour admirer Beaugency.
Par contre, à partir de là, les rives sont encore plus sauvages, très jolies !
A la fin, on passe en face de la centrale nucléaire de St Laurent des Eaux ... C'est assez marrant de voir comment ca marche : ils pulvérisent l'eau de refroidissement dans les tours, qui tombe en pluie sur toute la hauteur de la tour, ca fait le bruit d'une immense cascade, pendant que le tirage de la cheminée par toutes les ouvertures fait un grand bruit de soufflerie... On en apprend des choses.
- Le soir, on avait réservé un gite : La ferme de l'Isle à Avaray.
Arrivée sous la pluie gelée, on entre dans un superbe corps de ferme, et un grand feu nous attends dans la cheminée, le rêve ! On a branché les vehicules en vitesse, et on s'est effondrés devant la cheminée, heureux comme pas possible après cette dure journée. Je n'ai pas trouvé assez d'étoile à mettre à ce gite que je recommande absolument !!!! Attention, en été, ils font des mariages, ca doit être moins sympa pour les randonneurs.
Il y a un super resto pas trop loin (la ferme des 3 maillets), c'est chouette d'avoir des véhicules électriques :) (par contre, les petits chemins de terre la nuit, avec le petit phare, c'est plus dur)

- Le lendemain, on repart, et re-tuile ! -> Quelqu'un avait réutilisé la prise, et nos véhicules n'ont pas chargés la nuit ! On était tellement effondrés en rentrant après le resto que l'on a pas vérifié que la charge se faisait. Bref, bloqué 2h le temps de recharger à bloc. Du coup, on visite les parages à pied en attendant. Whaa, de la nature partout, des ragondins en pagaille, des chats totalement pot de colle... Finalement, on n'a pas totalement perdu notre temps
3h plus tard, on part pour de bon, et tant pis pour le retard, on suit la route prévue : On finit par quitter la Loire pour bifurquer sur Chambord... Je regrette de ne pas m'être arrêté dans les postes d'observation animalier de la forêt de Chambord, mais on n'est déjà très en retard.
Mais arrivés à Chambord, on en a vraiment plein les pattes, la pause est obligatoire, Madame en est à pousser la trot. Inspiré par le récit de "j'irais charger partout", je me mets en quête de ma première prise sauvage. (sachant que l'on a 55km de route par jour en moyenne, et seulement 30km d'autonomie, la recharge en cours de route est obligatoire !) Mais à Chambord, il y a un loueur de velos et de voiturettes électriques : on lui demande, et il nous invite avec plaisir à nous brancher ! On discute un peu, mais ils sont déjà plein à discuter entre eux, donc on fini par les laisser pour faire un petit tour (extérieur - pas le temps pour l’intérieur - que l'on connait déjà) du chateau. Madame se repose sans bouger au bord de l'eau ?
On devait manger là, mais on n'a pas faim, les baraques sont blindées même en cette saison, et tout est ultra cher. Bref, on ne mange pas.
On finit par repartir, il est 14h, on n'a pas fait 35% du programme, va falloir cravacher. On sort de Chambord par de petits chemins forestiers, puis on arrive en campagne
Au milieu des vignes, je fais voler un peu le drone, pendant qu'on se repose un peu, puis on repart sur Blois
Arrivés à Blois à 17h, on se trouve un petit bistrot desert où on se jette sur la prise ! Et puis on commande un croque monsieur, parce que ya pas d'heure pour avoir faim !
Ensuite, faut repartir, la nuit commence sérieusement à tomber (on est en automne)... Là, on avance un peu à marche forcée, à la fin dans le noir, sous la bruine, on est gelés, je ne sais même plus trop par où on est passés. (faut voir aussi qu'avec nos petites autonomies, on ne peut pas se permettre d'aller à plus de 20km/h) Et moi, j'en ai franchement plein les pattes sur la roue.
Bref, on finit par arriver de nuit à Chaumont sur Loire, qui est probablement très joli de jour par beau temps.
Le gite que l'on a trouvé est assez quelconque, ni bien ni mauvais. Il est surtout assez vide en cette saison. Puis on finit par manger n'importe où, les bonnes adresses étant complètes, on se prend une pizza au standing "routier".
- Le lendemain, on repart, et cette fois, on a bien rechargé, c'est fini les conneries !
On continue à longer la Loire, on découvre une chasse plus ou moins traditionnelle (le beau garde chasse ultra sympa avec son grand cors pour tout équipement, la meute de chiens qui hurlent dans les fourrés, et ... Les jeunes de 16ans avec des gueules de rambo avec leurs fusils à lunettes plantés comme des piquets tous les 50m... FLI-PANTS !) On se casse vite-fait de leurs conneries, et on grimpe après sur les hauteurs avant de redescendre sur Amboise. A Amboise, là encore, les restos sont archi-complets, mais on se trouve une crêperie où on mange dehors à coté de nos véhicules qui rechargent aussi. J'en profite aussi pour faire voler le drone au dessus d'Amboise, au milieu de la Loire.
Après, on repart pour atteindre Tour, et là, ca commence à faire trèèèèèss long. On se trouve par 2 fois des petits villages (on n'est plus sur les rives de la Loire sur cette partie) avec des prises plus ou moins accessibles sur la place du village, où on fait des pauses de 20minutes.
L'approche de Tour n'est pas jolie, on est clairement dans une zone peri-urbaine, le retour à la ville est assez dur, surtout quand on se retrouve à traverser des ronds points de grosses nationales.
Sur la fin, il y a une vraie belle piste cyclable pour rentrer dans Tour, mais ce n'est plus du tout aussi sauvage qu'avant.
On finit dans un petit bar branché de Tour, avant de traverser une dernière fois la ville et grimper dans le train pour retourner sur Paris.

 

J'ai apprécié de trouver facilement des prises quand on a traversé des petits villages, et que la Loire soit si accessible parfois.
Par contre, l'itinéraire n'est clairement pas à 100% de la piste cyclable, et certains endroits sont franchement moins charmants que les rives de la Loire. Il y a aussi pas mal de passages où l'on est simplement sur une route quelconque, et où l'on peut donc bien prendre la route que l'on souhaite. Les routes les plus petites étant moins fréquentées, mais vont moins droit, et on doit totalement partir dans le fossé pour laisser passer les inévitables voitures.
Nous avons adoré le premier gite - même s'il n'est pas très loin de la centrale nucléaire (ca ne change pas grand chose, par contre, je ne m'y marierais pas :D)
Les gens étaient globalement tous super sympa, on a vraiment pu recharger partout, bien que la trottinette soit vraiment énorme à chaque fois qu'on la rentre quelque part (comparée à la roue que personne ne calcule). Hélas, pas mal d'endroits sont très touristiques, même en saison pourrie, donc certains endroits bien blindés. La route elle-même était globalement assez vide (en fait, on a croisé personne une fois éloignés d'Orlean et de Tour)

Et je suis dégoutté de ne pas avoir blindé l'équipement dès le début, même si au final, la réparation de fortune a pu tenir jusqu'au bout !
Aussi, les >50km/jour, c'est un peu obligatoire pour espacer les demi-étapes, mais c'est pas super facile non plus. Pour moi, c'est une distance au delà de laquelle le vélo électrique se justifie davantage (au moins, on est assis !). Par contre, on voit bien la différence avec un vélo sans assistance : on profite carrément plus de la nature quand on n'a pas à forcer. Les passages en fin de journée où l'on se forçait pour finir, on en n'a quasiment rien conservé.
Avec le besoin de recharge, les gites étaient un peu obligatoires, et vraiment nécessaire pour ne pas péter un cable, surtout en couple.

 

Voilà, néanmoins, je recommande cette rando à tous !

 

Comme feedback sur les véhicules :
- la V8 est toujours un petit monstre, capable de passer n'importe où. Il ne lui manque que le siège, et un peu plus d'autonomie pour se stresser un peu moins.
- la ninebot ES4 a très légèrement plus d'autonomie que la V8, mais recharge un peu moins vite. Du coup, en fin de journée, elle était moins pleine. Il a aussi fallu la pousser davantage en montée pour la soulager. Par contre, niveau confort, comparé à une mono-roue, c'est vraiment moindre : ca claque, ca grince, ca chouine. Les vibrations sont permanentes hors de la chaussée. Le plateau rend la vie plus agréable pour les jambes, mais ce sont les bras qui prennent à la place. Aussi, la gestion des accélérations est vraiment imprecise, ce qui limite vraiment la capacité à gérer la vitesse. (du coup, c'est un peu vitesse constante tout du long).
Elle est aussi assez chiante à soulever (pour un trottoir ou un escalier par exemple) : on se prend toujours le plateau dans les chevilles.
Enfin, aujourd'hui, avec seulement 400km, la trot est déjà sérieusement abîmée, ca n'augure rien de bon pour la suite.
Par contre, la conversion ES2 -> ES4 transforme réellement la trottinette pour lui donner accès à ce genre d'aventures.

Modifié par Peuwi
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